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Scarred Memory

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les avis de Cinemasie

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3 critiques: 2.17/5

visiteurnote
Bastian Meiresonne 1
Jonathan-Asia 2.75
Manolo 2.75


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Viol au-dessus d'un nid de coucou

Dans le sillon des nombreux films HK hyper érotisés des années 1990, "Scarred Memory" se place comme l'improbable mélange d'un rape movie et d'un "God of Gambler" (ou du moins de l'improbable personnage du simplet à cause d'un choc de la tête). Voilà donc Veronica Yip à s'occuper d'un Simon Yam venu – une fois de plus – se fourvoyer dans une production éminemment Z. Au spectateur d'endurer près de 80 mn d'une fin absolument limpide, dont le seul mérite sera seulement de déraper dans un ridicule encore pire qu'initialement prévu. Seule curiosité du film: l'apparition du chef opérateur (Full Contact) / réalisateur (Erotic Ghost Story 2) Peter Ngor dans un second rôle.

02 juin 2007
par Bastian Meiresonne


Polar assez intéressant, avec des personnages assez solides, Scarred Memory n'est pourtant pas un film qui marquera les esprits, restant sympa et original mais vite oubliable à cause d'une 2e partie moins efficace que la 1ere.

10 avril 2017
par Jonathan-Asia


Un film étrange, mais finalement bien mis en scène et qui tient la route malgré un démarrage difficle.

Ce film est assez déconcertant au début car il utilise un mélange de genres de la même ampleur que Running On Karma ou My Sassy Girl pour citer les exemples les plus connus. Le premier 1/4 d'heure démarre comme un épisode d'"Urgences" avec la vie à l'hôpital et les triangles amoureux, ce qui n'est guère encourageant, avec en prime une scène de viol pour le côté glauque. La suite avec l'admission de Simon YAM aux urgences, qui va manquer de se faire assassiner par le violeur du Dr YIP donne l'impression qu'on est partie pour un film vraiment noir et glauque. Et là, changement radical avec l'exil de Veronica à Macau où le film adopte un ton beaucoup plus léger. Là bas, Veronica retombe sur Simon qui livre une prestation un peu gênante car très inspirée de "Chocolat" par CHOW Yun Fat dans Les Dieux du Jeu. Ce passage dure assez longtemps avant un retour à HK où les esprits vont se désembrumer et un final très polar/triades classique et un peu attendu. Au final, l'histoire est quand même bien ficelée et le film plus intéressant que le début ne le laissait paraître dans ses premières scènes.

20 novembre 2006
par Manolo


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