éditos
Only God Forgives
La Thaïlande est à l’honneur dans le dernier film en date du danois Nicolas Winding Refn. En France, s'il bénéficie du buzz tout frais de la politisation de l’objet au sein du Parti Socialiste, qui consiste à savoir si le degré de sa violence doit empêcher les moins de 16 ou 12 ans d’aller le voir, sans polémiquer Arno CW préfère vanter les nombreux mérites de l’œuvre. Il propose sa vision du film en même temps qu’il nous dévoile les quelques inspirations importées directement du ciné de genre asiatique. Et insiste sur la révélation d’un acteur à suivre : Vithaya Pansringarm.
SF en vue ! Quid du passé ?
A l’heure où l’on attend, la bave aux lèvres, le Transperceneige de Bong Joon-Ho (The Host) et, outre-Atlantique, les très prometteurs Gravity d’Alfonso Cuarón (Les fils de l’homme), Interstellar de Christopher Nolan (The Dark Knight) - qui n’a semble t’il aucun rapport avec notre Interstella 5555 matsumoté – et autre Stratégie Ender tirée d’un bouquin qui influença peut-être bien comme il faut la série Evangelion d’Hideaki, l’on peut s’amuser à jeter un œil par-dessus notre épaule. Contempler ce qui existe déjà en Asie rayon SF, ce qu’en ont dit les cinemasiens. Liste certainement pas exhaustive mais notons une nette domination quantitative et qualitative des mangas et de la japanime !
Retour sur GITS : Innocence
Le Blu-ray de Ghost in the Shell : Innocence est disponible dans les bacs via l'éditeur Dybex. Voilà l'occasion rêvée pour Arno CW de remettre un p'tit coup de projo sur le dossier qu'il consacra à cette bête qu'il affectionne autant que d'autres la détestent. Il s'immergea dedans jusqu'à la transe, frôlant le point de non retour et... mais en est-il vraiment revenu, de ce chapitre le plus glauque qu'Oshii ait jamais pondu au sein de sa thèse au long cours dédiée au virtuel ?...
Du Ray, conçu pour durer
Toujours pas « rayé » de la carte de la cinéphilie, Satyajit Ray se voit une fois encore ressuscité ; par le biais cette fois de Chip E, immergé avec grand bonheur dans l’univers du maître indien.
The Grandmaster : avis
Au milieu des notes plutôt positives que l'on trouve chez nous et qui récompensent les longues années de préparation de la dernière arlésienne en date de Wong Kar-wai, notre camarade Arno CW souhaite marquer sa désapprobation. Il s’en explique.