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Zombie Ass: Toilet Of The Dead


Longtemps constipée de la critique, soignée par 15 médecins ultra-compétents tout au long de l'année, notre camarade Tanuki se voit enfin guérie. Et elle se lâche ! Pour fêter ça, elle s'attaque à un Noboru Iguchi très attendu par ce bon vieux Marcel Prout, toujours à la recherche du vent perdu. La purge, nécessaire, la – et nous – soulage mais permettez-nous quand même cet aimable conseil : écartez-vous parce que ça va péter !

Transperceneige en approche !


Eloignez-vous de la bordure du quai, s’il vous plait. Ce train desservira les gares de, euh… aucune gare. Ce train ne s’arrête pas, n’y montez pas. Y’en a qu’ont essayé, ils ont eu des problèmes. Du reste, si vous n’êtes pas dans le train, c’est que vous êtes morts de froid, au dehors. De son côté, planqué au chaud dans le wagon restaurant, Arno CW nous a scribouillé son pamphlet révolutionnaire après avoir vu le film.

Keaton : appelez-le Maître !


Manga datant de la fin des années 80, le Master Keaton de Naoki Urasawa arrive - enfin - dans nos librairies. A Arno CW de vanter ses mérites sur cette toute petite partie de la toile.

A Letter to Momo dans les salles


14 ans après Jin-Roh, le second dessin animé signé Okiura sort dans nos salles. Astec nous en dit le plus grand bien.

Ex fan des 90’s


Voire des 80’s, des 70’s et moins si affinités, notre mystérieux visiteur Fan de chanteur Pop a décidé, non sans ironie, de « critiquer » les fiches Cinemasie à la limite du hors sujet mais dont certains cinemasiens, par plaisir coupable mais également un certain esprit d’exhaustivité - qui les honore ! -, ont souhaité évoquer dans notre section dite « expatriée » qui se trouve, euh… cherchez bien. S’il est avouons-le difficile de défendre la présence d’Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre en dehors de sa scène de kung-fu frappadingue et sa lointaine filiation avec un Kentucky Fried Movie qui lui-même moqua le Opération Dragon avec Bruce Lee, notons que le chorégraphe des X-Men s’appelle Corey Yuen (My Father is a Hero), qu’il est de notoriété publique que Black Swan remaka à sa façon l’anime japonais Perfect Blue (Satoshi Kon), que John Rambo raconte une action qui se passe en Birmanie, « le plus vaste État de l’Asie du Sud-Est continentale », que la belle chinoise Bai Ling, avant de jouer dans Southland Tales et Capitaine Sky et le monde de demain, hantait le Nouvelle cuisine de Fruit Chan, que Bloody Mallory eut pour compositeur Kenji Kawai (Ghost in the Shell), Talons aiguilles Ryuchi Sakamoto (Furyo), et que le coréen LEE Byeong-Heon fit largement fait parler de lui dans A Bittersweet Life et autre obscur JSA avant de participer à la saga des G.I. Joe. S’il est bien compréhensible de noter une certaine frustration chez les adeptes quant à un cinéma asiatique – peut-être - qualitativement moins pertinent que « dans le bon vieux temps », ne nous trompons pas de colère en nous moquant de fans qui, malgré leur grand âge et leur souhait viable de ne pas rester en circuit fermé, ne renient en rien cette passion qui émailla joliment leur vie. N’en doutons pas : ils gardent un œil attendri sur ce site et les autres (HKmania, HKcinemagic, Eastasia, Eigagogo…) et d’aucuns ont même entendu dire que certains profiteraient de cette « pose » pour tenter de rattraper le temps perdu…