Malgré son manque d'originalité, un bon divertissement mélangeant les genres
La première impression que laisse ce film est que nous avons un sous-OUATIC. Jet Li remplacé par Chiu Man-Cheuk, Tsui Hark par Yuen Bun, Rosamund Kwan par Jean Wong, le scénario mixe l'histoire du 2 avec celle du 3... Il est évident que le film manque d'originalité et perd un peu en talent. Cependant, cela reste un spectacle bien au-dessus de la moyenne. Certes Chiu Man-Cheuk n'a pas la grâce ni la prestance de Jet Li, mais il est tout de même très impressionnant.
Le scénario réchauffé reste cependant sympathique, puisqu'il mixe des combats avec des affrontements de lions comme dans le troisième opus. Le combat secte maléfique ne va pas sans rappeler le deuxième film. De plus, l'ajout de combat plus classiques rattrape un peu une des lacunes du troisième film dont les combats de lions pouvaient lasser à force. Dommage que le film ressemble un peu trop aux précédents, l'originalité n'est définitivement plus au rendez-vous.
Il faut d'ailleurs préciser qu'il vaut mieux avoir vu le film précédent, puisque les deux s'enchaînent parfaitement. Le générique montre des scènes du film précédent, et l'histoire reprend juste après la fin du film précédent, Fei-Hong accompagnant Tante Yee à la gare avant de voir arriver des officiels pour lui remettre le prix refusé à la fin du tournoi du lion. On retrouve bien sûr tous les personnages, de Wong Kai-Ying (père de Fei-Hong) à Leong Fu (assistant de Fei-Hong), en passant par Club Foot (Pied Bot dans la version française) et ses fabuleux coups de pied.
Autre attrait du film, on ne se range pas dans la comédie familiale. Car s'il y a beaucoup d'humour (beaucoup plus que dans les 3 premiers films), le film reste dramatique parfois, violent souvent. Le mélange des genres est donc encore présent, bien que le côté romance soit moins efficace. Je trouve Jean Wong merveilleusement jolie, mais elle n'a pas la prestance de Tante Yee. Et elle vient tout simplement après Tante Yee, irremplaçable.
Au final, même si le côté 3 = 1+2 manque d'originalité, OUATIC 4 reste un très bon spectacle à gros moyens. Conseillé donc, si possible après avoir vu les trois opus précédents.
Une suite qui n'est pas à la hauteur
Il était une fois en Chine - La danse du dragon est le quatrième opus de la fameuse série, initiée
par Tsui Hark et Jet Li . Trois épisodes et un différent plus tard, Jet Li est parti.
Nous retrouvons Chiu Man-Cheuk dans le rôle titre, Yuen Bau à la réalisation et Tsui hark à la production,
la fine équipe a disparu. Ils ont repris les ficelles des deux premiers films: mélange d'histoire, de combats
et d'humour. Cependant, l'ambiance n'est plus la même et la réussite n'est pas là.
Même si les combats sont bien chorégraphiés surtout ceux utilisant les dragons et les lions, Chiu Man-Cheuk
n'a pas le charisme, ni la présence de Jet Li, ce qui les rend un peu fade malgré tout. Le parapluie et le thème de
Wong Fei-Hung ne permettent pas de sauver le niveau. De plus, l'humour est devenu très potache et a
atteint le niveau de Claw of Steel : la franche rigolade n'est pas vraiment de mise.
Enfin, le scénario est très invraisemblable : il utilise la trame de la guerre des Boxers et l'humiliation subie
par les chinois à la fin du XIX siècle. Il n'est que le prétexte à de grands combats de dragons et de lions de
papier et de métal, qui opposent les chinois aux occidentaux.
Pour conclure, le résultat m'a déçu et n'arrive pas à la cheville des deux premiers opus : à voir sans plus.
