belle démonstration de Jet
The one n'entrera jamais dans les films majeurs que ce soit action ou arts martiaux, mais il faut reconnaitre que Jet arrive a porter ce film d'un bout à l'autre. L'aspect martial est un peu en retrait (quelques minutes simplement) mais on se rattrape avec un Jet acteur charismatique en bad guy (scène de la radio dans la camionnette). Bref à voir rien que pour lui (d'ailleurs il n'y a pas grand'chose d'autre).
Que du déjà vu…
En lorgnant très fort et sans honte aucune sur The Matrix, Johnny Mnemonic et Highlander, James Wong signe un divertissement banal et laborieux qui sent le déjà-vu à plein nez. Dans un « multivers » futuriste et complexe, Jet Li n’est jamais vraiment à l’aise, et son affrontement avec lui-même n’est pas vraiment convaincant. A la fin d’une intrigue cousue de fils blancs, le gentil va au paradis (un Los Angeles rose bonbon) et le méchant va en enfer (une prison pénitentiaire lugubre) – désolé pour le suspense… Tout est bien qui finit bien donc, mais ce n’est peut-être pas la peine de perdre 1H30 pour ça !
L'univers n'est pas unique, il est multiple, c'est... un multivers
Si l'on veut manier l'euphémisme avec fougue, on peut qualifier la carrière de Jet Li à Hollywood de "peu convaincante".
Terrassé par les coups de boule de Mel Gibson dans le très nanar 4ème opus de l'Arme Fatale, inexistant dans Roméo doit Mourir (à un tel point qu'on peut résumer sa composition en "Roméo doit sourire"), souvent ridicule dans Le Baiser Mortel du Dragon (autre film très Z, où l'on apprend non sans un certain étonnement que les commissariats français sont truffés de gradés blonds de deux mètres de haut, et que si on ouvre la mauvaise porte, on tombe nez à nez avec une quarantaine de karatékas), Jet Li voit ses fans de la première heure lui tourner le dos pour avoir flirter avec les mauvais partis.
Le projet The One rassure, mais si peu.
Initié par le duo Glen Morgan / James Wong, scénaristes parmi les plus prolifiques de la série X-Files de la grande époque, surfant sur la vague des films de science-fiction post-Matrix, le scénario du film n'est qu'un véhicule au service de sa star, ce qui est plutôt une bonne nouvelle.
Hélas, le résultat final, toujours pour user et abuser d'euphémismes fous furieux, déçoit quelque peu...
Le prégénérique, sur fond d'images de synthèse illustratives à la Sliders, plante tout de suite le décor :
"L'univers n'est pas unique, il est multiple, c'est... un multivers".
Rendons à César ce qui appartient à Dubbing Brothers, la version française ne fait qu'aggraver les choses, plombant systématiquement chaque incartade humoristique (mais bon, après vérification, la version originale ne sauve quand même pas grand chose). Bref. Il existe donc beaucoup d'univers parallèles aux nôtres dans ce fameux multivers (124, pour être exact. Pourquoi ? je ne sais pas).
Et dans chaque univers se trouve un Jet Li, habillé différemment et parfois flanqué de perruques ridicules. Le plus méchant d'entre eux (appelons-le Evil Jet Li) s'est mis en tête d'éliminer tous les Jets Lis de chaque univers, sachant que chaque fois qu'un Jet Li meurt, sa force se partage entre les Jets Lis restants (faut suivre).
Malgré les efforts de la police du multivers (Jason "tronche de cake" Statham, futur acteur nanar au vu de sa filmo récente, et Delroy Lindo, vu chez Spike Lee), Evil Jet Li, de plus en plus puissant, parvient presque à ses fins. Presque, car s'il ne reste plus qu'un seul Jet Li à dessouder, ce dernier (que nous nommerons Good Jet Li) est également de plus en plus fort.
Good Jet Li, vivant dans l'univers "normal" (le nôtre), est confronté très rapidement à Evil Jet Li, et se découvre dès lors des facultés physiques exceptionnelles. Petit calcul : au premier tiers du film, Good et Evil Jet Li ont chacun la force de 61 Jets Lis, ça fout le vertige.
