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Story of Ricky

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les avis de Cinemasie

10 critiques: 2.45/5

vos avis

40 critiques: 3.41/5

visiteurnote
vincent 4
White Snake 5
A-b-a 2
Bigbonn 3.25
Chang La Rage 5
Chip E 3
chronofixer 3
Cuneyt Arkin 3.5
Daimajin 3.5
DarK ChoueTTe 2.25
dll_povtyp 0.5
Flichtenbloden 4
Fred30 4.5
Guesar 5
hayaji 2.75
Hots@uce 0.5
Iron Monkey 2.5
jeff 3.75
jeff_strike 3.25
Jemo 4
Jérémy 4.25
Jonathan-Asia 4
jool 3
lo sam pao 2
Mandraker 5
Manolo 4.5
Mounir 0
Nemesis8sin 5
Oh Dae-soo 3.5
Oiggab 2.75
okinawa 5
ongo 3.5
Phildu62 3.5
pikachoo 5
pikoti 1
Sauzer 4.5
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Sorcier Sifu 4.5
steed 3
takeruprod 5
Toto456 5
TsimShaTsui 5


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Intégralement nul

Rien à sauver dans ce nanar cosmique, et c'est plutôt tant mieux. Plutôt car le rythme est un peu trop "plan-plan" parfois. Sinon le cahier des charges est bien remplis ou plutôt vidé, Ricky passant le plus clair de son temps à étriper/empaler/exploser/arracher/trancher/fracturer des troncs/bras/jambes/têtes. Comble de l'horreur il sourie aussi avec ses copains détenus. Il explose des murs à l'occasion quand il a rien de vivant sous la main. Ricky, un bourrin ? Retirez ça tout de suite...Les séquences """"""émotion""""""" complètement foireuses sont là pour vous prouvez le contraire.

06 mars 2020
par A-b-a


this is a man's world

C'est en effet un univers très masculin qui nous est présenté ici. Les deux seules actrices jouent : une jeune fille admirable de gaieté et d'intelligence, résolue face à l'adversité (jouée par une actrice de talent dont les mérites ne sont plus à prouver, Gloria Yip) mais dont la présence est malheureusement réduite et un monstre sanguinaire dont on en arrive à se demander si c'est une femme (mais on arrive vaguement à distinguer Yukari Oshima). J'admire le travail du réalisateur, qui a réussi à transformer ses personnages en êtres humains, avec de véritables interrogations existentielles, qui renvoient les frères Wachowski à leur école. Rikki n'est pas uniquement un homme déterminé à découvrir POURQUOI il est ici, et comment se rendre utile dans un monde où le capitalisme a triomphé. c'est un homme sensible, qui souffre lorsqu'il voit quelqu'un en peine (cf le passage sous la pluie, qui montre toute la détresse d'un homme qui prend conscience de son rôle de médiateur dans cet enfer qu'un certain Raf... ne renierait pas;), un homme marqué par un destin tragique (voir les retrouvailles émouvantes avec son oncle dans un cimetière, oncle qui ne se contentera pas de lui enseigner son art, mais deviendra son mentor dans sa quête spirituelle, il est d'ailleurs à regretter que ce côté soit si subtil). Un homme qui prend conscience que "de grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités". C'est une oeuvre profondément humaniste que ce "story of ricky" (chose surprenante en sachant qu'il s'agit de l'adaptation d'un manga de l'auteur de "Ken le survivant"), un peu à la manière de "Après la pluie", le film qu'Akira Kurosawa n'a pu achever. Et si Nam Lai choi n'égale pas la beauté plastique et visuelle des paysages du film japonais, il nous offre un festival de plans plus beaux les uns que les autres, de véritables peintures surréalistes, jouant habilement sur une teinte rouge qui trouve parfaitement sa place symboliquement dans le contexte idéologique de la quête de soi. Un peu à la manière d'André Breton pour son "Nadja", Nam Lai Choi ne définit pas ses personnages comme de simples héros de bande dessinée, ce sont des êtres complexes, dont les buts ne sont pas toujours ce qu'ils semblent être à priori, ainsi le 1er chef de prison qui affronte Rikki (non sans remettre en question tout le système qu'il sert, prenant alors conscience que c'est sa liberté qu'il défend, et non plus uniquement les règles de la prison) est l'un des personnages les plus intéressants. Si l'affrontement est violent, il n'en demeure pas moins intense dans le tragique, les personnages sont désespérés et tous deux déterminés à découvrir ce qui les pousse à agir. La scène suivante est l'une des plus belles qu'il m'ait été donné de voir dans un film : Rikki rencontre le frère de son adversaire en pleurs. Il décide de s'occuper de lui, et de prendre à son tour la place de mentor (ainsi l'analogie entre Rikki et son oncle pousse à se demander si l'oncle n'est pas une représentation symbolique du surmoi de Rikki, surmoi qui au demeurant n'exclut en aucun cas un désir physique pour le fils du directeur de la prison qu'il rencontra plus tard dans des circonstances idéales à la naissance de sentiments amoureux). Il offre alors à son protégé une flûte, qui, si elle se révèle être un facteur déterminant dans la disparition du protégé, n'en demeure pas moins lourde de symboles (ainsi le parallèle entre la mort de la fiancée de Rikki, qui plonge littéralement vers sa destinée et la séparation du protégé et de ce qui fait de lui une entrave à la liberté d'expression peut elle être vue comme une image du jardin dans la psychanalyse freudienne). La flûte représente dès lors non plus un élément physique en tant que tel, mais une représentation de ce même désir qui pousse Rikki à se ressourcer avant chaque nouvel affrontement. Ce n'est qu'en libérant les opprimés qui vivent dans la prison, après avoir réduit le directeur à l'état de cendres (cendres faisant étrangement penser à des braises, toujours avec cette nuance de rouge, qui montreraient ce désir indomptable de vivre) que Rikki découvrira qui il est réellement. Une oeuvre bouleversante sur bien des points, incomprise de la plupart.