Un quatrième volet intéressant, même si (très) loin d'être le meilleur
Après trois premiers opus pour lesquels Jet Lee avait interprété le rôle du célèbre docteur maître ès arts martiaux, c'est au tour de Chiu Man Chuk de reprendre le flambeau. Si Chiu Man Chuk n'a peut être pas la même classe que Jet Lee et colle moins bien au personnage, il n'en reste pas moins bon dans ce rôle et surtout sait faire étalage de tout son talent d'artiste martial de premier plan.
Au niveau des combats, puisque c'est tout de même l'une des grandes sources d'intérêt du film, on a droit à un Kung-fu virevoltant et spectaculaire (et à des scènes parfois violentes...), à grands renforts de câbles (sans qu'un usage immodéré de ceux-ci ne dilue le talent martial des artistes) et d'appareils loufoques (le bestiaire des Européens visant à mettre à terre les dragons chinois est réellement fabuleux…). On retrouve également un combat à coups de parapluie, dans la tradition de Won Fei Hong, un petit plaisir que l'on aprécie toujours ! Les scènes de combats sont plutôt nombreuses et, avec la maîtrise de Yuen Bun à la réalisation (ce n'est pas Tsui Hark mais c'et déjà très bien), le résultat est plus que bon, sans atteindre le grandiose.
Mais ce film n'atteint pas le niveau de OUATIC. On ne retrouve pas l'ambiance du premier opus, l'histoire est parfois un peu lourde (ou en tous les cas à prendre au second degré) et n'a pas la profondeur du premier volet. Une petite touche de romanesque avec l'apparition de tante May et de la dame de la lanterne rouge, et surtout une bonne dose d'humour (un humour très lourd...) avec des disciples désopilants (Leong Fu, chef de la bande, est grandiose) ajoutent malgré tout un peu d'intérêt à une intrigue parfois tirée par les cheveux qui présente tout de même de nombreux rebondissements et retournements de situation... Bien sûr la tolérance et la confrontation des cultures sont abordés, tout comme bien évidemment la colonisation de la Chine. Malgré tout ce film laisse plus la part belle à l'humour (et aux combats) que le premier opus par exemple, même si l'histoire n'est pas tout à fait dépourvue d'intérêt.
Quant à la musique, mêlant une nouvelle variation autour du grandiose thème de Wong Fei Hung, quelques musiques traditionnelles et la magnifique chanson des dames de la secte de la lanterne rouge, elle est assez intéressante.
Enfin la touche finale : les allemands ! C'est déjà quelque chose d'entendre parler allemand dans un film Chinois (et un allemand très compréhensible, parlé relativement lentement et sans mâcher les syllabes, qui plus est avec un bon accent !), mais nos amis Teutons sont ici assez formidables et tiennent une place de choix (celle des méchants en l'occurrence, comme souvent :-)… Mais pourquoi sont-ils si méchants ces allemands ? Et pourquoi toujours vouloir occuper le pays du voisin ? En tout cas je dois avoir de la chance : je n'ai jamais rencontré d'Allemands aussi méchants quand je travaillais là bas…
Toujours est-il que ce film, sans atteindre le niveau du premier opus, n'en reste pas moins un agréable divertissement.
1+2+3=4
Je n'ai rarement vu remake/reboot d'une saga, de qualité qui plus est, aussi paresseuse. Du premier "OUATIC", ce quatrième opus reprend la volonté de rebooter la trilogie réalisée par Tsui Hark (qui en est déjà un) tout en essayant, vainement, d'en donner une suite (le début d'une nouvelle trilogie). De "OUATIC 2", la secte nationaliste devient féminine (motivations identiques "en prime"), le prêtre occidental également (il reste un homme mais son comportement sera plus que similaire). "OUATIC" 4 démarre directement après le chapitre 3, donc, hop deux tournois ! Avec dragon et autre machines "animales de guerre" (plus un classique lion contre dragon au début). Tous les personnages (nouveaux comme récurrents) sont vidés de leurs substances ou figés en répliques redondantes désincarnées, Fei-heung y compris. Les évènements motivant les personnages, n'en parlons même pas. La seule idée un temps soit peu intéressantes (le thème du féminisme via le journal de Tante May) est expédié en une poignée de scènes. On bouche les trous avec le trio (comique ?) Pied-bot/Fu/Yan pour tendre vers une durée raisonnable. Pas étonnant que Tsui Hark ai été très déçu du résultat. Reste la mise en scène propre (la première de Yuen Bun) et surtout les chorégraphies dans l'ensemble sympathiques. Chiu Man-chuk en Wong Fei-hung est convaincant. Désolé, mais là, ca ne passe pas en ce qui me concerne.