Le film n'est à partir de là plus qu'un jeu incessant de course-poursuite entre les deux Jets Lis, enchaînant les bastons de façon plus ou moins inspirée, empruntant parfois un style franchement Z (pour se débarasser d'un flic insistant, Evil Jet Li saisit une moto de la police dans chaque main et les abat sur le pauvre policier). Le tout relayé par des dialogues à l'avenant, sevrés de répliques cultes malgré elles comme s'il en pleuvait (Good Jet Li à sa femme : "c'est étrange, je cours beaucoup plus vite, je peux escalader les murs, et j'ai l'impression que ma force est décuplée", sa femme, en pleurs : "mais que t'arrive-t-il ?!", Good Jet Li : "je..."), des gags définitivement too much (Jason Statham expliquant le principe du multivers à un Good Jet Li incrédule : "dans le multivers, d'un univers à l'autre tu peux être marié à la même femme, être marié à une autre femme, ou même être marié à un homme..." et Good Jet Li de froncer les sourcils d'un air désapprobateur).
On retrouve le temps de l'interminable baston finale (dans une usine désaffectée, comme au bon vieux temps de Born to Defend, lorsque Jet Li se mettait lui-même en scène) les talents martiaux de l'ex enfant prodigue de Shaolin, réminiscence encore trop discrète de l'époque où son jeu n'était qu'au service de ses facultés physiques et non l'absurde inverse.
Mais cela ne suffit pas à sauver The One des eaux sombres du film Z où il s'embourbe en permanence.
Zzzzzzz Zzzzzzz 
Désolé ! Je suis incapable de chroniquer ce film...Je n'ai tenu que 25 minutes. C'est dire la nullité.
L'horreur !
The one est incontestablement le film le plus mauvais qu'il me fut donné de voir au cinéma depuis au moins 6 ans (j'ai même préféré Anaconda) : jet Li apparait dénué de charisme et affiche une mine peu réjouissante... je ne l'avais jamais vu sous ce jour là, presque laid, lui si impérial par le passé.
Rajoutons à cela un scénario complétement nul, basé sur le "multivers", un manque d'action et un essouflement suffocant de l'intrigue et on atteint le nirvana de la nullité.
J'offre 0.25 pour un passage du combat final et les décors inventifs qui mettent fin à cette insupportable torture d'une heure et demi.
Arrêtez le massacre
Pauvre Jet Li, encore un coup d'épée dans l'eau dans sa triste carrière américaine. Pourquoi faire autant dans la surenchère alors que Jet Li est déjà un effet spécial à lui tout seul.
Seul le dernier plan du film est interessant. Sinon c'est le neant absolu.
ça vaaaaaaaaash
Bon, les médisants disent tous que ce film est pourri, sans qualité, etc...
C'est vrai que quelques scènes sont PARFAITEMENT ridicules (comme celle de la moto), ke le scénario déchire pas, et que les acteurs sont spécialement bons dans le genre Beauf Ricain.....
Mais bon, les combats sont quand même pas mal, et la scène finale jet li contre jet li constitue quand même un exploit !!! Cette scène déchire et on y vois que du feu... On a vraiment l'impression qu'il y'a deux jet li, c'est trop bieeeeen !
Au fait a la fin du film ils avaient plus besoin des deux jet li... VOUS POUVEZ M'EN DONNER UN ???
LOOOOOOOL MDR
Une sorte de sous "Matrix"
Regarder le debut et la fin du film , C tout .
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(tout ce qu'il y a à dire sur ce film)
Jet Li vs Jet Li
Tous les avis que j'ais u au sujet de ce film était négatif, donc j'ais voulu me faire mon avis personnel. Et je dois dire que je l'ais trouvé pas si mal que ça, bon il vrai que c'est pas le meilleur de Jet Li, mais dans le genre navet il y a pire. Et la scène final vaut le detour, Jet contre Jet ça en jette comme m^me.
HONTEUX!!!
le pire film toute categorie confondus,une sorte de remix higlander-matrix-slider,des combats filmé par un goret,une musique a vous coller la gerbe.bref une enorme daube qui se prend au serieux.
trop mauvais!!!!!!
déja le scenario est symple,mais les combats sont vraiment nul!surtout le combat de la fin,ça fait chier les combats iréalistes à la dbz
arrêtez le carnage!
Jeeeeeet par pitié reviens à HK !
J'en peux plus de voir tous ces mauvais films qui exploitent le renom de Jet Li...et encore : The one n'est pas le pire...
c'est nul
rien a sauver.
