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Tetsuo : The Iron Man

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les avis de Cinemasie

6 critiques: 2.58/5

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46 critiques: 3.66/5

visiteurnote
Sifu Tetsuo 5
White Snake 5
Japaniko 5
kgoule 5
pixenti 5
Inspecteur Tahar 5
mat rey 5
Shalashaska 5
Mandraker 5
Guesar 4.75
François H 4.75
DarK ChoueTTe 4.75
Titeuf@ 4.5
Dooliblog 4.5
Killdonalduck 4.5
spaceh 4.5
seijûrô hiko 4.25
Epikt 4.25
Iron Monkey 4.25
lo sam pao 4
Anel-kun 4
chronofixer 4
pacman 4
Daimajin 4
Cuneyt Arkin 4
Samehada 4
steed 4
Mounir 3.75
Oh Dae-soo 3.75
X27 3.5
yansan 3.5
Bastian Meiresonne 3.5
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TsimShaTsui 3.25
Secret Tears 3.25
k-chan 3
Bart052 3
ikiru 2.5
Pikul 2
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Maggielover 0


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Trash mais magistralement jouissif....

Personellement je ne sais trop quoi penser du film de tsukamoto tellement il est barré. Ce fut pour moi un choc viscéral dans tous les sens du terme. Je ne peux que m'incliner devant ce realisateur qui a pu écrire, réaliser et monter ce film tout seul... Respect. Tetsuo : The Iron Man est certainement (avec AKira de Otomo) le 1er film à avoir donné un sacré coup de poing au cinéma SF au Japon.... Et quel punch!! Sûrement mon film préféré du Tsukamoto avec Tetsuo 2.

09 mars 2005
par Sifu Tetsuo


Le film qui m'a marqué a vie... Fantastique...

Pour moi ce film est un chef d'oeuvre monumental. Dur de dire ce qui ma plut dans le film mais je pense que c'est en fait l'etat de folie ambiant présent du début a la fin. Ce film est dérangeant, flippant mais surtout jouissif tellement le réalisateur est allé loin... A voir absolument...

28 novembre 2004
par kgoule


Une merveille

Tetsuo premier du nom est sans aucun doute l'un des meilleurs films nippon jamais réalisé. L'utilisation du noir et blanc permet de faire ressentir au spectateur une sorte de suffocation, la caméra bouge ce film est nerveux à souhait je n'en attendait pas moins du grand Tsukamoto!!.

04 novembre 2004
par pixenti


Un truc de malade!

film plus qu'étrange, complétement fou et speed, ca pulse dans tout les sens et c'est hyper inventif. Ca dure pas trop longtemps, et heureusement car je pense pas que ca tiendrais trop sur la longueur. Mais pendant une heure j'ai été scotché par ce film. Moi, j'aime. Si vous aimez les OFNI, allez-y. Sinon, voyez le aussi, on sait jamais.

08 mars 2005
par Shalashaska


Lynch cyberpunk sous acide.

culte et forcement genial..

18 août 2002
par Guesar


Tetsuo, la "iron claque" dans les gencives

Incroyable, bluffant, furibard, ...bref, UNIQUE !! Tetsuo, pour un film presque amateur est une authentique réussite autant visuelle que narrative : flash-backs, accélérés, "caméra folle", montage ultra-cut (Michael Bay est un escargot à coté), indus tonitruant en musique, .... Et thématiquement ? Aussi ! Certes, le pitch de base est simple (un salary man percute un clodo qui cherche à se transformer en machine et mute peu à peu en un tas de férraille contaminant tout ce qu'il touche) mais il y a une vraie sincérité dans cette débauche anarchiste, monstrueusement mastoc, avec une mise en scène qui donne vite au film une tournure de manga underground complètement destroy, généreux en effets chocs (le coup de la fille empaler par un sexe en forme de perceuse, fallait oser !). Bref, si, comme moi, vous aimez le ciné déviant ou que vous voulez voir quelque que vous n'avez jamais vu auparavant, vous devez voir Tetsuo (surtout le premier !!)

14 novembre 2002
par François H


Meli-melo métallique et plastique

Experimental, dérangé, hyper-speedé, visuellement plus que surprenant... Voici quelques mots pour résumer l'ovni qui représente peut-être le plus Shinya Tsukamoto. Il frappe fort, et on ne s'en relève pas... Chaotique et flou, certes mais tellement bon... Evidemment, les âmes sensibles et ceux qui ont besoin d'une structure classique et d'un visuel standard peuvent raccrocher. Un OVNI, véritablement (ce terme est utilisé à outrance pour désigner Tetsuo, mais il le représente tellement bien ^^). Une experience à vivre au moins une fois pour tout cinéphile éclectique.

14 août 2004
par DarK ChoueTTe


Une bande son géniale, la caméra qui part dans tous les sens tetsuo:Iron man est beaucoup plus innovant, bizarre et interessant que le tetsuo II qui m'a bien endormi.

