Retour sur Shûji Terayama, artiste polymorphe aux visions phantasmatiques. Scénariste de renom sur des films tel Premier amour, version infernale et réalisateur des singuliers Empereur Tomato Ketchup, Jetons les livres, sortons dans la rue! ou encore le contemplatif Labyrinthe d'herbes.
Un coup d'oeil sur des yakuza-eiga contemporains: L'avocate de Juzo Itami, Onibi de Rokuro Mochizuki et Pornostar de Toshiyaki Toyoda.
Une théma dédiée aux chambaras dont les premiers films d'Hideo Gosha: Sword of the beast, Samurai Wolf et Tange Sazen complétés de Rebellion de Masaki Kobayashi et Gojoe de Sogo Ishii.
Panorama des récentes adaptations live de mangas: la science-fiction de Casshern, Nin x Nin Hattori Kun, l'univers de Go Nagai avec Cutey Honey et Maboroshi Panty vs. Henchin Pokoider , et Dragon Head.
Pour cloturer cette mise à jour, un détour du coté du cinéma gay indépendant: Grains de sable et Hush! de Ryosuke Hashiguchi, l'inévitable pinku mensuel avec Muscle de Hisayasu Satou et le plus classique Love/Juice de Kaze Shindo.
Bonne lecture... n'hesiitez pas à laissez vos commentaires!
"Après l'échec injuste du touchant Boxeur en 1977 , seul film commercial de Shuji Terayama tourné au sein des studios en l'occurrence ici la Toei, le réalisateur se voit contacté par Pierre Brannberge afin de participer au film omnibus Collections Privées"
>Se voit "contacter" et non pas contacté et Pierre Braunberger, pas "Pierre Brannberge",
Autre exemple, toujours sur le même texte :
"Réminescent de ces lieux-métaphores qui pullulent dans la littérature japonais"
etc... :-(
On dirait que vous ne relisez pas ce que vous écrivez, c'est bien dommage !!
merci ça fait plaisir de ne retenir que cet aspect de notre travail....
oui, il est vrai...disons que quand j'ai fini ma semaine de 70 heures et que, fourbu, je me lance dans mes critiques la nuit tombée, il se peut que des fautes m'échappent le soir devant l'écran et que j'ai pas forcement le temps de relire comme il se devrait... :'(
mais bon pour pas faire de fautes, il y a aussi une solution très simple...ne rien écrire.
Quandt à Pierre Brannberge, c'etait ce nom apparaissait tel quel dans les credits du film..j'ai fait confiance au traducteur.
J'écris moi aussi ne t'inquiètes pas. J'essaye de faire le moins de fautes possibles.
Je fais des boulots de tâcheron toute la semaine, je fais pas faire la même chose les soirs.
Je dis pas ça pour vous embêter, c'est juste une critique qui essaie d'être constructive.
Un avis extérieur.
C'est le même reproche qu'on peut faire à Cinémasie en général. Vous le savez je pense : Le site est riche et fun mais plombé par ce genre de petites choses, qui personnellement me semblent importantes.
Si tu veux un compliment, disons que c'est bien d'écrire sur Terayama et cie en dehors de Tessier et toujours en langue française.
Plus on diffuse le cinéma japonais plus je suis heureux. Suis comme toi fou de découvrir toutes ces choses là, après les avoir attendues pendant des années.
oui c'est vrai, c'est le genre de petit détail qui est dommageable. On reste malheureusement amateur , et on peut pas consacrer autant de temps que necessaire au peaufinage (laisser reposer le texte, relire les fautes, verifier certaines sources et infos..). En esperant que ces maladresses n'empechent pas la compréhension du propos.
"Cinquantenaire de la créature atomique oblige, la Tohei a confectionné un film d’anniversaire truffé de gros clins d’oeils kitch. " www.chronicart.com
Sinon, il y a cela que j''ai trouvé sur un site plus snob. A propos de Godzilla. Les connaisseurs apprécieront la connaissance du cinéma japonais. Faute d'orthographe et erreur monumentale de studio. Une perle.
J'avais adoré aussi dans les cahiers du cinéma, revue des plus prestigieuses, en ayant lu qu'Ayako Wakao interprétait Tatsuya dans un film de Masumura.
Enfin, c'est juste pour dire que personne n'est à l'abri :-)
Je la ramène une dernière fois avec les erreurs. J'aime tellement celui là aussi :
"Beaucoup d'Asie nouvelle (Takeshi Miike, Tetsuya Nomura, Misumi Kenji, Park Chan-wook...)" Sur Libé : http://www.liberation.fr/page.php?Article=320153