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Full Contact

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les avis de Cinemasie

9 critiques: 3.58/5

vos avis

43 critiques: 3.81/5

visiteurnote
Bart052 4.75
Bastian Meiresonne 3.75
Black_pantha 2.75
Chang La Rage 4
Chip E 3
chronofixer 4
Cuneyt Arkin 3.5
Daimajin 4
darth-oli 3.75
el sinior canard 3.5
Fred30 3.5
FREDDYK 4
Guesar 5
Hots@uce 4
Hotsu 3
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Iron Monkey 4.25
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jeff_strike 2
Jérémy 4.5
jool 3.5
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Xjet 4.5
Zalem 4


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Full mouth - en pleine gueule

"Full Contact" ressort du lot des polars noirs et violents réalisées au début des années '90s. Teinté du nihilisme à l'approche de la prochaine rétrocession de l'archipel hongkongais aux chinois, mais également surenchère dans le populaire genre du heroic bloodshed lancé plus de cinq ans plus tôt par John Woo, LAM profite pleinement de la CAT III pour laisser exploiter son amour pour la démesure. S'il profite de l'occasion pour inclure pas mal de sexe (suggéré), il s'en donne à coeur joie dans les excès de violence. Profitant d'un casting 4 étoiles, toute l'équipe semble follement s'amuser à marquer le genre d'une pierre blanche. En pâtit quelque peu un ton habituellement plus sombre dans l'oeuvre de LAM pour un côté plutôt grand-guignolesque. Les novices en la matière seront forcément retournés par la démesure de l'ensemble; mais les fans du réalisateur risquent d'être un tantinet déçus par l'humour (parfois même involontaire). Reste un pur film d'action totalement décomplexé et l'un des meilleurs fleurons du genre du début des années '90s.

04 septembre 2006
par Bastian Meiresonne


Full Throttle (fans de lucasarts...)

Véritable film d'ambiance, tourné dans un style rock'n'roll connoté années 90, "Full contact" ressemble à une véritable récréation dans l'univers torturé de son réalisateur.

Chow Yun-fat nous a déjà prouvé à maintes reprises qu'il aimait malmener son image, et une fois de plus il le fait à merveille. Véritable icône rock, dans le plus pur biker style, il pourrait découper un saucisson entier en quelques instants avec son couteau suisse de ouf. Car il s'agit d'un ouf de chez ouf, qui la bad ass attitude, mais qui est quand même un mec grave bien.

Les thèmes exploités frisent la grosse parodie, voir le gros foutage de gueule, avec un cho yun-fat père la morale qui flingue à tout va mais fait de beaux discours philosophiques de comptoir entre deux morts.

Les dialogues sont à ce titre hilarants, en particulier les échanges verbaux mettant en scène Simon Yam, ridicule comme toujours, mais très drôle, ce qui est plus ou moins intentionnel.

Pour ce qui est de la vulgarité et de la violence du film, bien sûr, bonnie fu joue une p... comme on en voit plus, il y a un peu de sang et des dialogues crus, mais rien de trop choquant. C'est un pur moment jouissif, le fun pour le fun! Vive ringo, et coup de poing dans le nez à "the killer" (c'est pas moi qui le dis, vous saurez en regardant....) Incontournable, à voir d'urgence.

