ma note
-/5

moyenne
2.66/5

Godzilla 28: Final Wars

nombre de notes: 1nombre de notes: 2nombre de notes: 1nombre de notes: 3nombre de notes: 3nombre de notes: 6nombre de notes: 8nombre de notes: 2nombre de notes: 2nombre de notes: 1

les avis de Cinemasie

7 critiques: 1.89/5

vos avis

21 critiques: 2.75/5

visiteurnote
- 3
A-b-a 3.25
Bastian Meiresonne 0.75
Chang La Rage 4
chronofixer 2.75
Cuneyt Arkin 1.5
Daimajin 3.25
DarK ChoueTTe 4
dll_povtyp 2.5
Fred30 1.5
Jérémy 1.25
Kokoro 3
lekaneee 4.5
LIVEFROMHK 3.5
Manue 3
Oh Dae-soo 2
Phildu62 2.25
Qumran 3
SanjurOn 3.75
Sifu Tetsuo 2.5
Tred 2.5


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Trop plein, trop peu, trop vite

Kitamura ne s'embarrasse pas d'un scénario et mise autant, voire plus, sur ses habituelles bastons entre humains (normaux/humains mutants et xilliens incarnés par des humains) ainsi que sur ses mise en scène et narration sous "speed". Les Kaiju ne sont que des protagonistes parmi d'autres et non le centre de l'intrigue, Godzilla y compris. Les combats entre titans, à part le final, sont bazardés laissant place aux joutes mal foutues et filmées citées en tout début de ce texte. Reste un bon rythme pour un film de S.f. fort correct, malgré un casting fade/ridicule coté méchants Xillien. Quant à savoir s'il s'agit d'un épisode honorable de la saga...

12 septembre 2021
par A-b-a


Armée de destruction massive

Accrochez vos ceintures, "Godzilla" dernier (?) de son crû démarre en trombe et à 100.000 à l'heure, comme en en témoigne le premier combat, ballottant un pauvre malheureux non attaché dans un engin volant. Cette première mission terminée (sans respect pour aucun dommage collatéral), on enchaîne sur un générique de début en forme de montage survolant les précédents épisodes pour ensuite plonger tête première dans une abracadabrante histoire d'invasion extraterrestre. Car oui, messieursdames, Kitamura ne s'arrête pas seulement à un medley d'images, mais également de textes, démultipliant les intrigues. Soit une armée de Power Rangers, censée sauver l'humanité des attaques de monstres (j'aimerai bien connaître la facture de leurs dégâts occasionnés en fin de chaque mois) et qui va finalement contrecarrer les mauvaises intentions d'aliens robots (!) débarqués d'une autre planète. Les monstres ne jouent finalement qu'un rôle secondaire, Godzilla connaissant tout de même son heure de gloire en usant ses pattes caoutchouteuses lors d'une promenade de quelques minutes autour du globe pour balayer quelques adversaires en deux temps, trois mouvements (en même temps que les monuments historiques du coin). Quand il reste encore quelques immeubles debout, les Power Rangers s'occupent à les détruire en se frittant une nouvelle fois avec des vaisseaux extraterrestres. Au milieu de tout ce brouhaha apparaissent quelques plans clins d'œil, comme se moquer du Godzilla américain, du Gamera local concurrent et de jouer au foot avec un malheureux adversaire (d'autres blagues de ce type restent pour la plupart involontaires, scénario et situations étant tout simplement risibles). Spéciale mention au chien "Clint" pour son cabotinage finalement plus convaincant que celui de ses partenaires humains. Fin de film avec un sosie d'un dinosaure en caoutchouc déjà entr'aperçu dans un téléfilm américain dont je ne me rappelle plus le titre, rappelant la relation qu'entretenait le dernier Gamera avec un jeune enfant et qui aurait pu laisser l'éventualité aux producteurs d'enchaîner par un autre épisode, si cette trouvaille n'était pas aussi ridicule. A l'époque de la sortie de "Independance Day", Roland Emmerich s'était réjoui de pouvoir "tout détruire"; ses démolitions paraissent aujourd'hui bien sages face aux déchaînements de Kitamura; mais en fin de compte, cela donnera beaucoup de bruit pour rien et une épreuve de force pour tout spectateur courageux de vouloir tenir jusqu'au bout du film…