14 juin 2003
par Chang La Rage


HK Troma – matez ce truc ou vous n'aurez rien vu

Curiosité inestimable, Riki-Oh: Story of Ricky est pas mal de choses à la fois: un Category 3 dans la plus pure tradition, un nanar à 80% volontaire, une parodie parfois désopilante et une bande monstrueusement gore. Contrairement à la plupart des productions de la firme Troma, dont ce film n'est souvent qu'à quelques encablures, la réalisation s’avère ici tout à fait honnête, voire au-dessus de la moyenne du genre, même si elle ne fait bien entendu preuve d'aucun génie. L’action se déroule à l’intérieur d’une singulière prison, où les gardiens corrompus mais également les détenus physiquement plus costauds que les autres font la loi à coup de tabassages et de mutilations en tous genres. Heureusement, le brave Ricky, un surhomme qu’aucun obstacle n’arrête, vient faire le ménage en tant que détenu. L'intrigue tourne à partir de là au gros n’importe quoi, et c’est tant mieux: Riki-Oh: Story of Ricky marque une certaine quintessence du délire trasho-Z en accumulant les énormités invraisemblables entre deux effets gore graphiquement dégénérés, comme on en a jamais ou rarement vus dans le septième art. Les têtes éclatent en mille morceaux, les coups de poings traversent les corps et les visages de but en blanc, les viscères sortent des estomacs ou servent à étrangler l’ennemi, sans citer exhaustivement toutes les joyeusetés sanglantes que réserve le film. N’ayons crainte de le dire, Riki-Oh: Story of Ricky se présente comme une de ces bonnes grosses boucheries telles qu’on en trouve une fois sur dix dans le paysage du gore, du vrai. En dehors de ça, l’ensemble alterne flash-backs on ne peut plus kitsch de Ricky lorsqu’il était heureux ou lorsqu’il apprit à se battre (il adore casser des grosses briques de sagex, le bougre !) et moments de comédie grasse – les passages avec le fils obèse et ultragâté du directeur de la prison sont à mourir de rire. Au final, tout ceci a beau tenir de la plus définitive des inepties sur pellicule, on ne peut nier qu’il s’agit d’un ovni extrêmement jouissif, gavé de gore et de conneries en tous genres, complètement débile, mal foutu et abracadabrant, certes, mais pourtant si savoureux qu'il est bel et bien impossible de lui résister. Du gros cinéma d'exploitation made in Hong Kong comme on en fait plus.

