ma note
-/5

moyenne
3.17/5

L' impitoyable

nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 4nombre de notes: 12nombre de notes: 1nombre de notes: 1nombre de notes: 1

les avis de Cinemasie

2 critiques: 2.88/5

vos avis

17 critiques: 3.22/5

visiteurnote
vincent 4
A-b-a 2.5
acimovic 4.5
angelo 3.5
Bastian Meiresonne 3
Black_pantha 2.75
Chang La Rage 3.25
Fred30 3.5
Illitch Dillinger 3.25
jool 3
k-chan 2.75
le-maitre-chinois 5
lo sam pao 3.25
Manolo 3
Phildu62 3.25
Sauzer 3.25
Sifu Tetsuo 3
snipe-wolf 5
Wesker 3.25


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Pas une purge mais défauts plutôt rédhibitoires

(Vu en version intégrale vostfr). Le fait que ce film ne soit pas une kung fu comédie n'est pas en soit un défaut, mais je pense qu'il est bon de le préciser en préambule. L'impitoyable (dans sa version intégrale tout du moins) aurait gagné à être plus simple d'un point de vue scénaristique, car il ne s'agit que d'une histoire de vengeance avec suspens très aléatoire. En l'état les seules qualités de ce métrage sont la curiosité de voir un Jackie Chan entièrement muet jusqu'au début du combat final, la toute première chorégraphie voyant ce dernier se mesurer à cinq moines (les autres ne sont pas infamantes, juste basiquement ludiques) et les passables séances d'apprentissage.

07 octobre 2019
par A-b-a


coup de coeur

a ostalgie,quand tu nous tien,en feet c'est le premier film de jackie chan que j'ai vu,et c'est celui si qui m'a donné vraiment envie de connaitre ce superbe acteur!! L'histoire est basique,vengeance et vengeance,mais les combats tres bien coregraphié!!!

12 juin 2007
par acimovic


Un film qui sort du lot grâce à un scénario assez bien écrit et bien exploité.

En effet, Lo Sam Pao a bien résumé le scènario de ce film, qui donne l'occasion à Jackie de jouer son premier rôle intéressant, et d'évoluer dans une histoire plus approfondie que d'habitude. Si le film est martial dans tout son déroulement, il y a finalement peu de combats, surtout pour un film de cette époque, et ils sont loins d'être les meilleurs du genre, car trop techniques, trop peu fluides. Cependant, il y a quelques enchaînements de qualité dans le combat final, et quelques accélérés bienvenus. La scène avec les hommes de bois est amusante (assez kitch quand même) mais possède quelques bons moments (acrobaties, chutes, et enchaînements de bras). Donc pour ce qui est du kung fu pur, il ya d'autres films plus intéressants. Mais pour l'esprit du film, les personnages et l'ambiance, c'est de loin l'un des plus réussis de l'époque Lo wei/ Jackie. LA réalisation n'est d'ailleurs pas honteuse, tout comme le montage, qui s'appuie efficacement sur une musique dans l'ensemble réussie (on reconnait d'ailleurs des passages entendus ailleurs, comme dans "snake in the eagle's shadow") qui colle bien à l'action. La fin est assez spectaculaire également, seul regret, le cameo de Biao qui est plus que sous employé (un seul beau coup de pied... quelle honte. Mais à part ça, il parle plus que Jackie sur l'ensemble du film.) Donc si vous etes nostalgique des vieux kung fu chanien, et que vous en cherchez un plus original, choisissez celui là.

03 mars 2004
par Chang La Rage


"Wooden Jackie Dummy"