31 juillet 2001
par spaceh


difficile experience

que la vision de ce truc.c'est un OVNI pur et dur du cinema.plus que culte,qui n'a pas vu ça? peut être un peu trop dur et/ou extreme

14 janvier 2003
par seijûrô hiko


Hystérie de la matière.

... ou de l'âme altière, délire filmique complétement déjanté, le punk à la face d'ange balance à la gueule du monde un pamphlet dégénéré de l'homme et ses créations, une version de Goldorak revisitée par Marcel Duchamps ou un Vidéodrome revu par un Andy Warhol en pleine période boîte métallique, qui donne un résultat très jouissif, pervers et sexuellement masochiste, une référence incontournable... Avec des clins d'oeil à Docteur Folamour (le professeur fou) et Orange Mécanique (le clochard bastonneur) ???

27 juin 2002
par Iron Monkey


film de barje

normal c'est japonais et c'est Tsukamoto. TETSUO fait partie de l'histoire du cinéma nippon et meme mondial. ça sent bon l'expérimentation et le trash des années 80, c'est un film essentiel pour l'univers cyberpunk, et sa forme visuelle totalement folle. perso j'ai préféré le 2, plus accessible, plus posé et plus joli visuellement, mais de toute façon il faut voir les 2 (merci Jean Pierre pour le coffret). en gros c'est du bricolage un peu gore, ça sent le film amateur ou le court métrage déjanté, avec une zik indus/bruitiste excellente. TETSUO fait partie des meilleurs films de Tsukamoto avec TOKYO FIST ET BULLET BALLET, les 2 films de la maturité artistique. les autres sont dispensables.

14 août 2004
par chronofixer


Tiens !! Prends ça !!

C'est comme une claque. Le film est chaotique, mais il suffit d'atteindre parfois l'incohérence nécessaire pour faire un bon film. Tetsuo tiens plus de l'expérience cinématographique que du film. Mais quelle expérience !

18 septembre 2002
par pacman


'spèce de malaaaaaaaaade!

La "Métamorphose" du 21ème siècle en quelque sorte. Comment devient-on un monstre de nos jours? pas en se transformant en animal mais bien en machine. Bien plutot que les machines qui deviennent humaines, c'est l'humain qui devient machine. Brrr! j'ai peur, c'est le cauchemar industriel intégral. Est-ce que ce film est cyber? j'en sais rien mais en tout cas, malsain, oui, limite gerbant, mais d'une originalité à couper le soufle et d'une énergie dans l'infamie soufflante. Bref le film le plus dingue qu'il m'ait été donné de voir. Shinya, au cas où on t'aurait jamais donné le conseil: fais-toi soigner! P'tètre qu'on aura des films plus conventionels mais ca vaudra mieux pour toi.

11 juillet 2005
par Cuneyt Arkin


Métal Hurlant

Enchaînant directement sur "Tetsuo" après s'être à nouveau fait la main sur des réalisations avec "Phantom of the regular size" et "Adventures of Denchu Kozo" après un long passage par le théâtre, TSUKAMOTO poursuit les idées abordées dans ses pièces de théâtre. Profondément influencé par le cinéma expérimental underground des réalisateurs nippons TERAYAMA ou ISHII, il s'inspire également des premiers films de Sam Raimi, David Cronenberg ou David Lynch. Succession de scènes apparemment sans queue, ni tête, on ne peut que rester admiratif devant la parfaite maîtrise de son délire (nécessitant quand même 18 mois de tournage). Cinéma basé sur de la pure émotion, le réalisateur régurgite toutes ses sources d'inspiration en un magma mal défini de bruit et de fureur. Effectivement vide et poseur pour celui qui ne serait pas affilié à l'univers particulier du réalisateur, TSUKAMOTO cristallise par la suite toutes ses thématiques et sujets abordés dans ce premier et donnera les clés nécessaires pour déchiffrer l’œuvre autrement autiste. Et c'est justement dans cet univers clairement exposé tout au long de sa filmographie, que ce premier long-métrage prend toute sa force et se distingue d'autres oeuvres plus anonymes, telles que "Pinocchio 964". Fasciné par un mélange cyber-punk entre la chair et le métal, le réalisateur aborde déjà la différence de l'individu se sentant rejeté dans un système oppressif, le dépassement de soi, l'agressivité entre les hommes, le progrès industriel manipulant la main d’œuvre...Forte oeuvre d'un psychotique de la société, il faudra encore de longues années au réalisateur avant de trouver le repos par l'âge de la raison (et notamment la naissance de son enfant). En attendant, il allait continuer à délivrer de rares charges enragées avant d'aborder un cinéma plus illustratif à partir de son "Snake of June".

