ma note
-/5

moyenne
3.08/5

Fighter in the Wind

nombre de notes: 0nombre de notes: 1nombre de notes: 1nombre de notes: 4nombre de notes: 7nombre de notes: 6nombre de notes: 5nombre de notes: 12nombre de notes: 5nombre de notes: 4

les avis de Cinemasie

5 critiques: 2.85/5

vos avis

40 critiques: 3.09/5

visiteurnote
750XX 2
antigone 4
Bamboo 2.5
Bastian Meiresonne 3
Black_pantha 2.75
DarK ChoueTTe 4.25
dll_povtyp 2.5
Duncan 3.75
Feiwong 5
FREDDYK 3.75
geez 3.25
hayaku 2.25
Hidelirium 2.5
Illitch Dillinger 1.25
Izzy 3
jeff 4
Jérémy 1.5
Jérôme.D 3.5
JET 0.75
JoHell 3.75
jool 2.75
Khanheda 3.75
koalaurent 2
lesamouraifou 3.5
mahon972 3.75
maru 4
Phildu62 2.75
Pikul 1.5
Plugman 4.75
punkfloyd 2.25
Sadako 4
Samehada 3.75
SanjurOn 3.25
Sauzer 3.75
Scalp 2.25
Shalashaska 3.5
Sifu Tetsuo 2
tu0r 3.75
vanderriest 5


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Adaptation live en manga

Le film aurait été une véritable réussite - s'il ne s'agissait pas d'un véritable histoire; car force est de constater, que le réalisateur se réfère énormément à l'univers du manga (mèche dans les yeux du méchant; manière de filmer les combats, etc). Le film perd du coup énormément de sa force et - sahcant toujours qu'il s'agit d'une histoire vraie - perd de son intérêt. Dommage, car les intentions semblaient sincères et le parcours de la vie de Bae-Dael est tout simplement hallucinant. La reconstitution est de toute beauté et rappelle par moments les meilleurs films des années 1970s...japonais !!! Le réalisateur coréen a donc vraiment gagné son pari de ce côté-là. En revanche, il traite son sujet de manière trop ludique et élucide - notamment - totalement la portée philosophique de son héro; celle-là même qui a fait la renommée d'un Bruce Lee; et sûremetn que Baedael cherchait plus que de simplement affronter des adversaires, surtout que le réalisateur insiste sur "sa peur". Une meilleur eintrospection, plus de sensibilité envers le personnage aurait donc été le bienvenu; en l'état le réalisateur passe à côté de son sujet et n'en propose qu'une version "fast-food" ou "light" d'un mets de choix !

16 mars 2005
par Bastian Meiresonne


Le tigre coréen

L'histoire de ce coréen qui défia les plus grands maîtres japonais et inventa sa propre version du karate est très prenante. Car ce n'est pas seulement un film de tatanes, mais au l'histoire d'un homme bafoué et humilié, qui, en territoire hostile, fit montre d'une prodigieuse force et volonté. Malgrès son genre estampillé "action", Fighter in the wind n'est pas qu'une succession de bastons. Il y a aussi de très beaux passages sentimentaux, pas niais du tout. La première partie est consacrée à l'arrivée de Choi Baedal au Japon, à son intégration plutôt difficile, lots de malheurs lui tombant sur la tête, et sur celle de ses semblables coréens immigrés. Viennent ensuite de superbes combats, malheureusement trop peu à mon avis, mais franchement réussis, et, à l'exception de quelques effets de style qui n'ont rien à faire ici (ralentis et accélérations), la puissance est très bien retranscrite, et les chorégraphies sont assez impressionnantes. Le héros est loin d'être inintéressant et plat, et l'acteur principal l'incarne à merveille, et pas seulement côté physique. Notons aussi des seconds rôles intéressants comme Yoko, incarnée par Hirayama Aya, une bonne surprise. Du côté des défauts techniques, il y a donc certains effets visuels peu adaptés lors des combats (mais heureusement peu majoritaires), entre autres, et une musique qui a certains moments, aurait pu elle aussi être mieux choisie. Et j'aurai également souhaité voir quelques combats de plus... Mais ces légers défauts sont occultés par la réussite de l'ensemble : sentiment, variété, personnage accrocheur, réalisation assez bonne (et accessoirement, dotée d'une très jolie photo) dans l'ensemble (si on excepte les légers défauts mentionnés plus haut), décors et costumes parfaits, et fights excellents. L'accrocheuse histoire d'un grand personnage du monde du combat, trop injustement méconnu.