21 février 2004
par Chang La Rage


Ode au mauvais goût

Full Contact symbolise la judicieuse alliance entre le polar hongkongais hérité de l'école de John Woo, Tsui Hark ou encore Johnnie To et le film de Cat III qui se respecte. Ultra-violent à souhait  on ne parvient toujours pas à comprendre qu'une telle bande, outre le fait d'avoir été classée Cat 3, n'ait pas écopé d'une interdiction aux moins de seize ans, du moins par chez nous , esthétisant jusqu'à la lie, immoral, bête et méchant, voilà ce qui résume grosso modo le contenu du métrage de Ringo Lam. Le tout concourt stylistiquement parlant à s'imprégner le plus possible de la culture américaine des années quatre-vingt, que cela soit dans la mise en scène et tous les effets clipesques datés allant avec, dans la photographie saturée et les lumières on ne peut plus criardes ou trop vives ou trop opaques dans les fringues ringardes des personnages, les modèles de voitures ou encore la BO façon rock à papa et techno d'une autre ère. Prétextant une « banale » histoire de règlements de comptes entre un psychopathe homosexuel et un ancien videur de night-club laissé pour mort saupoudrée d'un soupçon de vengeance et de romantisme déjà cent fois vus et revus, Full Contact mise tout sur la forme, le tape-à-l'œil et le clinquant avec le but insatiable de nous en mettre plein la vue. Et il faut dire que ça marche du tonnerre: les flingues crachent des balles à n'importe quelle occasion, les corps répondent par des hectolitres d'hémoglobine gisant des trous formés par les impacts et le couteau de Simon Yam aime à se planter dans le cœur d'innocentes victimes qui seraient susceptibles de nuire aux desseins de son maître. C'est souvent grossier et pas bien cérébral, la nymphomane de service porte des mini-jupes moulantes au possible et ne sort guère une phrase qui ne tienne pas de la pure vulgarité libidinale, et pourtant, la grande pudicité de l'industrie cinématographique locale veut qu'elle ne dévoile pas même l'ombre d'un sein [sic]. Il en va de même pour la midinette acrobate d'un Chow Yun-Fat quelque peu pâlichon, ne parvenant pas à retrouver la classe du Killer dans la peau du gentil quand même un tantinet méchant qui se saoule aux verres de Perrier lorsqu'il ne flingue ou ne castagne pas. Anthony Wong déçoit lui aussi, car les rôles de lâches mal aimés lui vont nettement moins bien que les portraits de gros timbré prêt à tout pour humilier, violer, contaminer, découper et fricasser son prochain (The Untold Story et Ebola Syndrome). Seul Simon Yam, loin du brave et angélique gangster de Bullet in the Head, fait des étincelles dans sa composition de tueur gay à la fois impitoyable et raffiné. Full Contact bénéficie d'une mise en scène excellente, nerveuse et dynamique, qui joue sur des travellings fusant et des plans inclinés typiques de Tsui Hark; mais son manque de rythme et ses temps morts (n'est quand même pas John Woo qui veut) le rappellent à son poste, certes déjà fort honorable, de menue série B. De surcroît, ceux qui s'attendent à de l'action quasi non-stop, des gunfights à n'en plus finir et quelque cent morts à la minute comme dans The Killer et Hard Boiled risquent légèrement de piquer la mouche, car si le score de refroidissements par poudre et par plomb demeure élevé et ces derniers filmés de manière très spectaculaire, voire gore on fait quand même des pauses raisonnables entre deux canardages survoltés. Full Contact est une bombe; une bombe d'ultra-violence et d'esthétisme héritée des traditions pop-corn US de la décennie (dé)passée, un film douteux et gratuit à plus d'un titre, mais tellement excitant qu'on veut bien mettre nos réserves au vestiaire pour le coup. Fun et barge en diable.

22 juillet 2006
par Chip E


bien joussif!

vraiment bourrin et presque sans finesse, un bon film d'action violent , assez vulguaire mais carrément efficace. certaines trouvailles sont bien senties, ça reste dark avec un côté manga et des persos débiles. franchement un des meilleurs films d'action HK à la sauce old school rock'n'roll. merci Ringo

12 juillet 2004
par chronofixer


Violent, putassier comme prévu certes, mais...

On regrette que le film ne le soit pas plus. J'ai ressenti comme un sentiment de trop peu, d'en-deçà par rapport à ce que j'attendais. Ca aurait pu être plus saignant, plus sale, plus crétin encore que ca ne m'aurait pas dérangé, peut-être même que cela aurait pallié certaines lacunes de rhytme au milieu du film. Restent à coté de cela de très bons acteurs, qui assurent le spectacle, une action bien menée par un Lam hors de ses marques, des séquences de violence jouissive. Bref, pas de quoi fouetter un chat mais bien de quoi passer un bon moment.

24 août 2006
par Cuneyt Arkin


puissant

Simon Yam + Chow Yun Fat plus déjantés l'un que l'autre, s'entretuant au milieu de personnages encore plus timbrés qu'eux, servis par une mise en scène du meilleur accabit et un esprit politiquement incorrect qui renvoie loin derriere la plupart des polars americains de ces 20 dernieres années excellent

17 juin 2002
par darth-oli


UN FILM COMPLETEMENT DEJANTE ET CHOC

"full contact" ne fait pas dans la dentelle...Et on aime ça! En tout cas, c'est mon cas. Pas de temps morts et des scènes chocs pour un trio d'acteurs qui explose tout. A voir absolument.

11 mars 2003
par FREDDYK


Une vulgarité assumée gâchée par quelques longueurs. Souvent virtuose quand même!

