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Santé ! Saké !


Pour fêter la nouvelle année, Chip E teste Le goût du saké. Alors alors, a-t-il un goût de reviens-y ? Demandez à Ozu : on ne l’a jamais revu après ça. Étrange affaire... Comment ? Il est mort ? Fichtre !

HKSE12 : Une fin bateau ?


Pour clôturer cette impressionnante douzologie, les Charlots affrontent The Killer – Jeff pour les intimes – lors d’une poursuite en bateau d’anthologie. Soit dit en passant, c’est de cette idée à la mors-moi les 60 nœuds nautiques que tout est parti. J’ai d’abord bricolé ce sketch avant d’extrapoler le reste. Bref, voilà, ayé, c’est fini. J’espère que tout ceci m’aidera à consommer le deuil d’un certain cinéma HK ainsi que celui de moi-même, un peu plus jeune, qui devrais pouvoir ainsi passer à autre chose. Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter un joyeux Noël à tous, j’imagine au nom de toute l’équipe cinémasienne, et à l’année prochaine pour de nouvelles aventures ! Arno CW

HKSE11 : Un hongkongais dans la coquille


Après Blade Runner, c'est au tour de Ghost In The Shell de se voir évoqué sur ce 11ième segment. Voici un petit clip aussi bref qu'il se veut explicite. L'exercice ayant déjà été fait et vu sur la vaste toile du réseau, soyons concis. Et grand merci au Dream Home d'Edmond Pang qui dispose décidément de magnifiques plans de la ville.

Paradoxe notable : en 1995, 13 ans après Blade Runner et deux années seulement avant la rétrocession, Hong Kong était encore perçue par des visionnaires japonais comme la ville du futur alors que, de leur côté, les hongkongais peinaient à imaginer ne serait-ce qu'un semblant d'avenir.

HKSE10 : Le retour du Roy


Laissons parler la poudre ! On attaque le trio de tête à coups de 9mm dans la tronche avec cette arrivée pétaradante de Roy Cheung dans la dixième danse. Roy, notons-le, a inventé un procédé révolutionnaire pour nous réchauffer pendant l’hiver. Il ne s’agit pas du chauffage au sol, non, mais du chauffage interne. A l’aide de petites capsules chauffantes qu’il vous injecte dans la tête vous vous sentez autant réchauffés que parfaitement refroidis.

Dans la foulée de ce sketch et parce qu’il était hors de question que je grille ma transition chérie, vous découvrirez cette célèbre chanson guimauve du ciné HK qui enrobe là l’usuel drame amoureux tristoune. Cela contrebalance la joyeuseté de notre 3ième épisode. Tout est affaire d’équilibre, raison pour laquelle celui-ci atteint les 10 minutes : c’est un deux-en-un. Deux pour le prix de rien ! Joyeux Noël ! Si les allergiques zapperont allègrement le segment chanté, j’espère que les six premières minutes leur plairont : l’exercice fut rude. Grand merci à l’excellent Jiang-Hu, The Triad Zone de Dante Lam – très bon DVD dispo chez Asian Star - de structurer un peu la bête. Pas de Charlots ici, on les retrouvera après, pour la grande finale…

HKSE09 : Le sabre met le couvert


Sur ce très court segment j’illustre les scènes de boustifaille dans le ciné HK. Quelle musique prendre pour ce petit clip ? Pourquoi pas celle de The Blade, tiens ?! Celle, vous savez, qui accompagne la scène d’anthologie d’entraînement à bout de corde de Chiu Man-chuk, histoire de causer aussi un peu costumes ? Soudain, paf, l’idée du siècle : et si que je gardais aussi la bande-son et que je me trouvais des images qui collent à peu près à ce que l’on entend ? Chaud ! En à peine deux minutes ça donne… ça. Et je laisse le mot de la faim à Bruce Lee. Arno CW