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3.65/5
La Main de Fer
les avis de Cinemasie
5 critiques: 3.55/5
vos avis
25 critiques: 3.88/5
Un très grand kung fu d’époque qui débute l'âge d'or du genre
Violent et baroque à sa manière,
La main de fer a l’énorme avantage de développer une intensité dramatique toute personnelle en misant sur une hargne brutale et sèche qui le place très haut dans ce genre de production en vogue à l'époque et le singularise des futurs centaines de kung fus qui sortiront ensuite. L'ère des films de sabre vire progressivement vers celle des films de kung fu, avec d'un côté la première grande réussite du genre, pas technique pour un sous mais excessive à souhait,
The Chinese boxer de 1970, et de l'autre, l'indépendance imminente de vrais chorégraphes qualifiés tels
Liu Chia Liang et
Tong Gaai.
La Main de Fer pioche allègrement et sans conteste du côté de son prédécesseur "Chinese Boxer", notamment avec le thème très en vogue du guerrier handicapé, la violence comme moyen de survie, l'ennemi japonais et le spectacle outrancier propre au "super héros"
Jimmy Wang Yu, comme le concept du tournoi martial déjà présent dans le
Roi du Kung Fu. La Main de Fer utilise aussi le thème de l'amour fortement compromis des grandes romances dramatiques qui ont précédés, transposé dans le monde impitoyable des arts martiaux, et se hisse ainsi dans les toutes premières grandes réussites internationales de l'ère kung fu qui s'annonce, juste avant la gloire mondiale du grand technicien parmi les grands,
Bruce Lee.
Alors que le petit dragon et sa véritable maîtrise martiale vient d'exploser à la Golden Harvest avec Big Boss, la Shaw Brothers se mord les doigts d'être passé à côté du "contrat du siècle" et riposte avec ses gros moyens et un panel de kung fus moins techniques mais tout aussi rageurs et plus sanglants comme Vengeance ! ou Boxer from Shantung réalisés par le spécialiste maison du bain de sang, Chang Cheh. Avec une ambition et des moyens bien moindres de la part de la Shaw, le réalisateur coréen quasi inconnu Chung Chang Hwa pond de son côté son petit kung fu de série B qui n'a pour seul star le très prolifique Lo Lieh. Ce dernier tient pourtant là l’un de ses plus grand rôle en même temps que l'un de ses trop rare personnage de héros. Tout de même reconnu pour ses qualités en son pays, Chung Chang Hwa s'attache à développer très efficacement sa trame dramatique, teintée d'une double romance, et introduit en parallèle de nombreux protagonistes, ayant tous une forte implication dans l’histoire et présentés avec une conviction qui fera énormément défaut aux camions de kung fus d'exploitation à venir. S'y ajoute l'inévitable trio de japonais assimilé à des mercenaires sans foi ni loi qui compose des méchants charismatiques supplémentaires typiquement excessifs et caricaturaux aux accents Léoniens alléchants.
Chung Chang Hwa, ami de King Hu, partage ses goûts intellectuels et se défend de vouloir utiliser la basesse et le style sanglant de Chang Cheh, qu'il n'apprécie pas du reste, et pourtant là où il frappe fort, c'est bien avec sa propre vision du combat. Loin de lui l'idée de filmer de vraies joutes techniques, sa mise en scène se veut graphique avant tout. Chorégraphiés par les émergeants Lau Kar Wing et Chan Chuen, les combats datés ne côtoient certainement pas les cimes techniques et dynamiques, mais délivrent une nervosité et une violence omniprésente, particulièrement frappante lors du final, qui décuple l’intensité avec brio. L'entraînement éprouvant de rigueur est lui aussi très proche de la dureté des films de Chang Cheh (Lo Lieh frappant sur un tronc d'arbre), mais n'oublie pas la pédagogie chère à Liu Chia Liang grâce à la présence de deux maîtres se succédant à la formation de Lo Lieh. Autre gros point fort, les percussions y sont phénoménales, surtout pour un film de 1972. Elles n'ont même rien de ridicule face au niveau de Ong bak, et ce 30 ans avant ce qui n’est pas rien. L’énergie des coups portés y est remarquable. Le niveau martial n'est pourtant pas sans égal et les saltos vus en contre plongée un peu trop souvent revenus sont encore très loin de la complexité spatiale d'un genre qui n'en est ici qu'à ses débuts, mais La main de fer ne se veut pas un kung fu à tendance technique, plutôt une ôde rageuse, directe et débridée qui annonce avec une audace terrassante le style comics des films de Tarantino. Ce dernier utilisera d'ailleurs la fameuse scène des yeux arrachés ainsi que le cultissime son de sirène qui annonce le moment où Lo Lieh va utiliser sa technique, lorsque ses mains se mettent à rougir et que l'ennemi se voit projeter contre les murs voir littéralement balancé à travers, le dos brisé par l'impact.
