ma note
-/5

moyenne
3.50/5

My Heart Is That Eternal Rose

nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 1nombre de notes: 0nombre de notes: 6nombre de notes: 9nombre de notes: 6nombre de notes: 2

les avis de Cinemasie

5 critiques: 3.4/5

vos avis

19 critiques: 3.72/5

visiteurnote
Antaeus 3.5
Bastian Meiresonne 3.75
chronofixer 3.75
Fred30 3
geez 3.75
Guesar 3.75
HK Tipee 3.75
Illitch Dillinger 4.75
jeff_strike 3.25
Jérémy 3.25
Jonathan-Asia 4
Manolo 4
Mémé 4.25
Phildu62 3
pikoti 2
SanjurOn 4.25
Sauzer 4.25
Scalp 4
Sébastien 4.5


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Il est fort dommage que ce hero movie à l'ancienne se soit fait éclipser par les succès du tandem John Woo/Tsui Hark. Car "My heart is that eternal rose", avec son lyrisme, ses arrêts sur images et son gunfight final prodigieux n'ayant rien à envier à un "The Killer" - sorti un peu plus tard ; sa photographie bleutée en intérieur signée Christopher Doyle - alors au début de sa carrière - annonçant les productions Milkyway futures, et la présence de Leung Chiu-Wai dans l'un de ses premiers grands rôles ; à tout d'un film fédérateur. Il est en tout cas la plus grande réussite de Patrick Tam depuis "The Sword".

31 juillet 2005
par Antaeus


Killer's Blues

Il n'est pas étonnant de savoir que "My heart…" ait été le dernier film de Patrick Tam avant que ce dernier ne mette sa carrière artistique entre parenthèses pour près de dix-sept ans. Bien qu'étant un polar efficace, son sujet et sa réalisation n'ont finalement pas grand-chose à voir avec les véritables motivations de son réalisateur. Genre populaire à l'époque, Tam recourt à tous les effets stylistiques typiques de l'époque, depuis le scénario – classique – jusque dans certains visuels (arrêts sur image, ralentis, etc). En revanche, cadrages et expérimentations sur les couleurs sont proches de zéro et les thématiques sous-jacents, notamment la diversité culturelle, à peine abordée. Ce compromis purement commercial aboutit au film le plus abordable de Tam; et son efficace mise en images fait des merveilles. Christopher Doyle (remplacé par David Chung pour la fusillade et les scènes sur les quais) délivre une belle lumière, bien que moins aboutie que sur "Burning Snow". Le fait que el tournage ait commencé sans que le scénario n'ait été terminé se ressent pas du tout. La fin n'est moins inspiré par les films de John Woo de la même époque, que du cinéma américain de Sam Peckinpah et influencera – à son tour – le cinéma de Johnnie To à venir. Pour l'anecdote, Tam avait prévu de terminer son film sur la mort d'un des personnages, avant que le producteur n'exige al fin actuelle pour "plus d'optimisme". Définitivement un "must-see" pour tout amoureux du polar made in Hong Kong; mais contraire à l'éthique de son réalisateur.

30 avril 2007
par Bastian Meiresonne


bon film oldschool à la john WOO, le mélo et le polar se mélangent pas trop mal. bonne réalisation, un peu frustrante des fois (un montage pas toujours top, des gunfights peu développés mais des beaux plans aussi). le scénario n'est pas très original, ni très malin ou très fin mais pour ce type de film il est correct.

17 janvier 2005
par chronofixer


Entre film d'auteur et l' Heroic bloodshed Pur Jus...

Rythme etrange et poétique explosé par un final des plus catharsistique...un film assez beau en somme....

19 septembre 2004
par Guesar


Ce film m'a troué le cul !

09 février 2011
par Illitch Dillinger


Heroic Bloodshield typique du cinéma Hong Kongais de la fin des années 80, ce film est la quintessence du genre. Drame, violence, sentiments amoureux, séparations et retours, tous les éléments pour une véritable odyssée sanglante sont réunis. La caméra sublime ses personnages, surtout Joey wong qui navigue dans une lumière céleste rouge et bleue ( la scène de la chanson semble sortie d'un rêve) et capture l'essence des moments durs, comme doux: une étreinte passionnée, un regard mélancolique, ou un revolver dégainé qui crache le feu de la mort autour de nos héros. Nostalgique et intense, My Heart Is That Eternal Rose est un film noir et un indispensable du cinéma de HK.