J'ai plutôt bien accroché à ce divertissement dont la vulgarité est en tout cas réputée mais je trouve que le scénario est tout de même assez léger. De nombreuses séquences sont fort intéressantes mais le réalisateur trouve le moyen de faire certaines longueurs sur 1h30 , en gros tout ce qui rappelle que le film à un scénario vraiment banal, j'attend plus de Ringo Lam. Ce n'est vraiment pas son chef d'oeuvre, mais c'est une oeuvre étonnante de sa part. A découvrir.

25 octobre 2010
par Hotsu


La Rolls Royce de la Cat.III

Quand Ringo Lam pète les plombs, il ne fait pas dans la dentelle, et ça c'est plutôt plaisant. Un cat III haut de gamme avec Chow Yun Fat en videur de boîte de nuit et Simon Yam en tueur homo complètement disjoncté. Jouissif.

22 octobre 2001
par Iron Monkey


ringo lam rentre définitivement dans la court des grands.

allez ,encore un film de barjo dans ma collection, ringo lam a la réalisation c'est du certains , du sur a 100%, jamais ce réalisateur ne ma decu, il parvient meme a faire des bons films avec j-clod, alors on est un grand. ici c'est plus facile car chow yun fat est en pleine forme , ce film déchire grave et vas a 200 a l'heure.

21 février 2004
par jeff


Excellent Cat III par un Ringo Lam qui nous montre l'étendu de sa folie et un casting à l'aise en toutes circonstances...

10 août 2010
par Jérémy


Du solide

Un scénario classique, des explosions, des doigts coupés, Simon Yam en vilain sadique et CYF en justicier de temps en temps ca fait du bien...

16 septembre 2003
par La girardasse


UNE SIMPLE CURIOSITE MAIS PAS LA CLAQUE ANNONCEE

Dès les premières minutes du film, on peut constater que la réputation du film de Ringo Lam n’est pas usurpée : violence, mauvais et goût, sexe et vulgarité sont bien es ingrédients de cette mixture cinématographique considérée comme le summum des films de catégorie III à Hong-Kong, c’est-à-dire interdits aux moins de 18 ans. En effet, on peut admirer les habiles mouvements de caméra, les éclairages impeccables, une photographie convenable. Le moment le plus impressionnant du film restera certainement le passage du gunfight dans la boîte de strip tease où l’on peut apprécier le suivi des balles, un moment aussi jouissif que fun. Les autres scènes d’action demeurent, quant à elles, bien trop quelconques. FULL CONTACT a pour indéniable atout de bénéficier d’un casting de qualité avec Chow Yun-Fat et Simon Yam qui excellent dans leurs rôles respectifs ainsi qu’Anthony Wong, qui est bien plus convaincant dans les scènes sérieuses que dans les scènes où il se veut comique (c’est un désastre). Les personnages secondaires sont assez peu intéressants : une nymphomane ayant le sexe pour unique motivation, un grand costaud trop peu finaud et la fiancée de Jeff (Chow Yun-Fat), la jolie Ann Bridgewater qui propose une prestation assez satisfaisante et joue un rôle plus intéressant. Si la mise en scène de Ringo Lam est plutôt brillante, on pourra regretter que l’histoire soit bien peu originale : Jeff, videur au grand cœur décide d’aider un ami endetté. Cependant, s’étant allié contre son gré à des petites frappes du banditisme local, il est trahi par son meilleur ami qui le laisse pour mort. Jeff, touché par la grave blessure d’une jeune fille durant le combat n’aura plus que pour seul but la rédemption et il va tout mettre en œuvre pour aider la jeune fille en récoltant de l’argent pour ses soins tout en ruinant les malfrats. Ce scénario est peu propice au développement de personnalités fortes. Ici, elles évoluent presque toutes dans un registre excessif et demeurent peu attachants. FULL CONTACT restera pour moi davantage une curiosité à base de violence, de pseudo sexe sur fond de hard rock des années 80’ et de musique électronique de mauvaise qualité que le missile que certains voient en lui.

08 août 2006
par LiMuBai


CYF joue les p'tites frappes : culte !

Pour de nombreux fans de films d'action, CYF restera à jamais le gangster classe, avec cheveux gominés et costards super bien coupés ! Ce serait oublier que le bonhomme a également joué dans ce monument de bon goût délicat qu'est Full Contact. Dans ce délicieux polar de Ringo Lam, CYF tient le rôle d'une petite frappe à moto, blouson en cuir et cran d'arrêt. Et cheveux en brosse ! Très important, les cheveux en brosse ... Notre héros aura à vivre maintes aventures qui le conduiront à ... suspense ... accomplir une vengeance implacable ! Ses ennemis : les membres d'un gang, tous des abrutis congénitaux avec à leur tête une grande folle interprétée par Simon Yam. A lire ce petit résumé de la chose, vous aurez compris que Full Contact n'est pas vraiment un polar sophistiqué à la John Woo ... C'est en fait un putain de film d'exploitation, racoleur, vulgaire, violent, donc, parfaitement génial !

