Happy > L'intro du film donne finalement toutes les réponses au spectacle à venir: curieux et intéressant photomontage en 3D, cette scène, qui s'éternise est certes assez belle, mais…ne sert à rien.
Je compte le revoir ce film : raté sur bien des aspects mais ambitieux, sur la forme mais aussi le fond (qu'il ne touche pas, non non). Dante Lam traite du feu de la conscience (donc), de nos démons intérieurs à tous, et de la violence au quotidien qui, partout, en découle. L'intro montre cela, une violence en cours un peu partout & au même moment, avec comme observateur un Leon Lai dépité, donc pas si out of casting que ça finalement.
Belle idée dans le film, en passant : la scène du bus, où son perso se plante de suspect. On croit dans un premier temps qu'il se gourre bêtement, et bien + tard un flash back nous en donne une autre raison. D'habitude ce genre de scène est insérée avant, la mettre après est sacrément casse gueule et illustre autre chose encore : l'erreur de jugement de tout un chacun quant aux actes des autres. Mine de rien, le film prônerait la communication ?
A revoir, et peut-être à réévaluer. Il y a une âme derrière ce film, I can feel it (mmmmmh...)
^^
Ahhh...JOLI !!! Moi, qui suis tjs à l'affût sur ce genre de choses...voir l'ami "Zebraman 2", que j'ai finalement totalement réévalué en l'espace de 72 heures...
J'étais franchement dans l'expectative après cette intro, mais la dernière partie "over-the-top" m'a fait jeter le film dans l'inferno de ma conscience (et puis, j'ai dû le supporter au Teatro d'UDine avec le son boosté à son pire max...ça m'a tué, comme sur "Kimmy Dora")...bon, je jeterai un nouveau coup d'oeil à l'occasion, promis.
Bien joué, Alex, Léon est en mode cocker du début à la fin. Mais bon, même en mode cocker, il éteint un feu de bagnole, fait accoucher une donzelle, et court au ralenti du genre "j'ai fait exploser mon mal intérieur, je suis enfin libre".
Vraiment, en dehors des scènes d'action plutôt bien faites -et encore, cuisinées à la sauce MTV (copyright Ordell bis) -oulala ça tourne partout, oulala y'a du contraste poussé, des plans tordus, instables -du genre y'a du chaos, c'est tendu-, du grand angle en bagnole, des images 3D inutiles (du genre la caméra qui s'incruste dans l'habitacle de la voiture), et un gosse qui nait tout propre avec plein de cheveux. Un peu lourd, à la fin.
M'en vais pas prendre la défense de notre ami Dante (Lam, pas Mendoza, hein !!), mais ma pissouse, elle est née avec totu autant de cheveux, voir plus...limite, qu'on l'a pas rétirée par ses nattes du ventre de sa mère...En revanche, côté proprété...d'ailleurs, ça a pas changé des masses: les cheveux ne sont jamais tombés et question proprété, le papa veille au changement stratégique des couches (surtout les bio / échangeables...j'espère que la Mère Nature me remerciera un jour)...Enfin, voilà, détour par la réalité avant de se replonger dans la filmo asiat'... ^^