Pathétique ?
Oui, pathétique.
JET LI, dans ce qu'il peut faire de plus naze.
"The One" est vraiment le film qu'il faut éviter selon moi...
Le pitch dont je revais...
gaché par une esthétique post matrixienne vraiment pourrave
Minable
c'est le plus mauvais film de jet li, comme jeff je pense qu'il doit arreter les films us il est méconnaissable ,ca ne lui vas pas du tout.
Quant au film en lui meme, bravo à ceux qui ont pu le visionner jusqu'au bout, c'est nuuuul.
Nul
Effets spéciaux ratés, faux scénario... Bof, Jet li mérite mieux.
jet li doit arreter des films U.S
cela tourne au carnage il sera bientot dans le betisier de l'année. quel navet!!
Immonde
C'est d'ailleurs bien dommage que l'on ne puisse mettre de note négative tant The One (ainsi que Roméo Must Die, The Transporter, tous étant des essais philosophiques très réussis) touche le fond (et Jet Li avec).
Même le bon Jackie Chan réussit à jouer dans de meilleurs films aux USA (qui ne sont pas des chefs d'oeuvre pour autant, loin de là cette idée).
Pour tous les blasés des bouses dans lesquelles jouent les expatriés d'Hong Kong (Jet, Jackie et Chow) un ptit Once Upon A Time In China pour s'en remettre suffira =)
Sympa et sans prétention, un film qui dépote !! 
The One n'est pas le Jet Li du siècle, c'est sûr...
Par contre, ce film nous propose ce que nous sommes venu y chercher : de l'action, encore de l'action et tjs de l'action...
Bastons surhumaines, gunfights violents et bruyants, poursuites haletantes et musique métal en fond sonore : de quoi ravir le bête fan en maque d'action qui pulse ces tps-ci...
Le film offre qd même qques passages assez homériques : le duel Jet vs Jet vaut le déplacement !
C'est sûr, si vous vous attendez à un chef d'oeuvre ou à un post-Matrix conceptuel, vous serez déçu... Par contre, si vous venez chercher un bon coup d'adrénaline et de jouissance visuelle, vous en aurez pour votre argent...
Perso, je n'ai pas regretté le prix de mon billet !
Mais c'est quoi ? C'est un film ? Noooooon ?
C'est une honte! Je suis désolé, mais la palme de la deception revient à ce téléfilm à peine boosté aux effets speciaux (qui me rapellent à certains endroits ceux de "Asterix et Obelix contre cesar" en à peine mieux). Pourtant sur le papier, ça parraissait du tout cuit. Projet ambitieux de se faire affronter Jet Li et Jet Li, scénario qui pète pas le prix nobel, mais qui a au moins l'honnêteté de justifier le dedoublement de Jet sans avoir recours aux sur-exposés clones, une bande-annonce assez musclée... c'etait pour moi la chance de Jet Li aux US aprés le trés moyen "L'arme fatale 4" et le mauvais "Romeo doit mourrir"... et bien, le réal à reussi l'exploit de rendre ce projet parfait encore plus pourri que les deux autres films reunits. Je me suis litteralement fait chier! Pardon pour l'expression, mais j'etait vraiment sur le point de m'endormir devant tant de... rien. Jet li brasse de l'air avec des motos sur les bras (scène d'un ridicule achevé). Non, désolé... ce film est à l'image de ses decors (hallucinant d'artificialité) : un foutage de gueule. Desolé les gars, c'est pas aujourd'hui que Jet Li va faire son John Woo...
Sus aux esprits retords !
J'ai l'impression que trop de personnes s'attendaient à du Jet Li période HK alors forcément...
Pourtant, malgré parfois un petit air de série B, je ne vois pas trop quoi reprocher au film ?
Le scénario OK, il vaut ce qu'il vaut, mais les acteurs sont (dans l'ensemble) convaincants (et en plus la plus belle actrice du monde joue dedans, miss Carla Gugino ;)).
La réalisation est vraiment superbe, la musique hard rock excellente ! (Papa Roach, Drowning Pool, ... sans oublier la très belle composition de Trevor Rabin), et les combats très bien chorégraphiés (même si peu nombreux :( ).
1h20 de pur divertissement, qui aurait pû être meilleur c'est vrai, mais qui reste très correct.