Complété par sa trame simple mais bougrement efficace et rondement menée qui prend une ampleur baroque unique lors du final, voilà donc assurément un énorme classique, modestement financé et qui n'aura pas eu de succès à Hong Kong, écrasé par l'explosion de Bruce, et pourtant de la trempe de L'hirondelle d'or ou de La rage du Tigre, cette fois-ci 100% kung fu et dans un style excessif tout à fait particulier et intense, ce qui est assez rare pour être souligné, apprécié, aimé, voir même adoré. Et dire que Bruce Lee en personne aurait joué le rôle titre de Lo Lieh si il n'avait pas été chez le concurrent... ça laisse rêveur tant l'on imagine sa technique au service d'une telle débauche d'énergie.
Main de Maître
Le spectateur qui regarde en 2003 la Main de Fer, premier film hongkongais à avoir bénéficié d'une distribution internationale à grande échelle peu avant la tornade Bruce Lee, imagine sans peine le choc qu'ont dû ressentir les spectateurs de l'époque et à quel point ce film a pu être le détonnateur de passions pour le cinéma hongkongais. Parce que s'il est réalisé par un simple yes man oublié de la postérité, la Main de Fer est rien de moins que la synthèse du savoir faire hongkongais de l'époque.
Auparavant, Big Boss et Fist of Fury avaient apporté un élément neuf dans le cinéma d'arts martiaux: la dramatisation, en partie sous l'influence du phénomène Chang Cheh. La Main de Fer confirme de façon bienvenue cette évolution. D'ailleurs, lorsqu'un judoka casse la plaque de l'école, comment ne pas penser à Fist of Fury? Et justement, la Main de Fer, outre le bad guy favori de Chang Cheh Lo Lieh pour une fois héroïsé, recycle certains acquis formels et narratifs du cinéaste qui un an auparavant offrit au cinéma hongkongais un de ses sommets avec la Rage du Tigre.
Les filtres monochromes lors des scènes de flash back ou de certains combats y soutiennent l'intensité dramatique du film à la manière de ceux de ce dernier film. Parmi les autres éléments évoquant Chang Cheh, on retrouve la surenchère de zooms et de figurants lors des scènes de combat, l'exçès de violence qui correspond à l'intensité de la rage des protagonistes et surtout l'utilisation du handicap comme ressort dramatique: le personnage de Lo Lieh se retrouve provisoirement privé de l'usage de ses deux mains et obligé de réapprendre dans la douleur la fameuse technique de la main de fer, un camarade de promotion se retrouve privé de ses deux yeux; dans les deux cas, leur rage et leur vengeance sera à la hauteur de l'humiliation subie (la scène du tournoi pour Lo Lieh, le beau combat final dans le noir pour l'aveugle).
Quant aux scènes d'entraînement martial porteuses de nombreuses humiliations, elles traitent sur un mode dramatique ce qu'un Yuen Woo Ping traitera de façon comique et un Liu Chia Liang sur le ton réaliste de la mise en valeur de l'effort sportif. Si le personnage de la chanteuse n'a pas de profondeur psychologique, il amène une scène chantée et des moments intimistes (celui où elle conseille à Lo Lieh de raccrocher surtout) dont la naïveté bollywoodienne contrebalance la noirceur foncière du récit. Mais les scènes de combats, si elles recyclent des acquis de Chang Cheh, contiennent des idées de mise en scène et de montage très intéréssantes: le film n'a pas peur de laisser certains combats se dérouler dans la durée mais le montage se fait par moments plus nerveux sans nuire à la visibilité des combats.