11 mai 2006
par Chip E


dans son style, ce film est réussi

série z bien débile, avec tous les clichés possibles, prison/kung-fu/gore cheap, ça fonctionne bien et le mélange est original. Cependant ça reste de l'ultra-bis, il ne faut pas s'attendre à un quelquechose de cinématographiquement intéressant. juste un film bien con et divertissant, un peu comme les TROMA.

17 mai 2004
par chronofixer


Miam!

Et voila le genre de gros nanar qui vous retourne le cerveau tellement ils sont cons, mais qui vous mouillent le froc tant ils sont jouissifs. De la barbaque et c'est tout mais c'est tellement bon qu'on en redemande!

21 juillet 2005
par Cuneyt Arkin


Ah oui, quand même oui.

Dans le genre bourrin, j'ai rarement vu pire.. En fait, le film vaut surtout pour ses scènes outrageusement sanglantes et grotesques (viens par ici que je t'étrangle avec mon intestin...O_O;...), avec éclatage de tête, transpercement du point, et autres joyeusetés... Ca pourrait presque être défini comme du Hokuto no Ken live par moments.. Après, le problème, c'est qu'à côté de cet intérêt principal, c'est le néant... Un film de tôle avec persos stéréotypés, une moitié des acteurs très peu convaincants, une BO assez limite... Bref, sans ce côté gore, le film n'aurait AMHA strictement aucun intérêt...mais pour les ameteurs de bon gros charclage, les scènes de baston méritent d'être vues, en tant qu'ovni, tellement les limites sont poussées loin à ce niveau. Le reste est assez quelconque...et plus ça allait, plus je me désintéressai de ce qui se passait à l'écran... Allez : 2,25/5, parce qu'il fallait oser quand même...

14 janvier 2005
par DarK ChoueTTe


J'ai vomi mon quatre heures

Ce film fait passer Bad Taste pour "L'anniversaire de Martine". Faudrait quand même faire examiner Nam Lam Choi, parce que c'est déjà pathologique de penser à tuer quelqu'un avec un rabot... mais alors le filmer.... Ricky Oh est une expérience à tenter - pour les plus solides.

26 janvier 2006
par hayaji


Affligeant

Pourtant reputé comme un des fleurons du cat III, Story of Ricky est mauvais, bouseux, naze, nul, et bien plus encore. Rien à sauver dans ce kung-fu/gore qui base son succès et sa soi-disant réputation de cat 3 culte sur ses seules scènes d'arrachage de bras ou autres tranchage de jambe (vraiment mal faites). Comment peut-on trouver ce film jouissif ou bien prendre du plaisir avec Story of Ricky ? (on peut avec Ebola Syndrome par contre =) Rien à voir avec le débile mais très parodique et soigné "Seventh Curse" du même Nam Lai-Choi. Les acteurs sont quant à eux terrifiants de part la grandeur de leur jeu (l'acteur principal est un croisement entre Van Damme et Christian Clavier) et le script, ..., c'est le néant. A signaler plein d'émotions, des pensées philosophiques et tout et tout .... Un vcd à jeter par la fenêtre (avec la force de Ricky). * J'ai bien aimé la critique de little_buster_biao, qui a visiblement du prendre trop d'acides avant (voire pendant) le film.

20 juin 2004
par Hots@uce


Super Big Bras contre Devil Director of vilaine prison.

Une grosse boufonnerie complètement dédié à l'éviscération et aux démembrements cradingues réalisée par une espèce de Ed Wood chinois qui se laisse voir pour une bonne partie de rigolade entre amis. Sinon...

