j'ai lu ta critique de "story of ricky", et je pense que tu devrais relire la dernière phrase de la mienne (je dis ça parce qu'il en parle dans la sienne hein ;) ) .....;)
Je viens de voir Story of Ricky ce soir et, ne m'en veux pas, j'ai beaucoup privilégié mes rires sur mes pleurs. En tout cas, je viens de relire ta critique et je dois t'avouer que si ta vision me semble louable, je ne suis - bien entendu - pas prêt à aller non plus dans ton sens, notamment pour ton appréciation esthétique du film, et pas plus pour l'émotion.
Mais je voudrais te féliciter grandement car ton texte est instantanemment devenu la nouvelle grande référence pour défendre les bien-faits de la surinterprétation au sein du texte critique. Cette part de l'écrit théorique de cinéma, et précisemment de la critique, est possiblement une base majeure. Il faut surinterpréter pour apprécier enfin une oeuvre dans son grand ensemble et ta critique de Story of Ricky (en attendant de voir The Cat pour vérifier) est alors devenu la monstration rêvée de ce travail intellectuel primordial.