Chaaver

Ordell Robbie

3

Les pas planqués.

Les pas planqués.

Chaveer s’est vu reprocher par critique et public locaux la minceur de son scénario. À croire que ces derniers ne connaissent pas le concept de Série B. Car oui la trame est très mince mais chez PAPPACHAN beaucoup de choses sont racontées via la visuel, quitte à passer par une lenteur flirtant avec la pose mais indispensable à la qualité atmosphérique d’un film à combustion lente. Le climax final a pu décevoir ce qui espéraient de la surenchère mais est parfaitement raccord de l’esprit du film. Un film où des tueurs ayant raté un assassinat politique passent du temps pour trouver une planque. Seules fautes de goût : le générique d’ouverture et de fin, le ralenti pompier sur le mort au milieu du film.

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