10 mai 2007
par Bastian Meiresonne


Le divertissement à l'état pur

Kitamura est un peu l'anti frères wachowski: loin de se prendre pour un génie, il a pleinement conscience des limites de son cinéma et ne cherche qu'à en donner pour son argent à son public. Et même si on dénote quelques ambitions un peu plus personnelles ("alive" en tête), sa quête du fun est perceptible à chaque film.

Ce "godzilla final wars" en est un parfait exemple, même si le résultat n'est pas forcément celui auquel on pouvait s'attendre. Difficile en effet, de ne pas être déçu par le faible temps de présence à l'écran du grand lézard cracheur. Pourtant, comment reprocher cela à Kitamura, quant on garde à l'esprit des films tels que "invasion planete X" ou même le fabuleux "godzilla contre hedora", dans lesquels notre tyravénère n'apparaît pas plus de quelques minutes? 

Car finalement, ce n'est pas tant qu'on voit Godzilla dans peu de scènes. C'est plutôt la façon expéditive dont il se débarasse dun bestiaire qu'on a appris à aimer au fil des films, comme s'il ne s'agissait que de mannequins en caoutchouc.  Car le traitement choisi est à double tranchant. Utiliser les techniques classiques qui ont fait le charme des anciennes productions toho s'avère vraiment enthousiasmant et nous rappelle pourquoi on aime Godzilla. L'idée de lui faire affronter son homologue américain en images de synthèse est d'ailleurs particulièrement bonne. Mais ce combat est représentatif du problème de l'ensemble des affrontements de monstres: à trop prendre ça à la rigolade, Kitamura traite vraiment les créatures comme des bouts de caoutchouc qu'il faut vite faire disparaître de l'écran. Là où des les anciens films montraient de superbes combats de catch entre acteurs déguisés en monstres, ou même de boxe dans certains cas, "Godzilla final wars" nous montre des rencontres durant lesquelles Godzilla attrape ses adversaires et les jette hors de l'écran.
Quelle déception! Seul le final est un peu plus long, mais on aurait tellement aimé voir des combats homériques plus longs!

Il faut dire que le rythme frôle l'hystérie. C'est bien simple, ça ne s'arrête jamais. Les acteurs passent leur temps à courir, à se battre, à sauter sur des motos ou des murs... ces passages sont d'ailleurs très sympathiques. Kitamura s'amuse comme un fou et nous rappelle que son but est l'éclate. Nettement moins classe que celle d'un "Alive", la réalisation est ultra-dynamique, et si on reprochera un peu trop de gros plans dans les combats, le tout s'avère efficace. On est face à un "matrix like" décomplexé où se seraient invités les monstres.

Au final, "Godzilla final wars" est un divertissement qui va à 100 à l'heure, extrêmement fun, qui se situe dans la moyenne haute des godzilla, mais qui aurait pu être meilleur s'il avait mis plus en avant les affrontements de monstres, qui s'étaient presque tous réunis pour la fête (King Kong brillant par son absence)!

24 février 2009
par Chang La Rage


le film aurait pu être un bon divertissement écervelé, malheureusement la première heure passe pas trop mal, mais la deuxième rend le film lassant et peu entraînant. d'autre part un manque d'homogénéité de l'image entre les maquettes, la 3d et le live. Kitamura n'a pas pu se dépasser pour dépasser aussi le style gojira. dommage, un CASSHERN impressionne plus.

14 novembre 2005
par chronofixer


Graou! bratata! pif! paf! pouf!