18 décembre 2004
par DarK ChoueTTe


Un combattant (trop) dans le vent...

En voilà un film sympathique!!! Certes, l'histoire (vraie) est sans doute très reomancée mais l'on prend un grand plaisir à suivre cette histoire bien menée de bout en bout...Néanmoins, 2 reproches à formuler: - les combats ne sont pas particulièrement réussis: j'aurais préféré une mise en scène plus brute (à l'image du style du heros principal) et pas une succession de ralentis et d'acélérés post Matrix -la musique parfois rock ne colle pas à l'ambiance générale du film Néanmoins, une réussite dans le cinéma d'action!

23 octobre 2004
par Duncan


Le fist of Legend Koréen !!!

Tout simplement magnifique ! Tiré d'une histoire vraie, ce film rend hommage à Choi Baedal , le plus grand combattant koréen jamais existé , aussi mythique que le célebre Miyamoto Musashi.Les combats sont magnifiquement filmés , le scénario plus que correct , les personnages dotés d'un charisme impréssionnant, ce film marque une étape importante dans le cinéma koréen et plus globalement dans le cinéma d'action /arts martiaux. Un film à voir absolument !!!

15 octobre 2004
par Feiwong


BELLE FRESQUE DES ARTS MARTIAUX

Une belle histoire, bien filmée. De très beaux et bon combats le tout plongé dans de sompteux décors. Un Bon moment cinématographique. A voir sans trop d'hésitation.

08 décembre 2005
par FREDDYK


Ce film est intéréssant, même si je suis un peu déçu des scène de combats où l'ont voit certes de très beau mouvements mais sans continuité dans l'action. Le première moitié du film m'as plus captivé que la seconde ou j'ai commencé à trouvé le temps un peu long sur la fin, surtout que le dernier combat est assez décevant.

28 décembre 2004
par hayaku


La vie de Choi Bae-Dal devait enfin être mise sur grand écran, mais je pense que Bae-Dal méritait beaucoup mieux. Pourtant, le film se laisse regarder tranquillement, mais les approximations et les défauts sont nombreux. Tout d’abord, au niveau du scénario, il y a une histoire d’amour complètement inventée de toute pièce, alors que ce n’était pas nécessaire. Ensuite, par rapport aux costumes, on n’a l’impression étrange que le film nous révèle Bae-Dal portait en fait une moumoute, mais non c’est juste un manque de professionnalisme et une faute de goût de la part du réalisateur. En plus, certains Japonais ont des coiffures tout droit sorties d’un manga, et allez savoir pourquoi. Enfin, on retrouve, hélas comme toujours, ce sentiment nationaliste, car les défauts des Japonais sont grossièrement exagérés. Mais vous allez voir, Fighter in the Wind n’est pas du tout irregardable, mais on aurait pu faire beaucoup mieux au niveau de la réalisation et du casting.

14 septembre 2008
par Hidelirium


superbe image, belle réalisation

on peut dire que ce film est carrément coupé en 2 parties la 1ere heure pour nous raconter la vie de ce fameux karatéka, et le 2eme heure axé sur les combats qui sont superbement mis en scene.. encore une perle Coréenne.

15 novembre 2004
par jeff


Déception pour ma part. La musique anachronique et le manque de combat durant les 2 longues heures de métrages ne m'ont pas aidé à apprécier le film.

10 août 2010
par Jérémy


Enfin !