10 juillet 2016
par Jonathan-Asia


100 fois plus passionnant que les récentes prod Milky Way, ce film fait partie de la crème des films HK de son époque. Tant sur le fonds que la forme. On y découvre entre autre les fameux "ralentis accélérés" de Chris DOYLE, qui feront la renommée de Chungking Express. D'ailleurs, à la même époque, WONG Kar Wai sortait son "As tears go by", quasiment aussi réussit. Merci Mei Ah pour cette essentielle (bien que tardive) réédition.

24 septembre 2007
par Manolo


Eternal Heroes.

"Hero movie" baignant dans une atmosphère nostalgique MHITER est sans conteste une réuissite majeure du genre et, à l'instar des classiques de John Woo (pour citer les plus célebres), un joyau de romantisme échevelé parcouru d'électrisants éclairs de violence graphique (bien qu'à certains moments on soit à 2 doigts du sordide, voir les scènes avec Gordon Liu). Une des principales caractéristiques du film de Patrick -The sword- Tam est sa confection quasi "arty" qui rend d'autant plus mémorable ce "hero movie" au scénario relativement archétypal. Bref, visuellement c'est plus que chiadé (même si légèrement daté sur certains aspects), on sent que Chris Doyle expériemente certains effets qui seront sa marque de fabrique sur Chungking express et autres films de WKW période 90's. D'ailleurs il est amusant de comparer MHITER à As tears go by de Wong Kar-Wai. Sortis durant la même période, les 2 films partagent (visuellement parlant) pas mal de points communs, bien que la photo de As tears... soit signée Andrew Lau. Une des autres qualités du film est de laisser le temps à ses personnages d'exister, Patrick Tam prend le temps d'installer un triangle amoureux plutôt touchant car porté par d'excellents interprètes (bien que leur jeu soit outré comme dans tout "hero movie"...Mais, franchement, ça passe comme une lettre à la poste), ainsi Tony Leung Chiu-Wai y trouve un des ses premiers grands rôles. Fragile, déchirante et pétrie d'humanité, sa performance décuple l'impact émotionnel du film...Comment ne pas être ému lors du "baiser volé" a Joey Wong, amour qu'il ne pourra jamais avoir, devant l'amant de cette dernière (Kenny Bee, impeccable en porte-flingue tragique) ? Bref, du côté des héros le bilan est plus que positif...Il en est de même concernant les "bad-guys". D'un côté on à un Michael Chan monstueusement charismatique dans le rôle du "big boss", de l'autre on à un Gordon Liu on ne peut plus surprenant dans la peau d'un homme de main sadique et violeur à ses heures perdues (!). Il est impossible de parler de MHITER sans évoquer la fusillade finale dont la mise en place opératique est digne d'un grand western spaghetti. Intense, sanglant, tragique et réalisé avec style (voir les nombreux arrêts sur images et autres effets de montage), ce gunfight bref mais noirissime laisse sur le carreau. Si l'on met de côté les films de John Woo et le final de Octb, il s'agit d'une des plus belles fusillades vues dans un film HK. Vous aurez donc compris que My heart is that eternal rose est un excellent polar tragique, alternant avec grâce ambiance romantique et réglements de comptes pas piqués des hannetons...Le tout porté par des acteurs parfaits dans leur rôle. Découvrir des perles comme celui-ci où Lover's tear dans la même semaine me fait dire que cette année 2006 est vraiment pauvre en ce qui concerne le cinéma hong-kongais.

28 août 2006
par SanjurOn


Triades, Killer et love story

Un passage à tabac se passe mal,la victime succombe et le héros doit fuir Hong Kong,la victime était le fils d'un parrain.Le père de sa petite amie et également son associé se retrouve enlevé,la jeune femme vendra son corps pour liberer son pere tout en cachant la vérité au héros qui a fui pour Les Philippines. Evidemment la vengeance est le nerf du film pour justifier l'amour des personnages principaux, les scenes de gunfights sont excellentes,Gordon Liu joue meme un bad guy sadique en bonus. Tres conseiller un film proche du style de "A war named desire"

25 septembre 2004
par Sauzer


achat
info
actions
plus
  • liens
  • série/remake
  • box office
  • récompenses
  • répliques
  • photos
  • bande annonce
  • extrait audio