4eme volet honorable
Sans Tsui Hark à réalisation et sans Jet Li dans le rôle de Fei Wong ce 4eme volet avait tout pour déçevoir. Et bien finalement non.
Le réalisateur chorégraphe YUEN Bun n'étant pas un manchot et connaissant bien son sujet (ayant chorégraphié les 3 premiers) se débrouille bien et semble plutôt à l'aise.
N'ayant pas le même style que Jet Li, l'acteur Chiu Man-Cheuk quand à lui s'en sort honorablement.
suite ratée, quasi remake du 3
L'acteur et le réalisateur changent, forcément ça se ressent...
De plus, l'intrigue est reprise du 3ème opus. Et c'est reparti pour un tournoi du lion, l'une des meilleures parties du film bien sûr, avec l'idée des "lanternes rouges", groupe religieux extrêmiste nationaliste qui rappelle la secte du lotus blanc.
Niveau combats c'est très moyen (honnêtement, rien de mémorable, à part quelques beignes à des chevaux (!)), niveau comédie peu de bonnes idées, et y'a même plus Rosamund Kwan.
Le moins bon épisode de la série.
PAS UNE SECONDE DE REPIT! UN TRES BON OUATIC
J'ai été très impressionné par ce quatrième volet! la relève de Tsui HARK est quasi parfaite. Celle de Jet LI un peu moins mais son successeur, alias Chiu-Man Chuk, n'en ai pas moins convainquant. Le film carbure à 100 àl'heure et le spectateur est completement immergé dans des chorégraphies très chiadées dans le pur style des trois premiers volets de la série. Je n'ai pas été déçu bien au contraire. :) A vous d'en faire votre opinion par la suite mais regarder le, vous ne devriez pas le regrettez ;)
Totalement d'accord avec little_buster_biao
Un remake en forme de somme des 3 premiers épisodes (les méchants occidentaux du 1, la secte du 2, le tournoi du 3). Le traitement infligé aux excellents billy chow et chin kar lok est véritablement honteux, ces 2 artistes martiaux hors pairs méritaient bien mieux que leur personnages respectifs. Dans l'ensemble le film se laisse cependant regarder mais souffre énormement de la comparaison avec les 3 premiers. Un épisode sympathique mais qui n'apporte rien à la saga.
Une suite qui conserve uniquement les arguments les plus commerciaux de la série, mais qui n'est pas dénuée de charme.
Première obstacle : Chiu Man cheunk vient remplacer Jet Li, est il meilleur, est il moins bon, pourra-t-on s'y habituer?
Difficile de les comparer, tant leurs interprétations sont différentes. D'ailleurs, ce n'est pas Chiu Man Cheuk qui a dû incorporer Wong Fei hung, c'est Wong Fei hung qui a dû assimiler Chiu Man Cheuk.
Ainsi, le bon docteur n'est plus un homme dépassé par les événements et mal à l'aise, mais un un homme calme, voir même zen (quand on a vu l'acteur dans "le festin chinois", on a aucun mal à comprendre pourquoi), même si toujours capable de se mettre très en colère et rosser ses adversaires.
En somme, si le personnage change (un peu) avec l'acteur, on ne peut qu'admettre que Chiu s'en sort honorablement, et campe un fei hung très charismatique. On regrettera tout de même les quiproquos et les scènes comiques dues à la maladresse de Jet.