Et surtout, pour le plus grand plaisir du spectateur, on y fait des vols planés et on n'a pas peur de se battre en défiant les lois de la gravité. Ce dernier aspect est renforcé par l'adjonction des personnages de judokas et karatékas venus du Japon pour contrer la technique de la main de fer. On se retrouve ainsi avec des vols planés de combattants qui finissent par se crasher sur les murs, ce qui évoque directement une influence directe de Fist of Fury, le Sugata Sanshiro d'Uchiikawa qui offrait outre ces vols planés des combats de judo aériens et spectaculaires. Les personnages japonais sont également l'opportunité d'une scène de combat "sabre contre poings" d'une belle intensité dramatique (l'embuscade pré-tournoi contre Lo Lieh).
Dans la Main de Fer, tout fonctionne et le film doit aussi son statut culte à certaines de ses qualités cinématographiques. Le film aura sorti Lo Lieh des rôles de Bad Guy, ouvert la voie à l'explosion mondiale de Bruce Lee et est surtout un témoignage de la façon dont un certain savoir-faire technique, des acteurs de charisme, un scénario écrit et un artisan consciencieux peuvent donner lieu à de belles réussites lors des périodes d'âges d'or d'un système de studios.
Un classique du genre
Un énième grand film de la grande maison Shaw de Maître Run-Run, véritable perle du genre.
Tout comme une bonne quantité de western italiens, on suit le parcours d'un homme, aux mains mutilées par des bandits jusqu'à son explosion de vengeance.
Le pitch peut paraître classique, définitivement vu et revu, mais la narration (cruciale chez Chang-Hwa) est ici tellement bien ficelée et carrée, qu'elle apparaît attachante et passionnante.
Violent, barré et particulièrement soigné au niveau des décors et couleurs, La Main de Fer est le premier gros succès de la Shaw en Occident. On a même droit à quelques passages relevés à base d'énucléations, reprises à l'identique dans Kill Bill vol.2.
Porté par un Lo Lieh encore une fois exceptionnel, les combats, l'interprétation et la justesse de l'ensemble (très peu de défauts ou d'invraissemblances) font de la Main de Fer un classique du genre.
Jeux de mains, ...
Réalisé aux tous débuts des années soixante dix, "La Main de Fer" est un bel exemple de film conçu consciencieusement.
Carré jusqu'à la fin, il fait montre d'une rigueur narrative sérieuse mise assez élégamment en images.
Le casting n'est pas en reste, faisant le maximum pour faire exister les différents personnages à l'écran.
La dimension dramatique prend définitivement le pas sur la comédie, ici famélique voire inexistante.
Les chorégraphies assez nombreuses et bien disséminées à travers le récit ne sont pas encore au niveau des meilleurs métrages de la fin de cette décennie, mais reste agréable à regarder.
L'action, de toute façon, me semble être traitée à égalité avec les autres "ingrédients".
11 septembre 2021
par
A-b-a
Dire que j'avais raté ça !
Dans ma jeunesse, j'en avais entendu parler (sous un autre titre, d'ailleurs) comme d'un film "violent". Après
Kill Bill, le qualificatif ne s'impose plus. On se réjouit simplement des combats (excellents), des personnages aussi prévisibles que le scénario (j'avoue une faiblesse pour Han Long, dont les rouflaquettes annoncent la trahison bien avant le regard fuyant) et des décors (que parfois on imagine le bas du rideau comme sur les photos de mon arrière-grand-mère sur fond de plaine enneigée).
A double tranchant
"La main de fer" constitue une véritable date dans le cinéma HK et la production de la Shaw. Le wu xia pian est en perte de vitesse au détriment des purs films de kung fu et il faudra encore quelques mois, avant que Bruce Lee n'impose un nouveau style dans une production locale autrement moribonde. La Shaw propose alors cette surprenante réalisation sèche et nerveuse, empreinte d'une sacrée dose de noirceur et de violence.
Si la première heure est assez dispensable dans un prologue inutilement long et bavard, c'est le dernier tiers du film, qui lui donnera toute sa saveur.