Fighter in the wind n'a rien d'exceptionnel, certains le jugeront même probablement très inégal ou sans importance. Ce qui n'est pas une raison pour ne pas en dire du bien. Ce qui marche avec Fighter in the wind c'est moins la mise en scène que son aspect décoratif et ludique. Ce qu'on aime c'est l'ambiance, la reconstitution un peu cheap d'un Ikebukuro d'époque, éclairé plus que filmé en mode souvenir. Le film séduit tout en passant un peu à côté de sa figure de légende, un comble, mais on s'en fout. On aime le mélo, beaucoup la fille, pas mal le gars, et puis entendre parler japonais et coréen en même temps, parce que ça fait film historique rigoureux, alors que visiblement la rigueur c'est justement une autre histoire. On aime Fighter in the wind parce que le responsable de cet objet, dont le nom importe assez peu (quoique), prend un plaisir inouï à chaque plan. Pas très inventif, mais suffisamment débrouillard, il sait donner à ses images une tonalité de laquelle finit par émerger une sensibilité. Une réelle intensité où alors peu importe la mise en scène, les combats un peu ratés, la construction pratique, le découpage et le montage paresseux, car on a notre quota d'émotion et toutes les faiblesses sont transcendés par l'envie, grand moteur de Fighter in the wind. On n’est pas difficile, un peu de bravoure, de l'amitié, de l'amour et de vengeance, un peu de violon, et nous voilà, on y croit. Voilà qu'on aime Fighter in the wind. Les coréens sont décidément en train de créer un véritable cinéma artisanal après Hong Kong, un cinéma où enfin on se moque définitivement de l'auteur, un cinéma anti cinéphilique. Enfin, merci !

01 novembre 2004
par Jérôme.D


Nul

Je m'attendais a mieux, mais j'ai ete tres deçu, d'une part par le scenario mal construit et tres ennuyeux (il faut tenir 2 heures!) et surtout part les combats tres mal filmés et ou on voit nettement que les coups ne sont pas portés, le summum du ridicule reste le combat de la fin qui dure a peine 1 minute!!

26 décembre 2005
par JET


la grandeur cachée

En vérité que nous suffit-il en cinéma? Pas grand chose. Quelquefois une résonance particulière à un intime sentiment que quelque chose peut naitre du néant. C'est un peu cela fighter in the wind. Pas mal de néant et de trous, de choses qui ne marchent pas. Et pourtant... Et pourtant, comme l'annonce l'ouverture, il y a la peur, le désir de souffrance. Une détresse nécessaire, qui réclame le malheur, s'affaire un monstre afin d'avoir un monstre à combattre. En vérité, quelle bien étrange quète que celle du héros. Pourquoi tant de souffrance? C'est que derrière tous les pseudos clichés et autres bricolages, l'envie des grands murs et des fresques audacieuses, des artifices qui ne trompent guère, il y a des forces bien plus fines et remarquables. Une tragédie vraie car pleine de douleurs cachées, de séparations inconsolables et pourtant nécessaires. Car sinon, la fille ne serait pas aussi belle, l'amour aussi pur et beau. Au diable les pitreries du pugilat,le héros n' est que peur et naîveté des sentiments sortis du néant et portés par le souffle des images. C'est là et uniquement là, dissimulé à lui-même et à une remarquable sensibilité, lorsque peu de grandes choses fonctionnent mais que se produit cette intime étrangeté que fighter in the wind se montre grand et parfait.

11 mars 2006
par Khanheda


Le crescendo du ridicule...

