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Les Vagabonds de Kanto

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les avis de Cinemasie

2 critiques: 3/5

vos avis

7 critiques: 3.07/5

visiteurnote
Christian D 3
hkyume 3.25
Izzy 4.25
Mounir 3
noar13 3
Pikul 3
seijûrô hiko 2


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Un proto-ninkyo d'un Suzuki qui se réveille

Le Ninkyo Eiga était le roi des années 60 et début 70. Ken Takakura, Koji Tsuruta, Junko Fuji, Tomisaburo Wakayama étaient les Princes et Princesse de ce genre à la Toei. À la Nikkatsu, l'autre spécialiste du Yakuza Eiga, le Ninkyo c'était Akira Kobayashi et Hideki Takahashi. Jo shishido en a fait, mais loui c,était surtout les costard et les guns. Meiko Kaji en fera plusieurs à la fin des années 60 avant de quitté lorsque la Nikkatsu se tournera vers le Pinku Eiga. En 63, le genre en était encore à ses débuts. La recette n'était pas encore éprouvé. Theatre of Life version TOEi sera le modèle qui sera calqué, copié, ect ect.. Mais en 63-64 on tentait encore, on experimentait, essyait, en un mot, ce n'était pas encore une formule immuable. de plus, les Ninkyo de la Nikkatsu ont toujours été moins porté sur la recette. Encore que certains éléments type y soit toujours présent. Donc qui dit Ninkyo s'attend à y voir des drame d,honneur, de morale, des confrontation Giri-Ninji, de la chevalerie, des scènes de jeux (cartes ou dés) et bien sur des combats de poignards et de sabres. Mais comme je disais, en 63-64, certains Ninkyo ne contenaient pas tout ça. Le premier Theatre of Life contient tout ça, mais pas le deuxième par exemple. De plus, les duel et les combats de sabres ne sont pas encore à coupé le souffle. Comme dans les Jidai-geki, ils sont brefs et rapides (et efficace). Alors que plus tard, ils seront long, sanglant, baroque, très chorégraphiés ect ect Il en va de même pour Seijun Suzuki. Il en fera 3 principaux. Kanto Wandering, Angry aves and Flower et One Generation Tattoo. Our Blood will not Forgive est un film contemporains avec baguarre, sabre, gun et n'importe quoi. Donc 3 princpaux Ninkyo. Angry Waves est un films assez grandiose. reconstitution d'époque historique impresionnante (décord et costumes géniaux, historique tout en étant théatraux), avec des scènes de jeux de cartes, des drame, une bagurre de sabre générake et un duyel final réaliste et pas très palpitant. One Generation Tatto réalisé en 65 est quand à lui plus social, réaliste avec un massacre chambaresque que je trouve extraordinaire. Et Kanto Wandering, le film ici présent? Comme je disais, on en était au début du genre. Donc ne pas s'attendre aux gros budget de Angry waves et l'émotion cathartique de One Generation Tattoo. en fait, le film est un faux Ninkyo. Situé à l'époque moderne, les héros joue plutôt aux "ninkyodo". Kobayshi habillé en kimono avec insigne yakuza tranche un peu dans le Kanto moderne. Lui seul en fait corit au Ninkyodo. La chevalerie. Derniers représentant d'une époque révolue, il est même un peu ridicule. Donc, ces chevaliers, sont présenté comme de grand enfants qui joue aux chevaliers. Au début, il sont encore naif. Un jeune homme crie de douleur lorsqu'il se fait tattoué, une jeune étudiante qui est fasciné par les yakuza tente de se prostitué maladroitement. En fait, elle et son souteneur font ça parce qu'ils sont supposé le faire. Mais ne réalise pas, qu'une fois le client trouvé, une fois à l'hotel, il doit y avoir.. de l'Action. seul Kobayashi est un vrai dur.Mais avec son kimono, son attitude et sa balafre.Il semble plutôt être un Bakuto échappé d,Un film Ninkyo. Comme je le mentionnais, la formule n'est pas encore au point. Donc ne pas s'attendre à une fin cathartique. Par contre, il a droit à une scène de jeux palpitante où Kobayashi se fait plumé par un tricheur d'experience (personnage dégoutant). Il n'y a qu'une brève scène de sabre, mais elle est importante. Car c'est une des premières fois où Suzuki expérimente sa fameuse mise en scènes où la lumière, le décord participe àla narration. 2 gangsters viennent chercher baguarre à Kobayashi dans uen salle de jeux (les salles de jeux dans les maisons de yakzua sont constitué d'une grand nappe posé sur un genre de futon posé directement sur les tatamis, alors que les joueurs sont tout autour). L'un sort un couteau et l,Autre un grand sabre. Kobayashi va checher son épée et sabre les deux villains. Brefs, mais totue la thématique esthétique de Suzuki y est. Le premier gangster meurt instantanément, le deuxième agonise tout en marchant et tombe au fond du décord. Les murs tombent révélant derrière des murs d'un rouge sanglant. La couleur et le décord faisant donc partie de la narration. On retrouvera cette façon de faire à la fin de One Generation Tatto lorsque le jeune frère meurt, dans Story of a Prostitute lorsque l'amant de l'héroine refuse de partire et tout au long de Tokyo Drifter. Ensuite Kobayashi se rend chez les yakuza. Il marche dans un studio noir alors que de la fausse neige tombe. Suzuki non seulement ne cache pas ce fait, mais fait tout pour que cela paraisse. On est dans un théatre et non dans la réalité. Ensuite Kobayashi rentre en trombe, tire avec un gun sur un yakuza et plante son sabre dans le bureau de l'Oyabun. Le tout baigné de lumière bleue. Ça s'arrête là, il ne massacre pas les méchants comme dans les futures Ninkyo. mais c'est de totue beauté. À la fin un peu de drame y est introduit. Le jeune tattoué ne crie plus lorsqu'il se faire tattouer, il est maintenant un dur. La jeune fille est devenu une vraie prostitué cynique et le héro est séparé de celle qui l'aime... et bakuto tricheur, continu de tricher. Film interessant pour 2 raisons. Voir l'évolution d,un genre imporant au Japon et l'évolution d'un réalisateur important (pour moi en tout cas).

01 octobre 2002
par Christian D


mineur

a part la fameuse scene déjà mentionnée dans la critique de christian, kabuki style ;) et le personnage feminin qui mene les yakuzas par le bout du nez, un film vite oublié

01 octobre 2004
par noar13


pas facil

Film relativement pénible à regarder: histoire dur à suivre, pas encore d'effets de style à part la scène décrite par christian D, ensemble assez banal. Film interessant seulement pour les fan de suzuki (tout le monde donc?) histoire de mieux appréhender sa filmographie, et son évolution surtout.

03 juin 2007
par seijûrô hiko


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