Après le court apprentissage de Loh Lieh, présageant le futur modèle du sifu et de son disciple (allant jusqu'à donner naissance à la kung fu comedy sous l'impulsion de Jackie Chan et les production de Yuen Woo Ping), les combats s'enchaînent à un rythme effréné. Le montage est ultra-rapide pour son temps, cut, sec et les coups portés font franchement mal. Surprenant également la scène de al défaite obligatoire du héros, lui donnant la rage nécessaire pour vaincre tous ses ennemis : il 'agira ici carrément d'un mesquin traquenard, durant lequel ses adversaires lui broieront ses mains pour ne plus pouvoir appliquer la fameuse technique de la "main de fer".
Forcément, la fin détonne avec al stridente sirène (reprise dans le futur "Kill Bill" de Tarantino) et les mains de fer apparaissant en rouge "E.T.'s TOUCH - un délice.
Le final s'éternise avec de nombreux combats imprévus pour vaincre un à un des adversaires pas forcément attendus.
Dommage seulement, que la première partie soit aussi longue, que les scènes de romance - en contre-poids aux viriles histoires de Chang Cheh - sentent autant l'eau de rose et ralentissent singulièrement l'action sans donner un véritable enjeu indispensable à l'intrigue et que la mise en scène ne sert pas toujours les merveilleux combats.
Un classique, accusant quelque peu le poids des années et pas autant maîtrisé que d'autres films de la même époque; mais rien que le dernier tiers s'impose comme un modèle dans son genre.
Trés bon kung fu
Cette production tous les defauts du genre mais aussi de nombreuses qualités.
C'est rapide, violent, brutal et Lo Lieh est trés bien. Ce film a du faire decouvrir à beaucoup de monde le ciné hk et merite donc d'etre vu.
Parfaitement eficace et important historiquement!
Réalisé avec toute la maitrise d'un cinéma HK de genre, five fingers of death étonne par le nombre de ses rôles secondaires, l'ampleur de son histoire, et la préence de Lo Lieh au milieu de tout ca, en.... gentil! Parfait agent fédérateur de toutes ces directions martiales et scénaristiques.
Film à la croisée des chemins, au même titre que Vengeance, Fist of Fury ou le Big Boss, précurseur d'un avenir brillant pour le cinéma de genre HK (avec l'ouverture à l'occident, pour laquelle ce film est un sorte de révélateur), ses qualités propres ne sont pas à négliger: combats très violents (moi j'aime bien le kung-fu de cette époque, qui s'apparente plus à de la castagne qu'aux ballets Liu Chi Liangiens!), forte émotion (haaa Lo Lieh en good guy pour changer ca fait quand même du bien! potentiel identification maximum!), réalisation qui synthétise toute la solidité et toute l'élégance de la technique Shaw Bros,...
Du grand Kung-fu pour une date dans l'histoire du genre!
PAS MAUVAIS DU TOUT
Beaucoup de personnages, de l'action "en veux tu en voila", de belles chorégraphies et une histoire certes minimaliste mais intéressante tout de même: Tout cela place "La Main De Fer" dans la catégorie des bons films d'arts martiaux et de plus dans les grandes réussites de la SHAW. A voir sans hésitation
five fingers of death aka la main de fer
tres tres bon kung fu pian et film culte des productions "shaw brothers" la main de fer est indiscutablement le meilleur film de lo lieh(qui joue ici le role du "gentil") le cadrage des chutes lors des scenes de combats sont stupefiantes et la dose de violence aussi. un bon scenario, un des premiers film dit"de karaté" sorti sur les ecrans belge et qui a marqué le debut des films de hk ."a must for every SB fan" et pour tous les amateurs du genre malgré que c'est un film de 1972 la main de fer est un grand classique a ne rater sous aucun pretexte. cultisimme,ce film fut une véritable "claque visuelle" a sa sortie en salle (il y a plus de 30 ans) , imaginez vous la tete (dont la mienne) des spectateurs a la fin du film , personne n'avait jamais vu un truc pareil. quel impact, quel film!!!!!
Un excellent Kung Fu Pian
A voir ne serait ce que pour les chutes des combattants. Les cascadeurs doivent sauter depuis un escabot parce qu'ils tombent de vraiment très haut et sur le dos à chaque fois. On a vraiment mal pour eux. Sinon on y voit Lo Lieh en gentil, le scénario est de qualité bref, c'est du tout bon, surtout vu l'époque.
Tragédie grecque à la chinoise...