Martialement parlant, on ne perd pas au change, Il se révèle lui aussi très doué et vif, et c'est un vrai plaisir de le voir en action.
D'ailleurs, il y a du beau monde ici: Hung Yan Yan, Chin Kar Lok, Billy Chow.
Malheureusement, ces deux derniers sont sous exploités, on ne les voit que trop peu, et ils se battent à peine (enfin Billy se bat quand même beaucoup avec les chevaux, qui d'ailleurs finissent par bien le lui rendre...). On pourrait même dire qu'ils sont gâchés et que leur présence est plus un clin d'oeil qu'autre chose.
Hung Yan yan est par contre très présent, mais on peut reprocher que son personnage soit si loyal et rangé. Il aurait été intéressant conserver un aspect chien fou, ici le personnage n'est plus du tout crédible.
D'ailleurs, c'est le principal défaut du film: son manque de personnalité. Le scénario reprend bêtement des éléments du second et du troisième opus, et les mixe sans génie.
La réalisation de Yuen Bun, sans être mauvaise, est plus qu'impersonnelle, il reprend tellement d'effets de style du précédent opus que ça en devient lassant.
En même temps, il s'agit vraiment de la continuité, les deux films pourraient presque n'en former qu'un, donc ce n'est pas si gênant, mais on aurait préféré plus de punch.
Autre point négatif, le manque d'implication et d'intensité. Le général auquel on est censés s'attacher, n'apparait que 3 plans. Même si l'acteur qui l'interprète a l'air très doué (il est en tout cas très charismatique), il lui est impossible de faire vivre un rôle avec 3 répliques, ce qui rend la sois disant scène d'émotion risible (le flash back est composé d'un seul plan montré avec transition pour donner l'impression qu'il y en a plus...).
L'aspect comédie est également décevant, c'est clairement pour l'action qu'il faut voir ce film.
Et de ce côté là, on est servis, il y en a beaucoup, le rythme est assez soutenu, puisqu'elles sont bien disséminées.
Et on peut vraiment dire que Yuen Bun s'est lâché! L'utilisation des câbles atteint son paroxysme sans jamais être ridicule. aucun combat ne ressemble à un autre, ni même à quelque chose qu'on ait déjà vu, et surtout, ils sont très vifs et bien découpés. On voit toujours très clairement ce qui se passe, et les mouvements restent très fluides. Si ça reste moins spectaculaire que les précédents ouatic, les affrontements restent grandioses, en particulier la dernière dans de dragon, qui est tout simplement hallucinante!
Bref, pas le meilleur épisode de la saga, il risque même d'en rebuter certains, mais reste un divertissement très réussi, qui souffre surtout de ses illustres prédecesseurs.
Bien meilleur que le 3 ! 
A voir pour les combats merveilleux de dragons (pour le moins non conventionnels...!)
Une addition de petits moins qui font de ce film l'un des moins réussi de la série.
Chiu Man Chuk, pourtant vraiment extraordinaire dans "The Blade", ne colle pas du tout au rôle de Wong Fei Hung. Non pas que ses capacités martiales soient en cause (il est très impressionnant dans la séquence de l'évasion et lorsqu'il atomise 10 gus avec un parapluie), mais son charisme est loin d'égaler la force tranquille dégagée par Jet lee sur les 3 premiers épisodes, il ressemble plus à un vulgaire disciple qu'autre chose. Et c'est la même chose pour Yuen Bun, chorégraphe sur les épisodes précédents il est promu ici au rend de réalisateur et ça se voie à l'image, malgrés ses tentatives pour essayer de coller au style que Tsui Hark a insufflé au précedents épisodes (plans de travers à gogo) on est loin d'atteindre la densité visuelle et la fluidité dans l'enchainement des plans de ce dernier. De plus j'ai la forte impression que Yuen Bun a voulu péter plus haut que son cul, car les scènes de combats (et surtout celles du tournoi de dragons) sont vraiment d'une grande compléxité à mettre en scène et a chorégraphier (une bonne quinzaine de dragons qui se battent dans une même arène quand même!), et au final on ressent une impression de joyeux bordel et de fouilli et non une impression de maîtrise, et on a hâte de passer au combat suivant (surtout qu'il nous le ressert 2 fois son tournoi de dragon!).