03 novembre 2002
par Mad Mat


bande déssinée destroy !.

excellents acteurs (anthony wong en tête, surprenant), super histoire et ringo pête les plombs dans son film le plus atypique mais aussi le plus immediatement jouissif.

18 octobre 2002
par omnio


Yeah Ringo !!!

Un des meilleurs films de Ringo Lam ( realisateur injustement sous estimé par rapport à Woo et cie ) et aussi un des meilleurs polars des années 90 ( et le must du categorie III )
Oui le scenario est c'est du archi deja vu ( mais ça reste mieux foutu que Miami Vice quand même :lol: ) mais putain qu'est ce que c'est bon !!! Vulgaire ( faut la voir la bad girl avec sa jupe et les plans sur son cul ), violent ( ça saigne vraiment ), la photo est là pour amplifier le coté glauque, c'est totalement jouissif et heureusement c'est carrement assumé par un Lam en pleine forme.
Le casting est royal avec Chow Yun Fat qui arrive a etre charismatique même en etant fringué comme un fan ringard de Johnny, le ptit geste avec son pouce c'est juste la classe, Simon Yam en gay un peu ( beaucoup ) pervers est magistral et A.Wong dans un etonnant contre emploi et lui aussi tres bon, la copine de Fat superbement mise en valeur dans le premier plan est sympa aussi.
Ca commence avec un casse comme dans le flic de beverly Hills 2, mais on se rend vite compte qu'ici on est à HK et que c'est nettement plus violent. On a pas le temps de s'ennuyer, le rythme est elevé et les scenes de folies s'enchaine rapidement, bon les choregraphie sont ptet un peu basique mais c'est plein d'energie que c'est pardonnable ( pis c'est pas cut quoi, on comprend ce qui se passe ), arrive le gros passage du passage avec les balles tracantes ( et un couteau aussi ) dans une scene qui même si elle a pris un ptit coup de vieux reste magistrale.
Full Contact c'est bourrin, violent ( on bute des femmes a bout portant, on vide des chargeurs sur les mechants...), bourré de replique qui dechire le bizznes c'est comme chiez faut que sa fasse en douceur" pas credible une seule seconde mais terriblement efficace.
Bon apres c'est sur que ça plaira pas à tout le monde ( genre les fan de Burton ou ceux qui croit que contre enquete c'est un bon polar )

14 octobre 2008
par Scalp


Un film emprunt de mauvais gout mais qui reste un objet de violence baroque a decouvrir.

La premiere scene du film a la particularite de ne pas mentir sur le contenu du film : c'est sous acide(Un PV tient je te vide un chargeur de M16 dans le thorax), c'est de mauvais gout (tu la voie ma petite culotte?) et c'est violent. Du cote de la realisation on a quand meme du mal a reconnaitre que c'est Ringo Lam qui est au commande, celle ci est d'ailleurs de bonne facture avec ses eclairages glauques, ses plans allant dans le vif de la violence, cette camera qui bouge bien et aussi ses plans impressionant allant a la vitesse des balles qu'ils sont en train de suivre. Mais c'est justement ce cote baroque etsurvolte qui nous deroute d'un style d'habitude nettement plus realiste( Cf Full alert ou City on fire). LEs scenes d'action sont bien filme, dynamiques et violentes et Notre ami Chow Yunt Fat nous montre encore une fois qu'il n'est pas le roi du Gunfight pour rien. A cote de ca l'histoire est classique voire trop (un type est trahi par son ami qui le laisse pour mort et qui epouse sa femme. Le type revient pour mais ne peu pas tuer son pote et decide de se racheter car il a defigurer a jamais une innocente.) et donc les personnages ne pouvant etre extraordinnaire dans ce genre d'histoire, Ringo lam nous les montres excessifs, Vulgaires et sans honneurs et c'st ce qui devient a la longue lassant car si ils sont parfaitement en phase avec le monde dans lequel ils evoluent ils en font trop et du coup on se resinteresse de leur sort, dommage. Donc a voir car on ne s'ennuye pas meme si on reste un peu frustre pas l'histoire et les personnages et a voir pour decouvrir le cote obscur d'un auteur decidemment tres surprenant.

28 mai 2001
par Tequila-Yuen


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