Pas d'accord avec le cassage en règle de ce film, immérité selon moi. (d'ailleurs j'ai gonflé ma note de 0,25-0,5 pts à cet effet). O:)
Mauvais
Jet Li contre Jet Li, effets Matrix, univers parallèles, on pouvait espérer plus que ce navet proche d'un épisode de série tv sf, aux dialogues & acteurs misérables.
Oublions les absurdités du scénario pour se concentrer sur Jet et l'action, mais Jet est carrément pas crédible, le méchant Jet s'en tire un peu mieux que le gentil, et seul un morceau du combat final relève le niveau.
Mais là encore, les ralentis et la musique carrément lourde viennent gâcher le spectacle, et on arrive à peine à reconnaitre le "gentil" dans tout ça. (ce qui nous vaudra une insignifiante scène de confusion juste après)
C'est pas pour dire mais je crois que Vandamme fait mieux (genre TimeCop) et que seul Matrix représente l'avenir du Kung Fu au cinéma us.
08 décembre 2001
par
glub
Jet Li sauce Big Mac ? Préférez l'original !!!
La malédiction a encore frappée. Sorti six mois après le navrant Kiss Of The Dragon, The One avait de quoi intriguer. Par son histoire d'abord : un histoire avec des univers parallèles et des forces qui sont redistribuées aux survivants dans chaque univers. Pourquoi pas ? Quand on sait qu'il ne reste que deux doubles; on s'attend légitimement à des combats titanesques, façon Terminator mais vu par Jet Li. Et pis Jet Li dans un film de SF, ça peut le faire, non ?
Las. Le scénario n'est jamais exploité, les combats sont ridicules, les effets spéciaux sont ..ahem.....spéciaux (le slow motion épatant dans un Matrix est d'un ridicule achevé) et Jet li a carrément désappris à jouer !!! Quand il est méchant : machoire carrée et regard sombre, quand il est gentil : regard sympa et visage joufflu, suuuuper les subtilités.
Alors, il y a bien un plan : celui ou Jet Li écrase un flic entre deux motos (une dans chaque main !!), plan réellement comic-book, qui se rappelle que le scénario nous promettait d'assouvir nos plusions destructrices mais.... . Et le combat final, vous demandez-vous ? Autant brisé le suspense : NUL. RIEN. Comme je l'ecrit depuis tout à l'heure le script comic-book s'annihile au fur et à mesure que le film avance, alors pour le combat où l'on doit trouver la grâce du wushu mélangée au bourrin exigé par l'histoire.....Tant pis. Même les poses d'avant combats sont ridicules (alors qu'elles dynamitaient ceux de Fist Of Legend)...
Oui, rien que pour cette scène avec Jet une moto dans chaque main le film vaut 1. C'est peu.
GROS CACA MOISIS
rien a redire
la question est:jet li tombera -t-il plus bas?réponse devant "Cradle 2 the grave".Remontera-t-il?réponse devant hero (réponse positive en perspective :) )
Alors là...snif plus jamais ça jet,s'il te plait!
C'est une sorte de pâle copie de Matrix,dont certains effets qui se retrouve dans "The one"sont appréciables.Scénario n'en parlons pas.Interet:jet démontre sa mairise du xing yi et du pa kua dans des démonstrations apres lesquelles on reste sur notre faim.Ah oui autre chose,ne pas manquer jet avec des dreadlocks.
Bon allez j'arrete je bouffe du temps de connexion pour un film qui n'en vaut pas la peine,et c'est rien de le dire.Interessera peut-être les fans de sf,mais ceux de jet li se feront mals aux yeux sans aucun doute!
Un Jet Lee correct, mais... 
malgré de beaux combats(c'est Jet Lee quand même!!), la bande son vient tout gâcher. Du Hard Rock qui hurle à chaque poursuite et combat, cela a pour effet d' enlever toute tension aux combats et à l'histoire.
De beaux plans quand même(Jet sous une pluie d'étincelles...), de bonnes idées( les styles de combat du héros et du "bad guy", la raclé aux motard de la police avec leurs propres motos tenue à bout de bras) font de ce Jet Lee un bon divertissement pour tout fan d'action mais laisse sur leur faim les fans de Jet.
BOUH !!!
On avait eu le droit à deux Van Damme, deux Jacky Chan, et voilà qu'ici, c'est deux Jet Li...bravo pour l'originalité (et encore, il s'agit là de films d'action, je ne parle pas des films qui traitent du clonage (Keaton, Schwarzy...))