Le film était pourtant plus ou moins bien parti, avec des clichés certes, mais un contexte très intéressant qui n'a pour ainsi dire jamais été exploité jusqu'alors au cinéma : la jeunesse coréenne présente au Japon avant et après guerre. Il est vrai que ce thème est un tabou plus qu'interdit, autant au Japon qu'en Corée. La volonté de faire exploser ça à l'écran, de montrer cette haine ruminée et la réalité de l'époque au grand jour est plus qu'encourageable, je la félicite. Mais alors pourquoi ? Pourquoi donc le scénario part si vite dans la futilité au bout de quelques minutes ? Pourquoi ce thème grave n'est ensuite qu'une trame de fond opaque, un fouilli culturel où le réalisateur ne préfère alors ne plus trop s'attarder ? Pourquoi le Japon ne devient alors plus qu'un dojo au regard du scénario, un gigantesque décors dans lequel toutes les femmes sont geishas, les hommes des méchants yakusas ou des maîtres en art martiaux ?! Je suis d'autant plus énnervé que ce sujet me tenait particulièrement à coeur. Rien n'a été traité, tout juste survolé de très haut, juste de quoi en parler sans se mouiller en fait. Bilan : chou blanc (et ça m'a vraiment agacé du coup). C'est plus que rageant de voir cette dérobade à partir des 10 premières minutes. Le réalisateur enfonce son film dans ce qui ressemble ensuite plus à un mauvais film de bastonnade facile qu'autre chose. Il ne reste plus rien ensuite pour rattraper cette chute, la bonne prestation des acteurs n'y changera rien... hélas. Le film s'étire en longueur, les dialogues commencent à devenir plus que burlesques, le scénario prend des airs d'entraînement "Rocky", nous en sommes à peu près à la moitié du film. Une bande son catastrophique vient se rajouter à ce qui semblait déjà bien pitoyable à ce moment là ; la tension d'arrêter ce film en cours de route devient alors insoutenable ! Le retour du combatant en deuxième partie est déchirante, les larmes commencent à couler, nous entrons dans ce qui semble être la partie dramatique du film, pleine de remords, de sentiments... (je vous passe le détail de toute cette poudre qui me fait encore sourire) Oui mais voilà, tout ceci n'est encore rien comparé au comble du pathétique qu'est le combat final : mauvaise parodie délibérée ? J'en ai encore mal au ventre à quel point c'était mauvais. Pfff... ah, avec tout ça, j'allais presque oublier de relever la dernière scène du taureau qui termine le film en apothéose ! Même si mon avis à chaud est assez exégéré, volontairement, les mots tels que "rattage" et "gachage" ne sont pas de trop pour qualifier ce film. J'ai encore du mal à croire comment, en me revisualisant le début du film, ont-ils réussi à terminer ce film comme ça... Le réalisateur nous montre les beaux chateaux et autres temples japonais qui n'ont rien à faire là et qui font office de beaux décors derrière. Devant, on voit des maîtres en prendre pour leur dan ! Dérouillées sur dérouillées, une sorte de "Tour de Gaulle d'Astérix" que l'on peut renommer en "Tour du Japon de Baedal", la finesse en moins. Bref, pour en terminer avec cette longue et fastidueuse analyse, je dirais que "Fighter in the Wind" m'a, dans l'ordre, alléché, ennervé, déçu, ennuyé, et enfin navré.

20 janvier 2005
par koalaurent


KYO-KUSHINKAI inside

La légende Oyama romancé d'une très jolie façon. Des combats très prenants. Une belle réalisation, une belle leçon d'honneur. C'est simple, après avoir vu le film j'ai cassé une lampe, un guéridon, ma baie vitrée et mon aquarium... Je me suis pris pour le sensei de Sonny Chiba en personne. Cà a duré jusqu'à ce que ma femme arrive... oui a chacun son Sensei !

28 février 2007
par Plugman


KARATE BULLFIGHTER.

Fighter in the wind est un bon film mais là où il se révèle frustrant c'est qu'avec un tel scénario et un tel personnage principal ça aurait pu être carrément excellent (du niveau d'un Fist of legend quoi ?). Le parcours de Mas Oyama est étonnament bien rendu et, par conséquent, les 2 heures passent comme une lettre à la poste. L'aspect "homme forgé par son époque" est bien traité, il en est de même concernant sa romance avec la geisha (trop mimi au demeurant). Bref, comme je le disais auparavant, c'est bien écrit (et bien interprété aussi...). De même certaines scènes restent dans la tête bien après la vision du film (en même temps je ne l'ai vu que hier soir...), parmi ces scènes je citerais en particulier la conclusion, l'entraînement dans la montagne ainsi que le passage, émouvant, où Mas rend visite à la famille de Ryoma. Franchement, il y'avait de quoi faire un grand film. Mais là où le bât blesse c'est en ce qui concerne la réalisation chichiteuse (pas toujours maîtrisée) dispensant quelques effets d'un goût plus ou moins contestable (AMHA le réalisateur aurait dû se contenter d'une réalisation plus sobre, plus classique), de plus, les combats sont un peu pénibles à suivre...En fait, le problème vient de leur cruel manque de continuité : On a plus l'impression de voir un "best of" des meilleurs coups qu'un vrai combat, ce qui est, avouons le, frustrant. En résumé je dirais que Fighter in the wind est un film (portrait) intéréssant et attachant mais qui pèche par le manque de rigueur de son réalisateur ainsi que par la faiblesse (relative, car le peu qu'on en voit est franchement bien) de ses combat.