Sorti dans nos verts paturages sous le titre de "L'Impitoyable", Shaolin Wooden Men est un Kung-fu pian didactique plutot interessant et original. Une histoire de vengeance certes mais pas si classique que ça... Tout commence par un rêve, le muet (le personnage de Jackie est sans nom et muet) affronte dans une chambre sombre les maitres shaolin des différentes techniques de combat comme la grue, le dragon ou le tigre. Ayant vaincu les 5 maitres, il entre dans la chambre des "hommes de bois" où il ne fait pas long feu, soudain il se réveille. Il reprend sa vie difficile de disciple du temple de shaolin. Victime de son handicap, il doit accomplir la plupart des corvées au cours desquelles il se remémore la douleureuse fin de son père tué par un mystérieux homme masqué à la technique foudroyante. Pendant ses tâches, le muet rencontre divers maitres qui, apitoyés par son sort, veulent lui enseigner leurs différentes techniques mais le muet est particulièrement attiré par un prisonnier austère qui enseigne une technique considérée comme très violente. Après avoir vaincu ces hommes de bois, il l'aidera plus tard sans le savoir à organiser une rebellion contre le temple de shaolin et se rendra compte que (si vous ne l'avez pas encore vu ne lisez pas la fin du paragraphe pour ménager le suspense) ce maitre si violent et attanchant n'est autre que celui qui a assassiné son père... Jackie Chan interprète un personnage inhabituel et cela de manière assez convaincante, Il s'agit d'un muet candide et respectueux dont la détermination et l'enthousiasme surmonte son handicap et les difficultés de l'apprentissage. Le Kung-fu surpasse l'art, chaque méthode de combat doit se retranscrire dans la vie du combattant sous une forme philosophique (Le moine ivre représente l'insouciance, l'excès et l'independance, la pretresse représente la sagesse et la rigueur tandis que le prisonnier évoque la haine, l'orgueil et la rancune). Le muet reconnaitra d'ailleurs le meurtrier de son père à sa technique de combat. La victoire sur les hommes de bois est l'ultime aboutissement de cet enseignement qui est un effort physique et spirituel de chaque instant. Le souvenir (voire le traumatisme qui lui est associé) est un thème recurrent dans cet oeuvre cela se voit à travers les divers flash-back du muet ou du maitre Len Kou et le récit en devient moins linéaire et hasardeux. Une fois que le muet sort de shaolin c'est une trame plus classique et apte aux affrontements qui débute avec l'avénement du prisonnier et sa vengeance. On remarque que l'amertume du prisonnier alimente sa vengeance et, ironiquement, celle du muet. La haine engendre la haine qui finit par se détruire elle-même (vous comprendrez en voyant la fin du film!). Le muet retourne à shaolin pour empêcher le massacre de ses anciens compagnons de fortune. Il apprend alors la méthode de combat martiale la plus haute et apte à se défendre contre l'agresseur et non à vaincre l'autre. Cette technique est détenue par le maitre Len Kou qui est l'aboutissement éthique, spirituel et physique de l'enseignement du Bouddha (il s'est mutilé devenant aveugle pour expier sa faute et cela uniquement pour son propre bien-être, il se tient dans la position du lotus...). Les autres personnages sont interprétés d'un manière théatrale et surréaliste qui convient au type du récit car toute cette histoire est un rêve (comme le montre le début du film) où est atteint l'aboutissement de l'être à tous les niveaux. Le film montre également que l'erreur est humaine, il est impossible de progresser sans elle tandis que la faute est impardonnable. Attardons nous sur la réalisation et les chorégraphies. Il y a (à mon humble avis) un peu trop de zooms. Néanmoins les flash-back sont judicieusement filmés, ils renforcent l'aspect traumatisant et le point de vue du sujet principal du souvenir. La scène de la mort du père est un exemple parfait, elle est filmée en noir et blanc avec un angle et une ouverture de diaphragme qui correspond au point de vue du muet (enfant) qui assiste sans défense à la scène. De plus le montage ne s'attarde pas à montrer un tout linéaire mais une suite de faits marquant hachés: la technique foudroyante, le père agonisant, le rire du tueur (le tueur porte d'ailleurs un masque assez ridicule qui me rappelle elephant man...). Les décors naturelles sont sympathiques. Les chorégraphies, que ce soit dans les entrainements ou les combats, sont plutot bonnes et en adéquation avec le récit, c'est à dire surréalistes et techniques. on peut regretter cependant que les enchainements de mouvements ne soit pas toujours assez fluides. On peut donc parfois déplorer le manque de moyen pour cette oeuvre surréaliste, intrigante et vraiment au dessus de la production de l'époque. A voir pour son scénario interessant, un Jackie Chan étonnant de candeur et de sobriété, notons que Yuen Biao joue un caméo peu présent mais plutot croustillant... Le film est réédité en DvD avec une copie sublime, seule la V.F est présente mais celle-ci n'est presque pas censurée (il manque une toute petite scène) et comme Jackie ne prononce que 2 phrases pas de problème de doublage... Mais qu'est ce que vous attendez...COUREZ L'ACHETER!

21 juillet 2001
par lo sam pao


un bon vieux Jackie

Un de ses meilleurs films de l'époque pré-Le Maître Chinois

01 mars 2006
par Manolo


Jackie en muet c'est sympa, mais loin d'être 1 de ces meilleurs!

1 Jackie sympa avec des combats pas mauvais,bien qu'1 peu trop rares à mon goût.Enfin il m'a quand même permis de connaître l'origine de Mokujin de Tekken3(les fameux wooden men),perso moi le flashback ,ça m'a plus fait de la peine que ça m'a impressionné mais vu que le film ne cumule pas les points negatifs ,c'est négligeable.Enfin 1 Jackie à regarder mais pas à acheter à mon avis.

26 août 2004
par Wesker


info
actions
plus
  • liens
  • série/remake
  • box office
  • récompenses
  • répliques
  • photos
  • bande annonce
  • extrait audio