En plus, pour faire un peu plus original, on ajoute une dose de Timecop.
Et pour conclure le mélange : beaucoup d'effets numériques.
Gros ratage à tous les points de vue ! On aura beau complimenter Jet Li, il ne sauve en rien ce film et fait une grosse erreur d'y 'jouer' dedans...
Infra-matrix lamentable!
Rien à sauver (même pas Jet Li pour lequel j'ai pourtant un gros faible) de ce naveton frelaté qui ne doit sa relative notoriété qu'au fait qu'il recèle un Jet Li dont on se demande ce qu'il devait payer comme dette pour jouer dans un tel film. Sinon ce film ne mérite même pas le rayon du bas de la plus miteuse des médiathèques de province.
Rendez-nous jet li!!! (en chine)
Tout est a jeter mis à part le combat final car sympathique opposition (pour les pratiquants d'arts martiaux chinois) du bagua et du xingyi
hahahahahahahha!!!!!!!!!!!!!
Je n'ai pas encore eu le courage de regarder le film entier, juste des bouts, et c morceaux ne me donnent vraiment pas envie de voir le reste.
Ce que je me suis dit pour le moment "c'est un gag! une parodie c'est pas possible!" et la je ne dis pas j'aime pas, je dis haut et fort "c'est mauvais!!! nul!!!" et encore je suis gentil. J'ai regarde le "combat" final en entier..... si on peut appeler ça un combat. Bon il y a quelques enchaînements pas trop mauvais (pas mauvais n'a jamais voulu dire bon), une musique, enfin 3, alors la premiere pas trop mauvaise les 2 autres execrables...
et les passages ou le gentil (je pense ke c le gentil puisk'il a un sourire gentil et l'autre sourit menaçant en fronçant les sourcils... lol... quelle classe, quelle jeu naturel... ptdr!!!) fait valser le mechant au ralenti... ça c le rire assure!!!!! ptdr....
J'ignore si je vais rire du reste ou preferer ne pas perdre mon temps et essayer de voir un film....
fun!
je l'avais déjà aimé au cinéma, je l'ai revu en dvd et je l'ai trouvé encore plus fun! et j'aime ces films qui savent ne pas se prendre trop au serieux.
c vrai que plus de combats aurait été le bien venu, mais le combat final reste très bon, assez long (surtout pour un film US) et jouant admirablement sur les effets spéciaux (à ce sujet les bonus du dvd sont très interessant)... j'adore quand les deux jet s'affrontent et que les étincelles tombent au ralenti sur fond de bonne musique: du fun dans les oreilles et dans les yeux.
pour le scénario, la théorie des mondes parallèles et des trous nois et tout ça, c'est une théorie qui existe et qui viens de notre ami Einstein.
Libérez Jet Li !
Un film, qui se voulait entièrement au service de Jet Li est une idée plus qu'honorable; malheureusement pas assez "osée", car au lieu de s'intéresser vraiment à l'essence même du personnage et de recourir aux points forts, Hollywood s'est une nouvelle fois bêtement accaparé du personnage et l'a formaté à son standart.
En effet, quel intérêt que de recourir aux aptitudes athlétiques et physiques d'un Li, si ces derniers sont limités par un recours systématique de câbles et de SFX ?
Faire faire des bonds de 50 m, même J. Nicholson est capable de le faire (dans le ridicule "Wolf"). Prendre une moto dans chaque main, je pourrais y metre ma grand-mère, du moment que les véhicules sont en images de synthèse. Et finir sur un combat Jet Li vs Jet Li est une idée sympathique, mais pose le problème dès le départ de la "doublure" : soit Li se bat contre un rajout numérique, soit contre une doublure, qu'il faut savoir cacher au maximum. Comme les américains sont loin d'être capables de savoir mettre en scène d'une manière efficace de beaux combats (voire le sur-découpage systématique ou carrément le hors-cadre du "Manuscrit"), la contrainte de "dissimuler" au possible restreint encore doublement cette tâche.
La scène finale a tout de même du mérite : mis à part la coupe un peu différente, ainsi que la carrure de la doublure, à aucun moment, l'on ne voit le visage de l'acteur remplaçant.