23 novembre 2005
par Bastian Meiresonne


Lorsque virtuosité technique et cinéma underground entrent en osmose

Il faut le voir pour le croire. Tetsuo, c'est comme si votre cerveau tombait à l'intérieur d'une machine à laver en marche et tournoyait pendant une heure. Une véritable défonce filmique, dépourvue d'une quelconque issue, qui laisse pantois, fasciné ou frustré. Rappelons que le film s'inscrit dans le mouvement dit « cyberpunk » japonais dont il se veut l'un des pionniers. Aux manettes, un dénommé Shinya Tsukamoto, que personne ne connaît encore et qui va révolutionner le cinéma expérimental grâce à deux objets inclassables, ce Tetsuo dont on parle ainsi que Tokyo Fist (réalisé six ans plus tard). Le vrai génie de Tsukamoto ne réside pas tant dans l'inventivité et la débrouillardise hors du commun dont peuvent témoigner chaque instant, chaque plan de la bande, mais dans le fait de transcender une simple succession d'effets visuels éléphantesques – c'est le mot – en un authentique film d'horreur ultramoderne – ou plutôt futuriste –, à l'atmosphère oppressante au point d'en être insupportable. N'ayons crainte de le dire, insupportable est le terme qui convient le mieux pour définir les sensations éprouvées au visionnage de Tetsuo. Mais il s'agit d'un supplice si fascinant que l'expérience en vaut la chandelle. On assiste donc aux mésaventures de cet homme se fusionnant progressivement avec des résidus de métal dans une société urbaine de plus en plus déshumanisée. Cette supériorité industrielle par rapport à la nature humaine, Tsukamoto ne la traite en aucun cas sur un ton péjoratif, même si le climat cauchemardesque de l’œuvre tend à nous faire imaginer l'inverse. Tetsuo n'a rien d'un plaidoyer écolo, tout se joue sur la forme, rien que la forme. La force plastique de cet ovni au noir/blanc apocalyptique et à la musique génialement stridente nous procure pour ainsi dire l'effet d'une belle claque droit dans la figure. Un tel « défouloir » séduit ou suscite le mépris, apporte la plénitude ou le l'agacement le plus total. Qu'importe, le grand talent d'esthète de Tsukamoto, cinéaste résolument unique, n'est plus à prouver depuis et il demeure important de voir et revoir son premier tour de force pour s'en apercevoir sensiblement.

27 mai 2006
par Chip E


Aïe!

Un film qui fait mal, ouïe ouïe ouïe! Je l'ai regardé jusqu'au bout non sans mal. Car oui, j'ai souffert en le regardant, je ne sais pas retranscrire ce que j'ai ressenti, c'était un peu comme aller chez le dentiste, ça fait mal et quand c'est fini, on se sent mieux... Du coup, j'ose pas regarder le 2. L'ambiance m'a parfois rappelé "Eraserhead" de D.Lynch.

27 juillet 2002
par ikiru


Vraiment bizarre......

C'est vraiment un ovni cinematique j'ai été supris de cette folie c'est pour cela que je lui let un 2 sinon bof bof.

26 janvier 2006
par Zabolus


Je n'ai pas gardé énormément de souvenirs de ce film... Il y a pas mal de bonnes idées, une façon de faire bien typé, mais voilà, le film a beau être court, il aurait gagné à l'être encore plus : il a tout les ingrédients pour faire un bon court métrage, mais pas pour nous divertir/occuper 1h...

21 août 2005
par Dakysto


Du scolaire, de la répétition, et de mille et un petits trucs qui font tendance

Voir Testsuo - ou n'importe quel film de Tsukamoto, mais Testsuo est son meilleur, c'est-à-dire son pire - n'a plus aucun intérêt aujourd'hui. C'est que Testsuo est un manifeste. Une leçon de filmage. Un manuel de tout ce qu'il ne faut pas faire pour être bourgeois au cinéma - et conséquemment de tout ce qu'il faut faire pour ne pas y être bourgeois. La subversion, c'est bien connu, se paie d'une certaine dissimulation publique, mais elle se rembourse au centuple dans la considération des initiés (qui, ainsi, se paient aussi, communautairement, d'être marginaux). Tout cela, néanmoins, ne serait pas grave (même : ça ne l'est pas du tout, chacun ses goûts), s'il ne s'y jouait pas l'enjeu du film lui-même. A ce petit jeu de cache-cache distinctif, Testsuo respire entièrement. Il prend la respiration du jeu. Il s'oublie comme film. Les images ne sont que des prétextes. Des signes. De la publicité. Testsuo pourrait n'être qu'un gigantesque clip à la gloire de sa bande-son. Ou de son réalisateur. Ou d'une marque de vêtements trash. S'agit-il vraiment d'un film ? S'agit-il vraiment de cinéma ? Mais c'est quoi, le cinéma ? Qui sait ? Est-ce que ça intéresse quelqu'un d'ailleurs ? La génération Tsukamoto qui au Japon ou ailleurs (Aronofsky) a suivi l'esthétique de Tetsuo s'en fout, c'est sûr. Ils ont compté, et plus personne ne peut rien y faire. Ce qui est triste dans tout ce méli-mélo politico-social, c'est qu'aucun d'entre eux n'aura eu le mérite de dire le statut de leur travail. Ils s'en foutent du cinéma - et peut-être ont-ils raison -, mais jamais ils ne l'admettraient. Pour eux, Tetsuo c'est vraiment du cinéma. Et du meilleur. Moi, ça me déprime.

19 décembre 2002
par Maggielover


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