11 octobre 2001
par Iron Monkey


ma femme veut divorcer

hier soir je mets le dvd de chez HKL "STORY OF RICKY" .comme il y a des s-titres néerlandais j'invite ma petite famille a voir un film HK. et voici le résultat apres 20 minutes, ma femme veut telephoner apres une ambulance pour me faire soigner, et elle veut divorcer si je lui montre encore des films pareils! Ma fille et son petit ami sont partis aussi apres 20 minutes ils avaient rendez-vous avec des copains et copines (mon oeil) et le chien lui est resté avec moi pour voir ce chef d'oeuvre bourré de défauts (carton en papier maché , les têtes qui explosent sont tellement mal faites qu'on a pas besoin de ralenti pour voir que c'est evidemment une marionnette etc etc...)moi en tout cas j'ai regardé tout le film qui est tiré d'une BD comic'book japonnaise et je me suis bien amusé. Très difficille de donner une note a ce film qui est spécial mais qui m'a plu. ah j'ai trouvé pour la note.... @+ jeff

20 décembre 2002
par jeff


UN MUST DU GENRE !

Imaginez H.G. Lewis (le pape du Z et l'inventeur du gore) ou comme cela a déjà été justement dit Ed Wood, croisés à un Peter Jackson période Bad Taste (pour le côté cheap-funny, gore et scato) et vous obtiendrez Story of Ricky, un film too much à tous les niveaux, sans limites, devant lequel il en tous cas absolument impossible de s'ennuyer! Le film va bien au dela de son côté foireux, fauché et 100% Z, puisqu'il revendique complètement ce qu'il est, allant juqu'au bout de sa démarche d'oeuvre qui doit forcément être fun, jouissive et excessive, faisant preuve d'un appetit féroce et d'une bonne santé exemplaire dès qu'il s'agit d'en faire des caisses, que ce soit dans le gore ou dans tout autre domaine (direction d'acteurs, personnages, décors...), toujours dans la foi et dans la bonne humeur. Les scènes sentimentales ou d'émotions sont parmis les plus délicieusement ridicules qu'il m'ait été donné de voir sur un écran, mais elles sont tellement assumées qu'elles ne font que rajouter au délire rare et totale d'une oeuvre finalement précieuse car COMPLETEMENT LIBRE et généreuse dans TOUS ses effets ! Story of Ricky fait un peu penser à un imbécile heureux, joyeux et fier de l'être, n'hésitant pas à litéralement défoncer les portes de la connerie pour notre plus grand plaisir...complètement jouissif donc ! Par son charme unique, Story of Ricky rentre tout droit dans le club très fermé des films cultes provoc' et cradingues mega-cheap mais furieusement bandants et instantanémant cultes dont font partie Evil Dead, Blood Feast, Bad Taste ou même Versus. Les fans me comprendront, les autres...

22 mai 2002
par Jemo


Du grand n'importe quoi !

Le Ed Wood de HK, alias Nam lai Choi, signe ici un nanar super divertissant, avec du gore en pagaille et des idées débiles à la pelle. J'adore, avec encore plus de combats et de gore j'aurais mis 5.

07 juin 2004
par Jérémy


Pour une giclée de tripailles !

Haaa, ce film ! Haaa, Nam Nai Choi, ce génie complètement cinglé! Purement jouissif, Story of Ricky est pour beaucoup un flm culte du cinéma Hk et un authentique nanar. Cartoonesque dans la violence ( corps qui explosent, têtes pulvérisées, intestins servant à étrangler et j'en passe !), fou dans ses situations, c'est un film barré et crétin, absurdement gore mais 100% délirant. Yukari Oshima joue un homme (!) et le casting de brutes épaisses s'en donne à cœur joie pendant 1h30. Culte !

04 novembre 2015
par Jonathan-Asia


Un bon film barbar

Scenario pas credible, acteur bidons mais c'est jouissif de voir dess combats sans arriere pensee, sans se "prendre la tete". Un film original sans pretention...

16 juillet 2003
par Oiggab


Un plaisir coupable par excellence

D' une bétise et d'une absurdité sans nom, ce film mérite le coup d'œil ne serait ce que pour voir Yukari Oshima en transexuel. Un des films de prison les plus étranges qu'il m'ait été donné de voir.

03 janvier 2009
par Sifu Tetsuo


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