Dire que Godzilla final wars est idiot est un euphémisme... débile est encore un peu faible... dire qu'il est nul est aussi une douce façon de se voiler la face sur la qualité réelle du film. Celui-ci est.... comment dire? -Ultime? Ultime parceque c'est censé être le dernier épisode... ultime tant il concentre toute la stupidité des godzillas précédents en la portant au carré... ultime par son déni de tout respect des convenances, des conventions, du bon goût ou même de la continuité scénaristique. Soyons clair, ce film a été torché avec les pieds par un Kitamura qui doit bien rigoler de voir le saccage complet qu'il a fait de la célébrissime franchise nippone. C'est un peu comme s'il s'était dit: -Bien! C'est le dernier épisode, qu'est-ce qu'on a pas encore fait faire à ce bon vieux lézard en caoutchouc? -Jouer au foot? ose hasarder un quidam. -Hé, mais tu sais que c'est une pas con ca? bon toi tu seras scénariste de mon prochain film! Et Godzilla de jouer au gardien de but avec une bestiole à pointe, et quand dans un plongeon dantesque, Godzilla laisse passer le balon, pardon, le kaiju, on n'a qu'une envie, se lever et crier: buuuuuuuuuuuut! comme un hystérique.

24 février 2006
par Cuneyt Arkin


Graoooooooooooooouuuuuuuuuuuu !!!

Merci Kitamura san. J'ai pas énormément d'expérience dans le domaine Gojiresque, mais je pense que fan de la vingtaine de Godzilla précédents ou total newb, on ne peut qu'afficher un sourire immense pendant les 3/4 du métrage (bon, encore faut-il aimer le kaiju eiga quoi) :D Ca a déjà été dit maintes fois après la sortie du film, mais l'un des adjectifs les plus appropriés à ce GFW est : généreux. Plein de p'tits copains à Godzi font leur apparition, quasi-tous bien exploités, dans des fights clairs et jouissifs. Le découpage du film en 2 (le conflit Xiens-terriens et la partie catch des monstres à côté), à ce que j'ai cru lire, froisse du monde. Pourtant, des 2 Godzilla que j'ai vu -et il paraît que c'est très souvent la même chose-, tout n'est pas basé que sur les fights des bestioles (et d'ailleurs, ce serait un peu stupide pendant 1H30 à 2 H, non ?). Si la partie avec les Xiens n'est pas un modèle de recherche scénaristique (mais est-ce bien ce qu'on attend d'un Godzi, hein ?), elle s'embrique bien avec le reste, et est simple mais ancrée au milieu d'un tel spectale...où est le problème ? Les acteurs quand à eux, ne sont pas tous au top, mais bien sympathiques dans l'ensemble, et on a droit à un beau numéro de cabotinage de la part du chef X-ien, rires sadiques et craquages à l'appui...:) Godzi est sur son 31, Kitamura garde son style, qui s'adapte bien au tout (sauf une ou deux références visuelles Matrixiennes, mais c'est pas si énorme)...et les scènes jouissives parsèment le film. Bref, une vraie bonne exploitation de l'univers de Godzilla selon moi, c'est ça. Y'a bien des défauts, même plusieurs, mais ils passent innaperçus parmis ces deux heures de bonheur qui passent comme une flèche. J'ai encore plus envie de me plonger dans le passé du gros lézard à présent :D Jouissif.

19 septembre 2005
par DarK ChoueTTe


Heureusement on peut toujours se repasser notre veille VHS HK Vidéo du Godzilla original !