11 décembre 2005
par SanjurOn


Indestructible.

D'une nature surhumaine, Choi Baedal va devenir un dieu vivant au Japon alors que sa communauté (coréenne) est plus que méprisée.Le charisme de l'acteur n'apparait cependant qu'à la 2è heure qui est bien meilleure que la premiere un peu fade,mais cette deuxieme partie est un petit bijoux.

20 octobre 2004
par Sauzer


Inégal.

Alors déjà, l'ambiance Japonaise de cette époque est je pense plutôt bien retranscrite. On voit quand même d'une manière assez brutale le racisme dont sont victime les Coréens exilés au Japon durant l'occupation Amércicaine. Pendant une heure environ, on suit le parcours de Choi Baedal pour essayer de survivre dans cet "enfer jaune", Puis après, il en a marre, alors il veut devenir le meilleur combattant du pays. Sa formation initiale n'étant pas fameuse, il part tout seul se réfugier dans les montagnes pour se perfectionner. Puis après il affronte les meilleurs combattants du pays... Voila en gros le film. Puis on a aussi droit bien sûr a l'amourette et a la vengeance. Les combats ont du punch, ça c'est clair. Il ne manque pas de pêche, et quand ça frappe, ça fait mal. Dommage que l'on ai droit a des ralentis pendant les combats, et a des effets tocs. Perso, j'aurais plus vu une mise en scène a l'image du héros : brute et sèche, sans coupe. Et mettre un peu de mauvais rock sur certaines scènes ça fait un peu tache. Ce sont là les deux seuls défauts du film en gros. Un film qui alterne le très bon, et le plutôt moyen. Dommage que ce soit aussi inégal, parceque avec une histoire (vraie) comme ça, y'avait moyen de faire ZE film d'action du début du millénaire...si si!

12 avril 2005
par Shalashaska


Fight for nothing

Voilà un film que j'attendais avec impatience et qui m'a énormement déçu. Et pourtant l'histoire vraie du personnage de Choi Bae-dal avait tout les ingrédients pour faire un bon film. C'est malheureusement raté. Complèment raté. C'est simple Fighter in the Wind est réalisé avec les pieds. Par exemple on sait juste que l'histoire se déroule au Japon juste après la guerre du Pacifique et c'est tout. A aucun moment le réalisateur nous rappelle les éllipses de temps (genre 1 mois après ou 1 ans après). En fait le personnage évolue et apprend à se battre en 1h50mn chrono. Oui, c'est bête mais pour un film qui se veut autobiographique c'est quand même énorme. En plus ce n'est pas très bien réalisé (où sont les plans larges), les séquences de combats sont horriblement montées (pourquoi mettre des images fixes en noir et blanc ?). Quant à la musique n'en parlons pas tellement elle est de mauvais goût. Seul les acteurs arrivent au moins à rester juste. En particulier Masaya Kato qui se fait trop rare malheureusement comme acteur. Yun-Ho Yang semblait manquer terriblement d'inspiration en faisant ce film. Le projet devait être trop ambitieux pour lui. Dommage.

20 juillet 2007
par Sifu Tetsuo


superbe, trés beau film

Ce film m'à beaucoup plu, sans prétention, les 122 minutes du film passe trés bien, on sui les aventures et les mésaventure du personnage, je vous le recommande vivement. Pourvu que se film se fasse connaitre en France

30 novembre 2004
par vanderriest


achat
info
actions
plus