Pour continuer dans les changements on a Tante May qui remplace Tante Yee, elle est biensur très jolie mais le charme de la petite bouille de Rosamund Kwan est irremplassable, mais là c'est uniquement une question de goûts. Autrement le trio de disciples, chargé de la partie comique du film, est très réussi, leurs cabotinages font plaisir à voir et le disciple Fu est vraiment tordant. Il manque aussi dans ce film un adversaire charismatique, parceque c'est pas les 2 zozos qui passent leur temps à prendre la pose et à foutre des mandales aux chevaux (en tout cas c'est super bien fait et vraiment hilarant) qui vont nous impressionner.
Le film souffre aussi d'un scénario qui ressemble trop aux précédents épisodes de la série: des enflures d'occidentaux, un prètre super sympa, une secte de fanatiques hystériques... pas vraiment très original.
Attention, c'est pas non plus catastrophique et ça se laisse regarder, mais tous ces changements fond que la série a perdu de son charme et les combats sont vraiment trop câblés et même mal cablés car trop excessifs (et je suis pourtant le premier fan de ce type de combats virevoltant). On préfèrera donc ouatic 1 et 2.
Pas le meilleur OUATIC et pas le meilleur Chiu Man Cheuk
On enlève les acteurs principaux, Jet Li et Rosamund Kwan, et on essaye de les remplacer par Chiu Man Cheuk (lui aussi champion de Wushu (ça se voit d'ailleurs!)) et Jean Wang (qui campe Tante Mui la soeur de Yee). Ce quatrième volet des aventures de Wong Fei Hong garde la légèreté du troisième opus: plus d'humour, plus de personnages au look...original etc. Même si Chiu n'a pas le charisme de Jet Li, il interprète son personnage correctement et on prend plaisir à regarder ce film. A mon grand regret, il manque les spectaculaires duels des premiers épisodes et on assiste à des combats moins passionnant que lorsqu'on voyait Jet contre Donnie ou autre... Il n'en reste pas moins un épisode sympathique mais sans plus.
Un vide total 
Un ratage total. Ce quatrième volet est vraiment trop laid. Pas de réalisation, des personnages totalement vides, un montage horrible. Les combats ne sont même pas interessants, on ne voit rien du tout. Les cables sont utilisés n'importe comment....
Mention spécial au deux super méchants, vraiment ridicules: un espèce de mousquetaire et un sale gars qui s'amuse à frapper tous les chevaux qui lui passent sous le nez.
De plus, ça manque de Jet Li
Bref, une merde totale!!!
chiu man chuk prend la releve
ce 4eme volet est vraiment une suite donc regardé d'abord le numero 3 chiu man chuk prend le releve et s'en sors tres tres bien le film est pour moi supérieur au numéro 3
Cinémascope par fiction.
Dans ce film bondissant, Tsui Hark pousse à de nombreuses limites ce qui fait son inaltérable folie. Tourné comme en cinémascope sur des espaces à la largeur infinie, appuyé de part-en-part sur ces câbles (parfois, en ironie filmique en peu élémentaire, figurés réellement), la danse du dragon décuple l'effet de mouvement par le milieu narratif qui lui sert de prétexte. La danse du dragon, ce n'est pas tellement l'événement, mais plutôt la façon dont tout le film se meut - et dont tout, à l'intérieur du film, se meut également. Le grand Chiu Man-chuk, machine corporelle, se réduit comme jamais à l'état de cinéma.