Bien avant Bruce Lee, le kung-fu pian avait déjà acquis ses lettres de noblesse grâce à un film: la main de fer!
Da Ming revient chez son maître, celui-ci constate que son disciple a fait d'énormes progrès et décider d'envoyer son protègé Zao Ziao (Lo Lieh) là où Da Ming s'est amélioré. Zao quitte le foyer malgré la tristesse qu'il éprouve à l'idée de ne pas voir Yen Ying, la fille de son maître, dont il est amoureux. Sur le chemin qui le mène à sa nouvelle école Zao sauve une chanteuse des griffes d'une bande de voyous...
Il s'agit ici d'une main de fer dans un gant de velour car les intrigues romantiques ont une grande importance. Cependant, il ne s'agit pas d'un film niais. Chaque romance est un moteur dont les jalousies et autres passions enflammées vont créer un conflit qui débouche sur un combat.
Vous l'aurez compris le réel point fort de ce film est sa dramaturgie. Le scénario développe pleinement les personnages et leurs relations tout en évitant les stéréotypes (à l'exception des méchants Japonais), réussissant même à placer quelques dialogues et passages amusants (Le rêve où Yen Ying retrouve son Zao Ziao, le tout filmé au ralenti).
Les acteurs sont tous excellents avec une grande palette d'émotions.
Les combats sont certes bien chorégraphiés et dynamiques mais l'on n'atteint pas la perfection d'un Bruce Lee ou le rythme d'un Samo Hung ou Yuen Woo Ping. Ils sont tout de même assez sadiques (décapitation, arrachages des yeux...).
Approchez venez voir la grandeur de la Shaw Brothers!
un classique d'une autre époque....
divertissant,violent et bien filmé,ce film fait figure de classique pour tout amateur de film HK....
beaucoup pourront trouver ca désuet aujourd'hui,mais moi j'adhere bien....
un film assez gore,ce qui surprend tout d'abord,mais on est vraiment pris par la dramaturgie,et on se plait a regarder autre choses que du combat;par exemple,l'évolution des personnages,etc....
a voir!
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modification de la critique et de la note:
bon, en fait,j'ai trouvé le dvd zone 1 à san francisco, je l'ai acheté...et ca m'a rappellé trop de bons souvenirs.
et ca m'a fait penser que c'est peut être le 1ER film asiatique que j'ai vu et oui avant BRUCE LEE!!!
ca se pourrait bien, j'avais acheté la cassette warner bros AVANT celle de "la fureur du dragon"!!
de le revoir maintenant ( ca faisait quelques temps que je ne l'avais pas vu)
ca m'a presque ému pour le coup
donc je révise ma note qui était de 3,25, je lui rajoute 1 point pour le coup.
car finalement, je suis attaché a ce film, en dépit de toute considération qualitative.
bon voilà, le quart d'heure nostalgique est passé, je sais tout le monde s'en fout mais bon....
Un grand film pour l'époque
Bon, c'est un bon film de Kung-Fu d'époque, il est pas super bien joue par l'acteur principale LO Lieh mais il vaut vraiment la peine d'être regardé sérieusement même si c'est pas toujours facile devant certaines scènes qui sont sans le vouloir assez marrante.
D'après les dire de Chung Chang-Wha, il est le seul de son année a avoir eu un succès planétaire et qui a pu ouvrir la voie aux autres film du même genre qui s'en était inspiré. De nos années, il est encore tellement pour certains que même le grand Tarantino s'en est inspiré pour Kill Bill.
Alors a voir pour ceux qui ne connaissent pas encore.
Un immense Kung-Fu ...
... malgrè les années qui passe, c'est ce qui reste aujourd'hui de "La main de fer" plus de 30 ans après sa sortie . Le jeu des acteurs est correct, même si on a vu mieux, et les combats restent toujours efficaces, violents et n'ont pas pris une ride . Avant cette ressortie cinéma, j'avais vu ce film en VHS au éditions René Château vidéo, il y a longtemps, et ce dernier m'avait beaucoup marqué . "Five Fingers of Death" est et restera probablement le film le plus célèbre et le plus culte de la Shaw Brother avec "La Rage du TIgre", les deux premier films de la Shaw a connaitre un succè fulgurant en occident à l'epoque de leur sortie .