Bref, les scènes de combats s'en retrouvent réduit dès le départ; mais de toute façon, les scénaristes n'ont sans doute pas eu d'idées à une possible insertion d'un quelconque karateka, la plupart des scènes d'action se restreignant à des fusillades filmées sans originalité aucune (surtout après avoir visionné "FullTime Killer" la veille). Et entre ces rares scènes d'action, pas la peine de s'attendre à du Shakespeare : des acteurs de seconde zone récitant des dialogues creux et abacadabresques (le terme "multivers" est une véritable institution dans le bêtisier des termes inventés!!!) et roulant des yeux.
Un de ces rares films, où l'on ne décroche pas totalement - grâce à de l'argent investi et un rythme soutenu - mais où l'on a hâte que cela se termine...
Fans de Wushu, régalez vous du combat final...
Ca c’est clair, Jet Li est bel et bien unique. Il suffit de revoir les fleurons de sa carrière hong kongaise pour comprendre que lui seul est capable de combiner à ce point charisme brut et virtuosité martiale. Li est une énergie concrète : suspendu à un malheureux câble, il peut TOUT faire pour peu que les gens qui l’entourent se la donnent à fond. A Hong Kong plus que partout ailleurs, il fallait se donner sans compter, oublier le sens des mots "raisonnable", "mesuré" ou "crédible" et surtout déployer des trésors d’imagination, de débrouillardise, d’audace. Si vous étiez totalement fou, Jet Li répondait présent et vous emballait des séquences d’anthologie à la pelle carrée parmi lesquelles les combats de The New Legend Of Shaolin, Tai Chi Master, Martial Arts of Shaolin, My Father Is A Hero, Swordsman II, High Risk, Born To Defend et on en passe. Si en plus de ça un grand réalisateur s’empare de cette silhouette pour lui apporter un background instantané (Tsui Hark et la série des OUATIC pour ne pas les nommer), Jet Li surclasse, et malgré toute la sympathie qu’on leur porte, des artistes martiaux tels que Yuen Biao ou Donnie Yen.
Hollywood n’a rien compris à ce qui précède. En voulant circonscrire la star, l’intégrer au formatage de l’action dicté par le nouveau mètre étalon du genre, Matrix (bullet time et ralentis en pagaille), on ne fait que le réduire, le dévitaliser, lui faire perdre toute cette originalité qui le rendait, précisément unique. A quoi bon faire suivre des cours de "boxe pour tous" à Mike Tyson ? Histoire d’en rajouter une couche, toute la mise en scène de The One semble vouloir nous rappeler à chaque plan que Jet Li est bien le plus petit du casting, chose qui nous avait échappée à HK, quand la réalisation lui témoignait un poil de respect. A l’écran US, on a un petit nerveux à la force presque burlesque car disproportionnée en regard de sa carrure riquiqui. Une façon, nous direz-vous, d’en finir avec les musculeux qui ont fait les beaux jours des eighties...
Toujours est-il que The One permet à Jet de se la donner, en calquant le numéro schyzo du Van Damme de Repliquant. D’une aisance surnaturelle, il fait littéralement voler tous ses opposants aux quatre coins du décor (aidé en cela par le chorégraphe Corey Yuen) et ne semble pouvoir rencontrer aucune résistance, hormis de sa propre part, ce qui va de soi. Le plan final, l’un des plus réussis, permet d’ailleurs à James Wong de lui rendre hommage et de signifier l’admiration réelle qu’il lui porte. Bien entendu, on aurait préféré que ce film, manifestement conçu comme le véhicule de la consécration outre-atlantique pour Jet Li, ne se résume pas à une pauvre série B joyeusement (au début) puis pathétiquement (au bout d’une demi-heure) débile, mollassonne et téléphonée, subrepticement traversée d’éclats de violence très sympas. Abdiquant toute audace ou originalité, Wong tue dans l’œuf son concept et n’exploite jamais les possibilités offertes par les univers parallèles. Il n’en résulte qu’un buddy movie à l’ancienne, filmé sans idées, calqué sur Matrix (encore) et Terminator qu’on regarde défiler la plupart du temps d’un œil distrait. Du gâchis.
Bref, Jet Li attend encore que l’occident lui offre un grand film. Mais une chose est sûre, Le baiser mortel du dragon, et The One lui permettent, quand même, d’affirmer haut et fort qu’il est le champion incontesté du coup de tatane sur grand écran. C’est déjà ça !
