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Lust Caution

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les avis de Cinemasie

5 critiques: 2.9/5

vos avis

26 critiques: 3.17/5

visiteurnote
tu0r 4.25
yitian 4
geez 4
Tred 4
antigone 4
Dooliblog 3.75
Pikul 3.5
lo sam pao 3.5
Omerieux 3.5
sanosuke 3.5
750XX 3.5
jep 3.5
koalaurent 3.25
Hidelirium 3.25
Black_pantha 3.25
Fred30 3
Scalp 3
jezekael 2.75
X27 2.75
Miyuki 2.75
Phildu62 2.75
jool 2.75
Bastian Meiresonne 2.5
Toxicguineapig 2
Manolo 2
Epikt 1.5


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

un bon Film peut être un peut long

Lust Caution est un  film émouvant, avec un très bon casting, Tony Leung et comme d’ habitude, impeccable dans sont rôle , et Wei Tang qui lui donne la replique nous sers une bonne interprétation.

Ensuite c'est vrai qu’au niveau du scénario c'est loin d'être original. La femme qui est envoyée espionné est seduire un homme, pour lui soutirer des infos, et gagner ça confiance. Mais qui va finir par devoloper de l'amour pour cette personne. ça semble assez convenu comme pitch de départ. Et pourtant ce film ce laisse suivre avec attention, surtout au vu de l'evolution de cette relation entre les deux personnages, qui entretient un certain suspence quand à  la suite  des événements.



30 mars 2011
par sanosuke


que c'est long tout ça

Une histoire intéressante, un casting mené tambour batant par un Tony Leung Chiu Wai toujours impéccable et Tang Wai,  qui annonce des débuts prometteurs . . . Cependant, malgrès une intrique classique le scénario parvient à nous tenir en haleine . On est loin du chef-d'oeuvre attendu, mais le film se laisse regarder sans déplaisir, en dépit de longueurs qui peuvent faire perdre le fils de l'histoire . A voir .

24 janvier 2008
par X27


Le rôle de sa (sur)vie

A travers son expérience cinématographique autant asiatique, qu'hollywoodienne, Ang Lee est incontestablement devenu l'un des réalisateurs les plus asiatiques de l'Occident ou – plutôt – le plus occidental des asiatiques. Au fil de ces films, il a su intégrer les structures narratives typiques du cinéma occidental, tout en réussissant à conserver une sensibilité typiquement asiatique, notamment en ce qui concerne le refoulement et l'expression des sentiments.
 
Son retour en contrée "asiatique" était donc d'autant plus attendu, qu'il n'y avait plus rien tourné depuis le succès phénoménal de son "Tigre & dragon"; mais attention, son retour n'est pas un franc retour à ses racines, plutôt qu'une joyeuse excursion en Orient, largement orchestré par des financements (et donc impératifs) hollywoodiens. Le générique d'ouverture précise ainsi, que le film est une production américaine de "Focus Features" et "River Road Entertainment" (producteurs du précédent Lee, "Brokeback Mountain" qui constitue leur plus gros succès à ce jour) et quoi de plus normal, que d'inclure l'un des acteurs masculins les plus (re)connus du public occidental, Tony Leung Chiu Wai (plusieurs Wong Kar-Wai, dont l'incontournable "In the mood for love"; "Hero"…), dans le rôle principal…
 
C'est pourtant avec une scène on ne peut plus asiatique (et Lee-ienne), que s'ouvre le film: plusieurs dames jouent au mah-jong et pendant que leurs bouches déblatèrent banalités et mensonges, tout se passe dans leur regard, les unes épiant les autres pour déterminer leurs VRAIES réactions (dans la culture asiatique, la bouche n'a finalement que peu d'importance, puisqu'elle est source de mensonges et de trahisons; tandis que les YEUX ne peuvent trahir une personne; d'où une certaine "inexpressivité" aux yeux des occidentaux de leurs interlocuteurs éventuels asiatiques ou même les "smileys" informatiques représentés non plus par la bouche, mais des yeux: non pas : )   mais ^^ ). L'intrigue, quant à elle, est située à une période très connue en Asie, mais moins étudiée en Occident (lors de l'occupation japonaise en Chine), bien que tenants et aboutissants deviennent rapidement clairs au cours d'une première partie particulièrement longue et ennuyeuse. C'est sans doute au cours de cette première partie poussive, que Lee aura "largué" son audience occidentale pourtant clairement visée à travers cette ambitieuse fresque, mais qui se sera finalement payé connaître un bien plus gros succès en Asie pour ses scènes de sexe.
 
Car en réduisant de moitié la première heure, on serait arrivé beaucoup plus rapidement à une seconde heure bien plus entraînante sans rien perdre de l'atmosphère, ni nuire à la bonne compréhension du spectateur.
 
L'histoire est incroyablement mince et classique, concocté par le fidèle scénariste depuis les débuts de Lee, James Schamus et que l'on suppose écrit "sur mesure" pour le réalisateur pour s'amuser justement de son capacité à évoquer les non-dits et de jouer de l'émotion de ses personnages; sauf qu'il aurait été bienvenue d'étoffer quelque peu le récit, peut-être même de décrire davantage les terribles années d'occupation de la Chine par le Japon et l'incidence sur le comportement des citoyens – d'autant plus qu'il aurait été particulièrement intéressant d'en connaître un peu plus sur le propre positionnement politique du réalisateur d'origine taïwanaise, c'est-à-dire issu de l'archipel encore aujourd'hui territoire du terrible enjeu entre les deux grandes superpuissances asiatiques.
 
En l'état, il reste une ambitieuse reconstitution historique (les décors sont magnifiques), terni par une histoire quelconque, aux scènes "sulfureuses" assez banales aux yeux des occidentaux (bien que très bien filmées et multipliant – pour une fois – le nombre des positions), mais dans la moyenne inférieure de la filmographie de son intéressant réalisateur.


09 mars 2009
par Bastian Meiresonne


Aberration temporelle

Un jour peut-être les scénaristes et réalisateurs comprendront que le coup de la fille qui doit séduire le méchant pour pouvoir l'approcher, on a beau le tourner dans tous les sens, que la fille tombe amoureuse de lui parce que c'est un gros tombeur et/ou qu'elle le déteste parce que c'est un gros salaud, que par dessus le marché le bonhomme agit en parano qui suspecte tout le monde mais qui tombe sous le charme quand même, qu'on a même beau y rajouter des scènes de fesses elles aussi tournées dans tous les sens et positions, on a toujours l'impression de l'avoir déjà vu 50 fois. Et oui.
Alors Lust Caution c'est typiquement le film sans un pet de travers, et le résultat n'est pas honteux.
C'est juste long. Très long. Ca, c'est ce qu'on se dit au bout d'une heure. Au bout de deux heures on se dit que c'est vraiment long. Au bout de trois, que c'est définitivement trop long. Au bout de quatre, on réalise que le film ne devait pas durer aussi longtemps. Alors on regarde sa montre, on s'aperçoit qu'il ne s'est écoulé qu'une heure et demi, et on se dit que ça va être très long.

26 janvier 2008
par Epikt


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