Comment dire... nul? Allez, soyons sympa: pratiquement.
On pensait avoir tout vu en matière de violons convenus avec "Scent Of Love", les coréens ne finissent de vous étonner. Ici, c'est bien simple, tout à part les deux acteurs principaux et nul: le scénario est affreusement construit, les personnages sans profondeur, la réalisation AB prod (on compte 3 ou 4 mauvais raccords lumière visibles par le dernier des aveugles) et la musique gémiarde insipide. Oui, lui a fait du chemin depuis "First Kiss" est s'affirme, peu à peu, et elle, bien qu'il faudrait qu'elle cesse de jouer les fifilles mourrantes, est toujours aussi jolie lorsqu'elle pleure; mais dans "les feux de l'amour avec de bons acteurs en plus", la cruelle logique veut que l'on ne retienne que la première partie. Allez, on va quand même être gentil, parce que ça arrive à dire deux ou trois belles choses quand même.