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Guinea Pig 2: Flower of Flesh and Blood

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les avis de Cinemasie

3 critiques: 1.67/5

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5 critiques: 0.6/5



Ghost Dog 1 Sanglant mais ennuyeux remake
Marc G. 0 Amateurisme, latex et faux sang
Xavier Chanoine 4 Particulier et destabilisant
classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement


Sanglant mais ennuyeux remake

Flower of flesh and blood est un remake du premier épisode, Devil’s Experiment. Comme le premier jouait sur un côté underground flirtant avec le snuff movie, on ne croit du coup plus du tout au remake qui se contente de reprendre les séances de tortures et de démembrement d’une femme enlevée par un samourai livide et légèrement dérangé dans sa tête s’exprimant en regardant la caméra. L’ennui gagne rapidement, d’autant que les effets spéciaux ont du mal à cacher l’utilisation peu raffinée du latex et que les scènes sont très répétitives. Seule la visite de son petit musée des horreurs dans les dernières minutes, sur un chant a capella qui glace les sangs, produit son petit effet et vient nous rappeler que l’on finira tous mangés par les asticots quelque soit notre destinée…



03 décembre 2006
par Ghost Dog




Particulier et destabilisant

Après un premier opus pas terrible-terrible, Hino revisite une nouvelle fois le genre, pour le pousser à son summum. Guinea Pig 2 est un véritable poème ultra morbide et gore sur un homme visiblement malade, prenant plaisir à découper les membres d'une jeune femme (en lui injectant préalablement un anesthésiant), vêtu de son habit traditionnel de samouraï. Hino instaure cette fois-ci une véritable ambiance, on se sent réellement voyeur d'un tel massacre, exposé voir surexposé par différentes couleurs symbolisant un rituel. L'homme massacrera littéralement la jeune femme de la tête au pieds en prenant soin d'expliquer pas à pas ce qu'il fait.

Tragique, incroyablement violent, à la limite de l'insoutenable, Hino livre une perle pas très brillante certes du cinéma underground nippon qu'il faut voir avec attention afin d'y décerner une certaine poésie visuelle, malgré l'ultra violence proposée durant 42mn.



14 février 2006
par Xavier Chanoine


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