10 août 2010
par Jérémy


Entre hommage et parodie

L’affiche du siècle : le roi des monstres contre le plus tendance des filmeurs nippons ! Ce 28° épisode est un étrange hommage, revisitant la galerie des partenaires précédents du lézard atomique, Gigan, Megalon & consorts, mais introduisant les tics habituels du réalisateur. Kitamura choisit en effet de scinder son film en deux parties bien distinctes. D’une part, l’intrigue concernant les humains, d’une autre Godzilla et ses potes titanesques, le point commun étant les extra-terrestres belliqueux. L’histoire des envahisseurs contre les terriens est filmée dans le plus pur style Kitamura : tout dans la forme, voire la frime, et pas beaucoup de fond, les dialogues se révélant ainsi d’une platitude déconcertante. Les acteurs sont lookés à mort, les scènes d’action commencent comme un défilé de haute couture avec des personnages poseurs en diable qui se présentent plus qu’ils n’agissent vraiment, les deux rivaux livrent un combat rapproché final à la Matrix digne de l’imagerie Gay la plus évidente, le tout dans un montage proche du clip ou de la bande annonce permanente. Pour en rajouter dans l’esthétisme, les deux femmes du film sont sexy à mort, révélant leurs jolies jambes juchées sur des talons aiguilles que le metteur en scène ne se prive pas de mettre en valeur. Le général occidental parait lui tout droit sorti d’un jeu vidéo, sorte de Staline version PS2 aux phrases aussi creuses que prévisibles. On l’aura compris, le jeu de chacun est caricatural, mais comme souvent avec ce style de cinéma. Le scénario de cette invasion ne s’encombre pas de détails, rappelant beaucoup la fameuse série télévisée des années 80 V, et se permettant quelques emprunts à d’autres succès du genre. Quant à la partie Kaiju qui tarde d’ailleurs à arriver, elle est ouvertement axée sur la période fin années 60-années 70 du monstre, la plus fun et parfois la plus enfantine, avec cette accumulation de créatures de plus en plus improbables jusqu’à ce fils de Godzilla directement destiné aux tout-petits. Les effets spéciaux sont loin des images de synthèse, créant une proximité bienvenue : des acteurs en costume, des décors en carton-pâte, des maquettes, on retrouve là une méthode artisanale finalement pleine de charme. Et Kitamura se fond visiblement avec jubilation dans ce moule, oubliant ses plans hype et son univers de Pop stars pour un hommage jamais loin de la parodie mais sincère pour le Roi des monstres, en oubliant du coup sa prétention parfois insupportable. La cohabitation de ces deux styles hétérogènes ne nuit paradoxalement pas trop au projet. Le film est même plutôt agréable à suivre, entre clin d’œil partagé (le massacre du Godzilla version US, les deux minuscules fées jumelles directement sorties d’un film de Hinoshiro HONDA le fondateur du mythe Godzilla,…), humour balourd ou involontaire, sadisme suggéré des scènes de destruction, et esbroufe cinématographique chère au cinéaste. Au final, si ce FINAL WARS n’est pas le meilleur film d’une saga de toutes façons très inégale, il signe un anniversaire bâtard mais beaucoup plus rigolo que la plupart des blockbusters habituels. Au suivant !

21 septembre 2005
par Kokoro


Godzilla Final Wars, Kitamura redonne force, puissance, vigueur a un mythe et assume son propre style (Le style des autres real de Godzilla etaient transparent depuis un long moment)

Godzilla Final Wars ma beaucoup car le realisateur ne se fait pas lui beaucoup d'illusion sur la franchise (pas comme certaine critique de se site) et la sert en utillisant une dynamique d'action moderne et un decoupage stylisé et une evocation manga par des cadrages volontaires. Bref c'est du cinema et il a choisie de nous faire kiffé par la puissance evocatrice des images et pas de nous @!#$ la tété avec du vent (L'utillisation des costumes et des maquettes est totalement maitrisé (c'est vraiment des pros) mais ne permet pas une approche contemporaine realiste (C.G., vive le Godzilla d'Emmrich ^^) pour ceux qui cherche un sens a leur vie dans des films ^^). De l'ultra auto sitation de la saga (fairez toujours les films dans leur developpement de la même façon). Pour le jeux des acteur c'est vrai les petits jeunes ne sont pas terrible mais pas horrible. La bande Son tres bonne car stylisé et elle participe a la singularitedu film (vous n'avez pas marre d'oublié facilement les B.O. des films une fois hors de la salle?). Les puch line rappellent tout ces films d' action tres con mais cool des annees 80 parsqu'il cherchaient plus a nous faire ressentir que comprendre et sont le bien venu ici car c'est les tripes qui parlent (C'est un film de montres !!!). Kitamura the next please ^^ (Aussi M.Bay n'est pas une mauvaise influence comme disent les hypocrites qui critique mais vont voir tout ses films, il a fait un choix artistique et le maitrise tres bien mais rien n'est parfait comme chez tout le monde. Et je le dit d'avance le "Greek" vous .....)

10 août 2005
par lekaneee


Gros Zilla back to the past !

En allant voir ce GFW il vaut mieux laisser de côté les récentes expériences de Shusuke Kaneko dans le monde du kaiju...Bref, si l'on s'attend à un kaiju "adulte" dans le lignée de GMK (un chef d'oeuvre ! ) on risque d'être déçu. Le parti pris de Kitamura est clairement d'effectuer un retour au bon vieux Kaiju des années 60-70, purs films de divertissement naifs et enfantins possèdant un charme kitsch indéniable (à ce titre la très jolie scène finale avec Minilla est un pur régal pour le fan de gros streumons japonais). D'ailleurs, la trame du film de Kitamura est en grande partie inspirée par 2 opus "majeurs" réalisés par Inoshiro Honda durant les 60's: Invasion planète X et l'énaurme Les envahisseurs attaquent. Bref, comme je l'ai écrit précédemment GFW est un pur film de divertissment, un trip enfantin et jouissif dans lequel tout pète pour notre plus grand plaisir (quitte à y sacrifier le scénario et les personnages), un gros portnawak délirant, et pas vraiment maitrisé, (qui mèle combats de gros streums, sentai, poursuite en moto, batailles de vaisseaux spatiaux etc...) mais aussi une oeuvre nostalgique...Nostalgique de 2 époques: Les 60's (ça c'est évident) et les 80's, époque bénie des blockbusters bourrins bourrés de punchlines (Aliens, Predator, Running man etc...), d'ailleurs la présence de Don Frye (maître ès punchlines ), sosie de Jesse Ventura n'est probablement pas fortuite. GFW est un film très imparfait (les SPFX sont un peu cheapos comparés à ceux des oeuvres de Kaneko, le scénario d'une simplicité hallucinante semble pourtant s'égarer dans tous les sens: Un comble ! etc...) qu'on regarde avec un grand sourire pendant près de 2 heures tant il est fun et généreux...En quelques mots, GFW ne sera jamais un chef d'oeuvre ni même un grand film mais c'est un peu le film bourrin que tout fan de gloumoute, dans ses instantts les plus régréssifs, révait de voir.

04 septembre 2005
par SanjurOn


Un Godzilla inoffensif

C'est avec beaucoup d'impatience que j'attendais ce nouveau Godzilla afin de fêter dignement les 50 ans de la bête. Jusqu'au jour où j'apprend que la Toho décide de confier son bébé au surrestimé Kitamura. Là l'enthousiasme en prend un sacré coup. Moi qui revait d'un Takashi Miike par exemple. Alors finalement qu'en est il de ce Final Wars ? Et bien à vrai dire totallement inoffensif. En fait les choses paraissent simples et évidentes pour Kitamura. Je l'imagine en salle de reunion en train de convaincre les producteurs de la Toho. - Mais oui, bien sûr !!! Il suffit de prendre tout ce qui a déjà été fait sur godzilla, de mélanger le tout, d'ajouter deux ou trois pinçées de mon propre style à moi et on obtient un truc mon gars. Un truc énorme... T'imagines même pas. Le truc quoi. Mais attention je veux aussi des vaisseaux dans l'espace et tout hein. Voilà, ça c'est ma signature pour les 50 ans tu voix. Faire du neuf avec du vieux. Elle est pas belle la vie ? Tu verras, les jeunes ils vont adorer. Et puis d'ailleurs tu sais, les jeunes ils m'aiment tu voix. Personnellement j'apprécie le culot. Je suis impressioné. Vraiment.

25 août 2007
par Sifu Tetsuo


achat
info
actions
plus